Questions aux disparus

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Vous qui êtes morts depuis longtemps, vous qui êtes décédés, comment cela s'est-il passé ?

Les rois et les empereurs n'ont-ils pas respiré leur dernier souffle ?

Ô qu'ils puissent contempler ta gloire !
Et la vieille dame a ri, car elle le pensait vraiment.
Elle prit le jeune Stefan par la main, le conduisit dans sa petite maison, et lui montra le lit et tout ce qu'il y avait dedans. Et peu de temps après, il attendait avec impatience que l'argent parvienne à son père, le grand seigneur du château, qui était mort depuis longtemps et qui avait déjà disparu des livres depuis longtemps. Mais maintenant son père était mort, et sa mère était de nouveau en vie ; et bien qu'ils s'aimaient beaucoup tous les deux, ils eurent de petits enfants, et c'était vraiment une bonne chose.


Ils s'assirent près du feu, mangèrent et burent, et parlèrent du coucher de soleil et du petit oiseau doré qui était venu leur rendre visite. Un soir, elle se montra soudain à eux, et tomba sur le chef steward et sa femme dans le jardin, qui la virent et s'emparèrent avec une telle passion qu'ils se déchirèrent les uns les autres avec leurs mains, et même jetèrent le feu dehors. Pendant ce temps, le feu était allumé dans toutes les maisons, et tout le peuple dansait et chantait autour du feu, et l'oiseau volait loin, et chantait toute la nuit.

Les enfants étaient encore au lit quand l'oiseau d'or s'est levé, et ils ont couru vers leurs parents en criant, et leur ont dit quel merveilleux oiseau c'était, et comment il leur avait sauvé la vie et pris leur âme avec lui. Ensuite, les jeunes étaient très contents, et ils ont dit à leurs parents qu'ils garderaient l'histoire secrète, qu'ils feraient le ménage chez eux et chez eux, et ainsi de suite.

"Oh, comme j'ai gâché de nombreuses soirées avec mes jeunes enfants, dit la vieille cuisinière, quand je leur racontais des histoires avec eux ; maintenant que tout est fini pour moi, je ne peux faire confiance qu'à la vieille dame".

"Notre grand-mère ne comprendra pas de telles histoires, et elle ne croira pas un tel saint comme il nous l'a montré". Et ils rappelèrent à la cuisinière la vieille dame qui, disaient-ils, n'avait pas pu avoir d'enfants à elle."

"Tout va bien," dit le cuisinier, puis il leur raconta l'histoire de l'oiseau doré et comment il leur avait sauvé la vie. "Il n'a pas demandé d'argent, dit le plus jeune, mais il voulait voir une sorcière, et on lui a mis une ortie piquante dans la bouche pour lui donner sommeil. Puis il devait être emmené dans un cercueil, mais il est parti avant la fin de la journée. J'ai regardé l'événement, et j'ai vu le jeune homme entrer dans le cercueil noir, puis s'endormir. Je l'entendis dire:'Je m'endors', et je vis le linge blanc qui devait être son couvre-lit. Je l'entendis dire à nouveau : "Je m'endors", et je vis le petit lit.

Alors, je me levai et m'enfuis, et je m'envolai, jusqu'à ce que je tombai enfin dans un bois, et m'allongeai pour me reposer, et pendant que je dormais encore, une très vieille femme vint, s'agenouilla devant ma tombe et m'embrassa, puis je vis qui c'était qui m'avait embrassé. Puis le jeune homme est arrivé et m'a demandé ce qui s'était passé et comment je devais être traité.

"Je devrais être servie", dit-elle, "servie, soignée et nourrie. N'êtes-vous pas mort d'une mort joyeuse, avec toute la gloire et la gloire, dit-il, regardez-moi ! regardez-moi ! Si vous êtes si intelligent, vous devriez être à la maison dans la pièce chaude. Tu n'es pas intelligente, dit-elle, tu joues à être intelligente, et tu n'en tireras rien.

Puis elle s'agenouilla à ses pieds, et lui dit que, parce qu'il leur avait montré le linge de lin blanc, et parce qu'il avait été à la fête, il détestait le froid, et ferait tout ce qu'elle voulait. Après tout, dit-il, elle est intelligente et mérite d'être servie, nourrie et nourrie, même si ce n'est que pour un jour.

Puis il s'en alla de nouveau, et s'assit à son souper, les pieds étendus ; et, après s'être rassasié, il alla se coucher. Et la troisième nuit, il lui montra les runes, et son cœur fondit pour lui, de sorte qu'elle ne le dit à personne pendant un moment. Au début, cependant, elle s'est battue contre lui, et elle était très en colère, et a fait toutes sortes de demandes vexatoires, mais finalement elle a laissé voir, et a dit : "Maintenant il va épouser une sirène, et avoir une bonne épouse, et être bien pris en charge".


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