Comme c'est agréable ! Quel bon oiseau ! Comme c'est cher ! Comme c'est pareil ! Comme c'est pareil ! Comme c'est pareil ! Comme c'est pareil ! Comme c'est pareil ! Comme c'est pareil ! Comme c'est pareil ! Comme c'est pareil ! Quelle amie elle a ! Quel bel oiseau c'est ! Comme elle et moi nous nous ressemblons ! Comme c'est pareil ! Comme c'est pareil ! Comme c'est pareil ! "
"C'est exactement ce à quoi je pense, dit l'aîné. "C'est comme si je pensais à toi, ma petite cigogne."
"Je pense aux nappes blanches qui arrivent, dit le second. "Avec la soie et le fil, et j'aimerais essayer l'un d'eux. Là, exactement sur le tissu blanc, j'ai fixé mon bec, et j'ai fait une impression très voulue. Mais je ne m'en souciais pas ; on pouvait y remédier si facilement. Puis je me suis glissé dans le sac qui était sous le poêle, j'ai posé le tissu blanc dessus et j'ai fait un bon trou. J'en étais très heureux ; en effet, j'étais très fier de moi. C'était un effet assez frappant. Je ne sais pas à quel point l'homme a des effets sur le monde, mais je suis sûr que c'était très bon."
Soudain, il y avait un bruit qui rampait à travers le sac, et un autre bruit de claquement pouvait être entendu. L'effet était très différent de la dernière fois. La gifle était très forte, distincte et menaçante. Les deux chats féroces étaient accroupis derrière la cuisinière, et ils criaient à tue-tête.
"Adieu, adieu", s'écria l'aîné. "Que les belles chaussettes soient toujours dans ta chambre forte", puis les chats ont sauté dans le sac, derrière la cuisinière, et dans le puits.
"Au revoir, adieu", s'écria le plus jeune. "Que les chaussettes soient toujours dans ta maison, et que la maison soit toujours dans ta maison ", et puis les chats ont éclaté à travers le sac et se sont tenus devant le poêle, tout en haut, buvant et hurlant.
Tout était folie, car les chats ont sauté par le puits, par le sac et par la grille de fer, et la maison des chats s'est étendue sur des kilomètres. Il n'y avait pas de fenêtre en vue et la rue était sombre et orageuse. Oh, comme les vains espoirs des garçons étaient nourris ! Puis le vent a attrapé la lumière et le SEPTIÈME QUATRIÈME CAT a sauté à travers la grille dans la rue. Il est resté debout un certain temps, l'air très fier et merveilleux, puis il s'est envolé de nouveau très gêné. Puis il est revenu en avion très timide et désolé.
"Si c'est comme ça que vous êtes, les gars, j'ai peur d'être très moche", pensa le deuxième chat. Et le troisième n'avait qu'à lui donner un coup de bec sur la tête avec la cuillère pour produire une férocité très laide en lui.
"Maintenant, on va s'amuser", dit le sacristain. "Nous verrons si nous pouvons entrer dans la maison des chats ; nous allons nous amuser maintenant." Et il est entré dans la maison des chats, et cette fois les chats étaient dans le salon. Le pyjama pour chat était trop grand pour lui ; il s'est faufilé par la fenêtre et a regardé la fête sur le toit, puis il s'est enfui comme un oiseau sous le stress.
"Maintenant, nous allons avoir une discussion", dit le sacristain. "Comment ça se passe dans la rue ?"
"Moche comme un âne britannique", a dit cette fête sur le toit. "As-tu l'œil pour un chat de Londres ?" demandèrent-ils aux chats dans la rue. "Tu es le meilleur des laids du monde. Comment allez-vous ? demandèrent-ils aux passants. Et tout le monde dans la rue a donné une bonne réponse aux questions qu'ils avaient posées.
"Tu es la meilleure des laides du monde, dirent les chats-chiens, mais ne t'approche jamais d'une femme, sinon elle se moquera de toi ; son amusement favori est de te frapper les oreilles et de te frapper les oreilles, puis elle enfouit sa tête dans ton épaule et bâille. Tu es si laid qu'aucune des dames de la ville n'a jamais vu une paire de tes bras, qui sont attachés par une corde à un pieu, qui est accroché près du mur. Quiconque tente de les attacher ou d'arracher la corde serait coupé en morceaux par le couteau, et il vaut mieux que vous souffriez pour nous."
"Oh, je suis trop laid," dirent les garçons ; "J'aime être entouré d'êtres humains."
"Maintenant, nous allons avoir une discussion", dit le sacristain. "De quoi a l'air la maison des chats sous l'eau ?"
"Laide comme une cigogne russe", dit le chat. "Vous êtes attaché au mur avec du fil noir, et vous êtes obligé de plonger après un plongeur plongeur qui porte un magnifique peigne doré. Chaque moment que vous êtes
