"N'importe quelle vieille fille peut passer sa laisse", dit le canard. "Qui l'aurait cru ?"
Elle approcha le petit d'elle et le laissa se pavaner comme s'il était lui-même le plus distingué des hommes. Mais le canard ne semblait pas du tout dérangé. "Tu es trop grosse," dit-elle. "Je ne supporte pas de te voir faire des efforts, poursuit-elle.
Puis elle se gonfla de l'air vicié de la mer et s'assit pour se reposer très légèrement, car elle était très fatiguée. Quand enfin elle commença à respirer à nouveau, l'air chaud fendit sa peau et remonta à la surface de ses plumes, de sorte qu'elle s'éventra elle-même et son compagnon. Mais le beau canard ne semblait pas s'en apercevoir, et le bel oiseau restait bien immobile.
"Vous êtes très belle", dit le canard. "Tu ne sais pas ?" demanda-t-elle à la vache marine. "Vous êtes très, très jolie. Tu t'es émancipé, et je te laisserai voler où tu veux."
"Mais, cria la vache marine, je n'ai pas envie de m'envoler directement vers le soleil ; je préférerais être piétiné par centaines que d'être étranglé par milliers.
"Raidissez-vous", dit le canard. "Tu as les membres les plus solides de tous, et ils me suggèrent une idée. Appuie ton corps plus fortement contre le mur que ça, et je deviendrai raide et rigide, comme l'un de vous."
"Je l'espère, répondit la vache marine, mais je ne suis ni raide ni rigide. Je suis aussi fort que vous, et je vais vous montrer une amélioration."
Les deux vieux garçons canards, qui étaient alors des hommes assez âgés, prirent des planches d'un mur et les empilèrent devant eux, dans le but d'en faire l'une des planches pour en faire le toit de la maison de leur père. Mais le vieux père s'assit et regarda, et les jeunes fils prirent place sur les poutres, et ils se tinrent tous côte à côte, comme un homme et une femme le devraient. Puis le père dit : " Tu ne dois pas laisser le pic-bois voler la vedette, car il est très intelligent. Il pourrait très bien être ministre dans sa profession. Les fils ont dit qu'il n'était pas pasteur et qu'il n'était venu que pour surveiller les deux vieux garçons canards ; mais la maison de l'ancien père était déjà étouffée, alors ils ont pris leur demeure dans les poutres de la maison.
La nuit, quand les garçons dormaient et que le caneton arrivait dans la rue, ils criaient : "Laissez-le entrer, laissez-le entrer ! Le père était plutôt alarmé et a dit : "J'appellerai le policier, si nécessaire. Mais les garçons entrèrent, et ils virent que ce n'était qu'un épouvantail, et qu'il n'y avait pas de diable dedans ; et le père dit:'Caw ! caw ! caw ! Laisse-le entrer, laisse-le entrer ! Mais finalement, il a laissé le petit malin voler le toit, et le canard est sorti avec lui et lui a dit : " Fais pousser des peaux plus épaisses et fais-en une belle table, ou je t'étrangle ". Le père était désolé, mais il pensait que le voyou serait bientôt attrapé et qu'il sortirait dans la rue.
L'un ou l'autre des deux qu'il a choisis, il s'est rapidement glissé dans un livre ou un bloc-notes, et est rapidement devenu si expert en la matière, qu'il a souvent trouvé utile de copier tous les mots et les lettres du livre, puis il les a mis en un mot, et quand il était au bar et voulait savoir si les gens étaient occupés, ou qu'ils faisaient, il tremblait la noix, et s'écriait " C'est quoi ça ? Qu'est-ce que c'est ? s'écria-t-il. Qu'est-ce que c'est ? s'écria-t-il. Qu'est-ce que c'est ? s'écria-t-il. Qu'est-ce que c'est, s'écria le renard. Qu'est-ce que c'est, s'écria le canard. Qu'est-ce que c'est, s'écria le chat. Qu'est-ce que c'est, s'écria le chien. Qu'est-ce que c'est, s'écria le vieil homme. Qu'est-ce que c'est, s'écria le hibou. Qu'est-ce que c'est, s'écria le poisson. Qu'est-ce que c'est, s'écria la grenouille. Qu'est-ce que c'est, s'écria la grenouille. Qu'est-ce que c'est, s'écria le coq. Qu'est-ce que c'est, s'écria le chien. Qu'est-ce que c'est, s'écria le chat. Qu'est-ce que c'est, dit la grenouille. Qu'est-ce que c'est,' dit le coq. "Qu'est-ce que c'est, ensuite,
