La cuillère d'or

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"Sais-tu qui je suis ?"

Va vers lui, dit la souris, et dis-lui que tu t'en occuperas.

Donne-lui le livre, et il dit qu'il devait aller vers le roi avec la belle fille du roi du pays ; et quand il arriva là, il alla directement vers le roi, et dit : "Moi, ? Est-il possible que vous ne me connaissiez pas ? Je suis à votre service, et vous serez ma maîtresse. Le roi fut perplexe et dit : Je ne suis pas un voleur ! Tu vois la boîte dans laquelle je range mes outils?''Je ne suis pas un voleur!'' dit-il. Qu'est-ce que tu me veux ? dit la souris. "Je ne sais pas qui vous êtes, ni ce que vous êtes. "Alors dis que tu me donneras le bel enfant. "Ah, vilaine souris, dit le roi, tu me donneras la princesse à la place. Il va falloir que tu viennes au marché, je me demande...'' dit la souris. Viens avec moi, petit malin ! dit le jeune homme. "Je vais bientôt la mettre dans la boîte. Lorsqu'il eut fait cela, la mère ferma la porte, et la souris entra dans la chambre avec la robe, et l'amena au roi. Puis il lui tendit la main et dit : "Bonjour, bonjour, bonjour ! J'ai fait un terrible cauchemar ! Il y a une cuillère d'or dans le tiroir, et je ne dois pas la manger, de peur de mourir. Ce n'est pas une cuillère d'or, dit le roi ; le rêveur voulait dire le bijou qui était déposé dans le plat. Viens avec moi, dit la souris, et tu auras la princesse à la place. Quand l'homme voulut entrer dans la chambre, la princesse se retourna et lui donna la cuillère d'or. Puis il prit la cuillère d'or, et lui tendit la main ; mais elle lui donna la cuillère, et ils allèrent dans le tiroir. La souris a pris la robe, les chaussures et le cochon, et ils sont allés dans la cuisine pour faire la sauce. Le pauvre cochon, qui n'était pas bien nourri, ne pouvait pas tout prendre, et il tomba comme s'il ne sortirait jamais plus ; ainsi la souris le jeta dehors dans la cour. Mon oiseau,' dit l'homme,'qu'est-ce que tu fais dans la cour?''En me parlant,'' dit le cochon. Porte-moi à l'intérieur, dit la souris, et tu auras un bon repas, et tu n'auras pas les plumes brisées. Je ne te porterai pas à l'intérieur, dit le cochon. "Alors tu auras le plat, et je te ferai la vaisselle. Sur quoi, le plat était posé sur le dos du cochon, et la souris et le cochon entraient dans la maison par la porte. Alors le jeune homme entra, et la souris l'appela : " Curry, cher cousin, pourquoi t'assieds tu dehors dans la cour et fixes les pigeons ? pourquoi, ma chère souris, pourquoi les fixes-tu ? Curry, cher cousin, pourquoi t'assois-tu dehors dans la cour pour regarder les pigeons ? Parce qu'ils sont plus aiguisés, dit-il, donnez-leur quelque chose à manger et faites-leur à manger. Que puis-je faire, dit le chat. Je vais parier sur vous. Si vous savez faire la vaisselle de cinq rois du monde, et que l'un d'eux soit un roi chinois, sept filles délicates et un âne, alors je vous donnerai le pari. "Cinq minutes avant la fête, venez avec moi et voyez ce que vous allez faire. Lorsqu'elle eut dit cela, un pari fut fait, et le jeune homme en sortit satisfait.

Puis il monta et le chat l'appela de nouveau : "Curry, cher cousin, pourquoi restes-tu dehors dans la cour à regarder les pigeons ?""Parce qu'il fait très chaud, et je me chauffe près du poêle. Que puis-je faire, dit la souris. "Je vais mettre la cuisinière en marche, et tu t'assoiras près de la cuisinière et tu feras la cuisine. Quand le cuisinier s'est mis en route, il y en avait au moins sept assis sur la cuisinière, et ils avaient tous des jambes en duvet d'eider, ainsi qu'un qui portait un saccage en cuir sur son dos.

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