Rudolph a dit : "Les gens me demandent toujours la recette, mais il est écrit dans le tarif, répondit le renard, que la recette doit se trouver dans le tarif ". Il y a des gens qui le demandent aussi, dit l'âne, et j'ai compris aussi, et comme cela est entré dans la tête du renard, il a dit : "Je vais aller chez le cuisinier et prendre la recette à la place ". Il est entré dans la maison du cuisinier, mais l'âne, paresseux, a pris sa place derrière le poêle. Or, comme il l'a dit, l'âne était paresseux, et quand il est entré dans la maison, il y avait une étagère dans le coin, et il ne pouvait pas l'enlever, jusqu'à ce que le cuisinier, sur ordre du maître, lui ait donné la clé de la chambre pour descendre avec mon grand fer. L'âne, cependant, a poussé la clé dans le piège, et il est reparti, après les deux poulets. Là, il a trouvé le four plein de graisse et de fumée, et les poulets y étaient enfermés si serrés qu'il a dû ramper sur les mains et les genoux. "Conneries !" dit-il, "c'était à mon tour de rentrer à la maison. Tu as le béguin pour une friteuse maintenant", dit l'âne, "et tu es une bonne friteuse", et il s'assit à la grande joie de l'âne.
Le cuisinier, voyant que l'âne était maintenant une vraie friteuse, dit : "Tu auras le plat avec toi, mais je dois refuser de te servir après tout. Cela rendit le cul très en colère, et il jura qu'il ne ferait plus jamais une telle chose comme cuisiner ou frire pour le maître. Mais une fois arrivé à la maison, il alla voir son vieux maître et se plaignait contre lui pour sa mauvaise administration et surtout pour la chaleur. Mauvais garçon, dit l'âne, tu as encore offensé mon vieux maître, heh heh heh hehhh !"
Quoi qu'il en soit, c'était un très joyeux jour de Noël, en effet, et m'a fait réfléchir que je n'avais pas fait assez pour plaire à la vieille dame. Je suis donc allé voir ma femme et j'ai juré sous serment que si quelqu'un découvrait où la vieille dame cachait le miel, il aurait droit au même pour chaque repas qu'il mangeait. La vieille dame était trop fière, même pour sa propre maîtrise de soi, et n'avait aucun doute quant au sens de la promesse.
Le coq, qu'on avait laissé à la maison pour la journée, s'approcha bientôt de l'âne et lui demanda s'il pouvait lui faire faire un tour dans sa voiture. Bien sûr, répondit l'âne, je vais te libérer. Le coq promit de le faire, mais l'âne n'était pas du tout serviable et mendiait sa liberté, jusqu'à ce qu'il s'enfuit enfin tout seul, et le coq noble fut obligé de le suivre.
Peu de temps après, le noble coq s'est approché de l'âne et a voulu l'emmener dans sa voiture pour une promenade. Bien sûr, dit l'âne, je vais te mettre dedans. Le coq a donné ce genre de réponse, et l'âne ne pouvait pas au début lui donner un indice sur le chemin qu'il doit prendre, et il y avait un malentendu. Mais enfin, le coq entra, et ils s'en allèrent par-dessus pierre et colline. Puis ils s'arrêtèrent au pommier, et le pommier leur répondit :
"Shake, shake, silver and gold, Gold and silver we ride again !"
et l'âne et la bite dansaient en rond, sur la musique des flûtes.
Le coq, qui poursuivait inlassablement l'âne, se mit à danser avec les autres chiens, et la danse était tout à fait gracieuse, tout comme la chasse à la queue. L'âne, qui souffrait plus que tout, dansait avec la bite noble, et la bite lui donnait un bol de bonbons, et disait:'Quand tu es fatigué, va aux toilettes pour te soulager'. Puis l'âne s'en alla et fit exactement ce qu'on lui avait dit de faire, jusqu'à ce qu'il satisfasse enfin le noble coq.
Quand le temps fut venu pour l'âne de remonter à son endroit habituel, le coq vint, et dit: "Suis-moi, oiseau qui palpite, et tu redeviendras un oiseau qui palpite".
Alors l'âne fut enchanté, et suivit le coq noble, qui pour sa part était un homme très méchant, et un grand menteur. Il porta la pomme d'or dans son bec et dit : " Si je peux seulement jeter cette pomme d'or, alors je redeviendrai un gentleman et je débarrasserai le monde de cela."
