Chapitre N°15

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Je suis complètement perdu, le Caporal-chef ma laisser dans une si grande maison. Elle semble un lieu où personne n'est venu depuis longtemps. Cela n'est pas vraiment les habitudes du Caporal-chef d'avoir un lieu poussiéreux. 
Je ne sais pas quoi faire, j'ai posé mes affaires dans la chambre qu'il m'a indiquée. Et après?

Cela fait à peine une heure qu'il est parti, et je n'ai rien à faire. Pas la moindre occupation alors je me mets en recherche d'un balai et de quoi faire un peu de ménage. Pendant je ne sais combien de temps, je m'applique à faire l'entretien de la maison, sauf pour la chambre du Caporal-chef. C'est au-delà de mes forces. La salle d'eau et les sanitaires sont récurés comme il faut et passe à la chambre où je vais devoir rester, pour continuer par l'immense salon et la cuisine. De ce fait, j'ai terminé de faire l'entretien de la maison. Je regarde l'horloge, mais ses aiguilles ne semblent pas avoir bougé.
Parce qu'elles n'ont pas bougées.

Génial, je suis dans la ville souterraine, un lieu où vivent. Voleurs, prostitués, criminels en tous genres, meurtrier, violeurs et pervers.

J'entends un bruit, il vient de la porte que je ne connais pas, la porte en face de la cheminée. La maison est propre, j'ai  nettoyé et ranger le matériel et là, dans moins d'une seconde un de ces types va entrer... et je suis en chaleur.

Une petite chevelure brune passe, je reconnais la fille de ce matin.
_ ah, Grand-frère t'as donc laissé ici. Dit-elle.
_ nous t'avons apporté à manger. Le garçon aussi est là et il agite un sac pour appuyer ses dires. Je ne sais pas du tout comment réagir, mais c'est vrai que le Caporal m'avait dit qu'il s'arrangerait, pour que je ne sois pas lâcher ici tout seul.
_ comme nous ne savons pas ce que tu aimes, et avec le peu que nous avons on a essayé de faire au mieux.

Pendant un moment le grand blond, tourne dans la maison.
_ je vois que tu as faitle ménage. As-tu fait la chambre de Livaï? Me demande t-il.
_ je... je suis fatigué. Répondis-je. Ce n'est qu'un demi-mensonge. Mais c'est sans doute mieux que de leur dire que j'en serais incapable.
_ c'est aussi bien comme ça. Farlan, tu... commença la brune, sans terminer sa phrase.
_ bien sûr. Le blond, dénommé Farlan disparaît.
Mon ventre gargouille, je n'ai rien avalé depuis un moment. Le bruit de mon estomac quémandant de la pitance attire la brune. Elle me guide à la cuisine et me sort un plat, un fruit et de l'eau. En temps normal, je détesterais ça, mais la, vue mon état actuel. Il vaut mieux que je fasse profile bas, et accepter de vivre aux crochets d'un hôte, tel un parasite.

Elle disparaît elle aussi, allant rejoindre le susnommé Farlan, j'en profite pour avaler rapidement ce qu'elle m'a donné. Je finis par être vraiment fatigué, je sens que mon corps est plus lourd.
Finalement je ne vais peut-être pas faire la vaisselle du plat, et garderais le fruit pour plus tard et vais m'installer sur le sofa. 
La ville souterraine est plus fraîche que le monde extérieur, et les gens y sont si pâle.Un frisson me parcourt et masse mes bras avant de me pelotonner.

Des voix me réveillent, mais je ne parviens pas à ouvrir mes yeux.
_ c'est aussi bien que le petit dorme, tu ne crois pas? Demandait l'une de ces voix.
Mes yeux s'ouvrent, ils me brûlent et ma vision est trop floue pour que je puisse distinguer quoi que ce soit. Sauf trois silhouettes. Leur voix sont lointaine.
_ c'est sans doute mieux. Merci, pour lui.
_ le bonhomme ne parle pasbeaucoup, c'est dans ses habitudes?
_ en temps normal. Eren est ce que j'appellerais, une forte tête. Mais là, il ne doit pas comprendre ce qui lui arrive.

Je me réveille enentendant des bruits de l'autre côté. Il fait bien plus sombre que tout à l'heure et une simple lampe à huile brûle doucement. Le visage du caporal-chef passe devant la porte, il doit être devant l'évier.
_ ah tu te réveilles. Constate-t-il.
Je constate à mon tour, que les deux autres ont disparu. Le caporal s'approche de moi, avec une démarche légère, presque féline. Son ombre me couvre, il est au-dessus de moi.

Je sais que je n'ai pas le choix, je dois lui parler.
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Ayo!

voilà votre chapitre. Le suivant sera sans aucun doute plus long.
De gros bisou sur vos petit nez de titan!
Byu!

Vivre avec un secretOnde histórias criam vida. Descubra agora