Mon caporal

Episode 73 : Psychologue ?!

Pixis avait finalement parler de moi à sa femme, et j'avais reçus une semaine plus tard, le lieu de son cabinet, la date et l'heure de mon rendez-vous. J'étais actuellement dans la salle d'attente à frotter mon ventre d'angoisse, la seule chose qui me permettait de tenir à l'heure actuelle. C'était ce bébé, mon enfant.

- Mademoiselle Lewis ? Demanda la voix de sa secrétaire.

Je me levai avec difficulté, avant que la secrétaire m'escorte jusqu'au bureau de madame Pixis. Celle-ci m'attendait avec un sourire, installé sur son fauteuil. Lorsqu'elle aperçu mon ventre, sous sourire encore plus grand orna sont visage.

- Oh mais vous êtes enceinte ?! Dot ne m'avait pas dit ça ! S'exclama-t-elle en s'approchant de moi. Je peux ? Demanda-t-elle en tendant une main vers mon ventre tandis que j'hochai la tête. Vous avez déjà des idées de prénom ?

- Quelque uns, mais pour l'instant je préfère que ça reste secret et puis je n'en ai pas vraiment parler avec Livaï...

- Oh, je vois... Installez-vous ! Dit-elle en me montrant un fauteuil du doigt. Vous allez voir, ils sont confortable.

Lorsque je posai mes fesses sur ce fauteuil, je me sentis au paradis, il était parfait. Je me sentais sur un petit nuage.

- Dot m'a dit que vous n'aviez pas l'air très bien, pourtant vous avez bien évolué depuis les deux dernière fois où je vous ai vue. Dit-elle en montrant mon ventre. Vous n'êtes plus cette jeune femme de dix huit ans, complètement perdue. Ajoutât-elle avec un léger sourire.

- Oui, c'est vrai. Mais il s'est passé de nombreuse chose entre tous ça.

- Je vois ça, raconter moi !

Je lui racontait toute les péripéties qui me sont arrivé depuis mon poste de second, puis je ne négligeais pas ma demande en mariage, ni les absences à répétition de mon futur mari. Les enfants qui grandissent... Et aussi Maria et les répercutions que ça avait eu. La seule chose que je ne racontais pas, c'était mes pouvoirs.

- Je comprends le mal qui vous ronges, je suis fille, femme et mère de soldat. L'absence peut-être très dur à vivre, je le comprends, mais il faut en parler à votre conjoins. Par exemple, le mien est commandant et alcoolique, et je ne me gène pas de lui faire comprendre que cela me gène de ne pas le voir. Si vous allez vous marier c'est d'autant plus important ! Malgré la période difficile dans laquelle nous somme, si nous ne somme pas capable de parler, de communiquer. Nous entrerons dans une guerre sans fin. Parfois les mots sont plus fort que les gestes et inversement, alors si Livaï ne veut pas chercher à comprendre que ça femme à besoin de lui. Allez le chercher par la peau des fesses ! Et si cela ne suffit pas faites tout ce qui est dans votre pouvoir, ou sinon...

- Je le quitte. Soufflais-je

- Mathilde ? Ton rendez-vous viens d'arriver. Annonça la secrétaire

- Très bien, dit lui d'attendre quelque seconde. Nous allons reprogrammer une séance pour la semaine prochaine et nous verrons les avancer des choses ? Et nous prendrons plus de temps pour parler d'Eren, Armin et Mikasa.

- D'accord.

- Et si après toute ses séances votre relation avec Livaï n'avance pas, alors nous le ferons venir à une de nos consultations.

Sur le chemin du retour, je m'arrêtais dans une pâtisserie pour prendre un muffin aux chocolats. Ma consultation avait été plutôt bénéfique, il fallait que j'arrête de fuir. Lorsque je rentrais à la maison, je vis que Livaï m'attendais au pied levée assis à table.

- T'étais où ?

- Je suis sortie

- Où ça ?

- Je peux savoir pourquoi tu me fais un interrogatoire de ce genre ? M'énervais-je en posant mon sac sur la table.

- Peut-être parce que quand je rentre, ma femme qui est enceinte n'est pas à la maison ?! S'agaça-t-il

- Ta femme ? Dis-je avec une petite voix

- Oui, ma femme. Souffla Livaï

- Ce n'est pas parce que je suis ta "femme" comme tu dis que tu dois connaître tout mes faits et gestes ! Et ce n'est pas aussi une raison pour que je reste à la maison ! Dis-je en essayant de ne pas me faire avoir par ses mots qui enjolivait la situation.

- Tu vas pas tarder à nous pondre un mioche, alors oui je m'attends à ce que tu restes ici. Dit-il calment.

- Tu veux savoir où je suis allée ?! Alors que toi, je ne t'ai pas vu depuis une longue semaine ! J'étais chez un psychologue ! Parce que j'en peux plus de tes absences à répétition Livaï ! JE SUIS ENCEINTE MERDE ! Hurlais-je.

C'était la première fois que j'hurlais sur Livaï depuis le début de notre relation.

- Les soldats et Hansi on besoin de moi.

- MOI AUSSI J'AI BESOIN DE TOI ! ALORS SI TU N'ES PAS CAPABLE DE NE SERAIS-CE JUSTE T'OCCUPER DE TA FEMME COMME TU LE DIS SI BIEN ! C'EST QUE JE NE COMPTE PAS tellement que ça pour toi. Terminais-je en sentant les larmes couler.

- Arya...

- Je vais dormir chez Mary. Dis-je en reprenant mon sac avant de repartir.

J'avais espérer que Livaï me retiendrait et me dirait qu'il m'aimait qu'on pouvait arranger tous ça maintenant, mais il n'en avait rien fait. Il n'avait même pas réagis. Lorsque j'arrivai devant la porte des Dork, Nail ouvrit celle-ci.

- Je- Arya ? Qu'est-ce que tu fais ici ? Tu es frigorifié entre. Me dit-il inquiet.

Mary descendit les escaliers avant de me rejoindre.

- Oh, qu'est-ce qu'il c'est passé ma chérie ? Demanda-t-elle en essuyant mes larmes.

- Je-Je-Livaï et moi on s'est disputé et-et je-je savais pas- où-où aller.

- Oh ma chérie viens dans mes bras. Nail, chéri, tu peux nous faire du thé s'il te plaît ? Demanda-t-elle tout en me caressant le dos comme une enfant.

Nail revint quelque minute après avec du thé, et montai à l'étage.

- Où sont les enfants ? Demandais-je la voix rauque une fois calmé

- Ils sont chez une amie.

- Oh, je vous déranges !

- Mais non, tu es toujours la bienvenue ! Et puis les enfants ne rentre pas avant une bonne semaine. Alors, pourquoi vous vous êtes disputer ?

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Prochain épisode : Journée entre filles ?

Première vraie dispute entre Arya et Livaï !