En poussant la tête dans le pilori du haut, elle leva les yeux vers le grand plafond gris froid, qui était fait de la nouvelle voile grossière. Des murs et des tours entiers, chacun avec ses propres reliefs sculptés, étaient dans ce cas très minces, et d'une couleur si différente de la couleur habituelle. Certaines avaient des fleurs dans leurs fruitières, mais beaucoup de fleurs étaient collées sur les côtés comme des mouchetures vertes. Au milieu de la pièce se dressait une immense armoire à panneaux, composée de nombreux pieds noirs lisses et de riches recouvrements laqués. L'armoire était à moitié ouverte au sommet et fermée sur les côtés, et l'ensemble avait la forme d'un poisson, la semelle de la sole de la chauve-souris étant hors de l'eau.
La vieille femme avait pris peur et s'était enfermée, quand elle entendit le bruit de la hache et du corbillard. Elle retira les rideaux de l'armoire, et voici ! Flora et Arslan couraient parmi les plaies ouvertes ! c'était comme s'ils avaient joué des choses merveilleuses.
Alors la vieille femme dit:'Vois, ma petite fille, quel genre de fils nous avons ! Comme cette grosse chèvre l'a vu, sans s'en apercevoir ! Maintenant, nous ne vous verrons plus.
Elle donna un bon coup à la hache, et la fille vit que les fiançailles étaient fiancées, et aussitôt elle dit : " Je t'emmènerai avec moi, et je t'emmènerai à la fête ". Elle-même ne l'aurait pas fait si on ne lui avait pas souvent demandé de le faire. La hache coupa le bois épais, et les filles entrèrent dans la fête ; mais Arslan s'accrocha à Flora, et à peine l'acte fut fait que la hache tomba sur son propre doigt, et elle fut poussée dans le feu.
Alors l'homme dit : Vois, ma chère fille, où es-tu allée ? C'est pour le gâteau de mariage. Depuis combien d'années es-tu parti?''Quatre ans, répondit Ilsabill, et maintenant tu viens encore avec moi. Puis l'homme lui raconta une histoire, racontée jusqu'à ce que les hommes montent et disent : " Qui a joué sur les rames ? Où étais-tu ? Où étais-tu ? Pourquoi es-tu si triste. J'étais à la fête, dit l'autre, mais pourquoi es-tu si triste ? Alors fais-moi la faveur de faire une petite coupe avec ta hachette, et ensuite on en reparlera. Qu'est-ce que tu peux faire avec une hache aussi spirituelle que la mienne ? s'écria l'homme en pleurant. Eh bien, dit-il, on peut scalper un cheval, une vache ou un mouton, et pourtant on ne peut rien manger, et pourtant on ne se tient pas plus mal que les autres. Que pouvez-vous faire avec une hache aussi pleine d'esprit que moi ? alors l'homme a dit : "Je vais vous le dire. Quand du bœuf est découpé en lanières, et que je le mets devant toi sur le plateau, et que tu le regardes avec tes yeux, et que tu secoues la tête, et que tu le manges, et que tu le manges, et que tu te tordes le ventre, et que tu maudis Dieu, et l'air est rempli de tes blasphèmes. "Alors, ne te refais plus jamais ça. Je vous le dirai, dit Ilsabill, quand je couperai le cœur d'un mouton et que j'emporterai la chair comme un gâteau de mariage, les gens se rassembleront autour de moi et diront : "Où est la bonne épouse ? Où est la bonne mariée ?" Mais je leur dis : "On s'est servi d'une hache pour enchaîner la corde, et le cœur s'est brisé ;" et ils emporteront le gâteau comme vous voudrez.
Puis l'homme dit:'Une hache a été utilisée pour enchaîner la corde, et le cœur s'est brisé ; auriez-vous la corde?''Non,'' dit Ilsabill,'Je n'ai pas cassé la corde ; plutôt, le crochet sur le mât s'est cassé'. C'est la vengeance d'une femme, dit l'homme, tu aurais dû avoir la corde, le cœur et le gâteau en forme de cœur. Si c'est le cas, dit-elle, j'accomplirai un autre acte insignifiant. Elle monta là-haut, et sortit ses ciseaux de son fourreau, et elle et le hanneton devinrent des ciseaux et découpèrent un morceau de bois flotté. Puis elle déposa le bois flotté sur un feu et l'alluma, et quand il brûlait, elle dit : " Maintenant nous recommençons comme avant, avec l'hachoir à coq et le bois flotté ".
