Coup de poing, coup de poing, coup de fouet

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Il était une fois un berger qui avait non seulement deux filles, mais aussi un fils et un gendre. Elles étaient toutes les deux belles, mais laquelle était la plus belle ? Le soir même, ils devaient être testés. Le berger et sa femme devaient choisir du bois et souhaiter une grande purification, afin que tous soient prêts pour la fête qui devait avoir lieu ce soir-là. La jeune comtesse devait être la chef de la procession, et si elle choisissait celle qui était la plus belle des deux, ce serait la fête tenue en son honneur.

La jeune comtesse était sur le point de prendre sa balle dans sa main et de la pousser vers le ruisseau, quand le berger nagea derrière elle et la jeta dans la rivière à large bouche. La comtesse monta dans la voiture avec elle, et conduisit avec les deux pieds, tandis que le berger s'assit dans sa barque et s'écria : "Je ne peux pas tirer la barque, je n'ai pas d'eau à boire, et vous ne croirez jamais combien elle est sale".

Quand la comtesse est montée dans la voiture avec le petit berger, il était déjà très tard et le temps était clément. Il y avait beaucoup de monde au poste de police, et le gendarme a dit au berger de sortir, car il était très en colère parce qu'il avait été forcé d'abandonner son bateau.
"Rendez-moi mon bateau, dit le berger, voici leurs chaussures, et j'ai mon bateau."

Ils ont pris le train de Rostock à Wiitz, dans le Wiitzeche, et de là à Mayence, puis ils ont traversé le pays brut jusqu'en Prusse. En Prusse, ils s'arrêtèrent dans une petite auberge, s'assirent toute la nuit et ne mangèrent rien, mais burent beaucoup et fumèrent. Le matin, ils se rendirent à la Braunausgasse, puis à Marburg, dans les Hautes-Alpes.

J'étais en visite à la cour de l'empereur un jour. Tous les courtisans étaient rassemblés dans la grande salle, où la belle princesse était assise, comme vous vous en souvenez peut-être. Il y avait aussi une dame qui était censée être la secrétaire privée de l'empereur, avec un bâton à la main. Il y avait aussi un jeune comte avec un bâton à la main, et sur sa tête un petit bouclier royal, qui représentait en miniature la triple monarchie. Tous étaient vêtus de leurs plus beaux atours, et l'empereur avait envoyé des messagers dans toutes les parties du monde pour encourager les gens à prendre part aux festivités.

A l'aube de la nuit, les comtes et les dames de la cour furent obligés d'aller dans leurs mansardes, où ils trouvèrent tous leurs bijoux éparpillés, et tous leurs plats en argent et en or essuyés avec la cuillère en argent pointue. La jeune comtesse vit sa porte de chambre grand ouverte, et tout le monde dans la maison vit ses grandes chaussures rouges, qu'elle avait mises à sécher, quand soudain elle sortit en poussant un cri terrible ! Les serviteurs se précipitèrent ensemble, et elle tomba terrifiée dans la baignoire, sous les yeux de l'empereur. Tout le monde dans la rue s'est aussi précipité sur le seuil en groupes, et a crié "'C'est sur le nid des faucons' maintenant !"

Dès que la jeune comtesse s'en fut sortie, il cria : "Comtesse, pourquoi criez-vous ainsi ?"
"Parce que j'ai peur, répondit-elle, et parce que je veux voir la princesse, qui s'occupe des feux d'artifice."

Il l'a prise pour sa petite princesse, qui voulait voir les feux d'artifice autant que les autres comtesses, et pour la même raison. Ils voulaient tous la voir et la regarder, car il n'y avait personne d'autre au monde qui était plus beau qu'elle.

Puis il l'a emmenée s'asseoir sur un petit canapé, qui devait ensuite être décoré de bijoux et d'objets de divertissement en soie. Tous les plus grands costumes étaient proposés pour la représenter, et même les dragons devaient être comparés à l'image d'un paon ; et on devait même montrer un char tiré par quatre dragons, qui devait conduire la mariée à la rivière, avec des rideaux de soie et de mousseline jetés en arrière. Ce devait être une réception des plus splendides. Il devait même y avoir une fête pour Noël, à laquelle la princesse et le fidèle berger étaient invités. La famille du berger fidèle devait être libérée, et tous les dimanches, ils devaient prendre congé de leur père et de leur mère, et retourner au château.

Sur la porte de l'étable où vivaient les bêtes, on peignait l'image d'une belle colombe, avec les mots : "Secoue-moi, secoue, roule-moi." Ils décrivirent que c'était une belle vue, car le comte avait deux belles filles, et le petit berger n'en avait qu'une seule. Mais ses restrictions ne convenaient pas à ces enfants, et ils ne voulaient pas qu'il en soit ainsi.


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