Scène Bonus #1: Rire

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Je post à l'improviste, krkr ! Voici une petite scène bonus que j'ai écrite sur un coup de tête, et que j'ai eu envie d'ajouter à cette histoire ^^ J'espère qu'elle vous plaira !

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Cher journal,

C'est juste une grosse merdeuse, tch. Comment oses-t-elle déranger le caporal-chef pour autant de niaiseries ? Elle devrait être punie pour insubordination. Aujourd'hui, elle est arrivée dans mon bureau en trombe avec un espèce d'objet rectangulaire et m'a littéralement arraché ma paperasse des mains.

Moi (fâché): Dégage, merde ! Tu vois pas que je travaille ?!
Elle (avec un grand sourire): Aujourd'hui, Rivaille, on a une très grande mission !
Moi: Tch. Réussir à te la faire fermer pour de bon ?
Elle (en réprimant un sourire): Non. On va essayer de donner de la vie à ton visage grincheux : on va te faire rire !
Moi (en me levant): Ok, bye.
Elle (en me prenant par les épaules et me forçant à me rassoir): Tu restes ici !

Puis, sous mon regard ennuyé, elle ouvrit son espèce de rectangle, et une rangée de touches avec des lettres ainsi qu'un écran noir apparurent à notre regard. Je n'avais pas le temps de participer à ces niaiseries, tch. Mais elle ne me laissait pas partir, cette merdeuse. Je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi chiant. Je croisai les bras en soupirant, le temps qu'elle démarre son engin.

Elle: Mon plan est simple, il est divisé en trois étapes. Un, les blagues de papa. Deux, les « Try to not laugh challenge ». Puis, trois, finalement, les fails. Si tu n'as pas ri après tout ça, honnêtement, j'abandonne.
Moi: Tch. Embraye, j'ai pas que ça à faire.
Elle (en riant, appuyant sur une touche): Ok, donc, étape 1 commencée !

Elle partit alors quelque chose qui s'appelait une vidéo selon elle. Je n'ai jamais vu quelque chose d'aussi merdique que ces blagues. La merdeuse a dû rire au moins une trentaine de fois, tch. C'était juste ridicule.

La vidéo: Comment on appelle un cochon qui vole ? Un aéro-porc (aéroport) !
La merdeuse (pouffant): Rivaille... Ris un peu !
Moi: C'est tellement nul, juste les idiots peuvent rire à des jeux de mots aussi merdiques, tch.
La merdeuse (insistante): Mais, c'est justement ça qui est drôle...
Moi (pognant les nerfs): Tu veux que je t'en raconte une, moi, une blague ?! Comment on appelle la merde que le gars en haut du mur a faite ? Un caca haut (cacao) ! (sarcastique) Hahaha, que c'est drôle !
La merdeuse: ...
Moi: ...
*gros malaise*
La merdeuse (encore malaisée): Ok ! Étape 2 !

Tch. C'était elle qui avait commencé avec ses jokes plates.

La merdeuse (en retrouvant son sourire, en partant la vidéo): C'est un défi. Si tu ris, tu perds !
Moi (en croisant les bras): Tch.

Sa vidéo étant tellement ennuyante... Même elle a dû le sentir, car elle s'est mise à bailler. Ça se voyait qu'elle avait de la difficulté à garder les yeux ouverts. C'était ce qui arrivait quand on venait déranger le caporal-chef au lieu de prendre sa nuit de sommeil, tch. Elle s'endormit sur le dossier de sa chaise en à peine deux minutes. Quelle merdeuse... Je profitai de son assoupissement pour aller faire du thé. J'allais avoir besoin de ça si je ne voulais pas m'endormir à mon tour.

Ça faisait 20 minutes que j'étais retourné à ma paperasse, laissant la merdeuse dormir sur sa chaise, lorsque j'arrêtai mon crayon en plein milieu d'une phrase pour lui jeter un coup d'œil. Ses cheveux cachant à moitié son visage, la bouche légèrement entrouverte... tch. J'écris n'importe quoi. Je repensai alors à toute cette histoire de rire, et je ne pus m'empêcher de trouver la situation totalement ridicule. En me remémorant la face de la merdeuse, avec son objet rectangulaire, qui arrivait dans mon bureau, je ne pus m'empêcher de laisser échapper un léger rire de ma bouche.

Moi (en regardant la silhouette de la merdeuse, chuchotant): C'est toi, qui me fais rire... Espèce de grosse merdeuse, tch.
La merdeuse (en se réveillant, les yeux entrouverts): Rivaille ? Oh mon dieu, je me suis endormie ! Désolé !!! Eh, qu'est-ce que tu fous avec ta paperasse ?! On est supposé te faire rire !
Moi (en rougissant imperceptiblement, reprenant mon air de je-m'en-foutisme habituel): Tch. Tu réussiras jamais.
La merdeuse: C'est ce qu'on va voir, monsieur grincheux !

En bref, je suis devenu un bel épais, tch. Et tout ça à cause de cette grosse merdeuse.

Ackerman.

Nos deux mondes... [𝐑𝐢𝐯𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐗 𝐑𝐞𝐚𝐝𝐞𝐫]Where stories live. Discover now