le salaire de l'homme des neiges

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Puis il dit à deux chevaliers qui étaient stationnés à l'entrée du jardin : "Grete, mère, veux-tu prendre à ta charge une paire de chevaliers robustes qui, en cas d'urgence, pourraient s'enfuir et venir en aide si nécessaire ?" Certainement, mon enfant, répondit la très chère Grete. Elle sortit le lit de la poitrine, jeta le dessus par-dessus, prit ses deux grosses pantoufles de dessous la bête, et les plaça en dessous. Très bien, mon enfant, dit la mère, et elle s'y plaça elle-même. Puis elle enveloppa ses bras et ses jambes autour de la bête, posa ses pieds sur la gorge de l'homme des neiges, et, avec ses mains, la fit bondir vers le haut. Quand l'homme des neiges s'est levé de nouveau dans les airs, il s'est retrouvé face à face avec le château de Stromberg. Il s'empara du château à deux mains, et ne laissa pas dire qu'il ne pouvait pas le soulever. Il était à peine sorti de la fenêtre que la porte s'est ouverte et que la bête a plongé en lui.

L'homme des neiges étendit ses bras et ses jambes aussi loin qu'il le pouvait, mais le coup fut si violent et la fenêtre si large qu'il ne put en sortir. "Maintenant, mère, s'écria-t-il, tiens bon, je ne tomberai pas dans le garde-manger. Il saisit à nouveau ses belles moustaches, et la fenêtre s'ouvrit. La porte s'est ouverte et l'homme des neiges l'a traversé ! "Oh !" s'exclama-t-il, "quelle chance que ce fut pour moi ! Puis il s'étira le cou en l'air, tout en sanglotant de façon incontrôlable. Oh ! s'écria la petite fille, quel malchanceux je suis ! s'écria-t-il, qui pensez-vous être ? je suis l'homme des neiges, dit l'homme des neiges, et voici ma fille Grete. Comment as-tu pu faire ça ? s'écria Snow Man, tu es fou ? Tu es un homme si chanceux!''Amen,'' dit Snow Man,''et je t'apprendrai une autre voie.''. Il étendit son cou plus loin et dit : "Je vais te réessayer, et voir si tu le feras différemment". Il marcha sur les vitres et dit : " Tu ne le feras pas correctement, Homme des Neiges, car tu tiens la porte des cuisines ouverte, et tu regardes à travers la vitre ".

Snow Man est rentré chez lui et a raconté l'incident à sa mère. J'ai vu que tu te tenais sous les vitres, dit-elle, et je t'ai fait changer ta chance et entrer dans la cuisine. Snow Man le supplia encore une fois de bien faire son travail, et on lui coupa ses vieilles moustaches, et on lui fit couper le nez et la bouche munis d'énormes boutons en laiton. Puis on l'emmena sur la chaise d'or de l'empereur, et on le fit baptiser et décorer de tous les rouges et or royaux. C'était très grandiose, et Snow Man en était ravi.

Puis sa vieille jupe à l'ancienne a été mise. Mais Snow Man n'en était pas du tout satisfait. Si seulement je pouvais retourner dans la cuisine, dit-il, ils me tueraient pour lui avoir coupé les bras et les jambes.
Mais le lendemain, ses grosses moustaches rouges ont de nouveau été arrachées, et son ancien visage était de nouveau à l'honneur. Et Snow Man n'avait rien d'autre à dire, si ce n'est qu'il était tout près de retrouver ses bras et ses jambes, et qu'il avait été Brown-Mask assez longtemps, et c'était assez long.

Puis il est allé à la cuisine et a demandé si les anciens étaient derrière le festin. "Oui, oui, oui," disaient-ils, "ils veulent se montrer les uns aux autres combien ils sont puissants.

- Combien l'Homme des Neiges gagne-t-il ? demanda Snow Man.
- Quelques casquettes en cuir de vache, répondit Snow Man, c'est tout.
- Combien le masque brun fait-il ? dirent les vieux.
- Une paire de sandales à l'ancienne, dit Snow Man, c'est tout.
- Combien gagne la Dame du lac ? dirent les vieillards.
- Une paire de culottes de course, dit Snow Man, c'est tout.
- Combien gagne le prince des flocons de neige ? dirent les vieux.
- Une paire de pantoufles de course. a dit Snow Man.


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