Habentis Maleficia | Tome 1...

By BeatrixNix

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Ever, une jeune fille de 17 ans, a conscience que sa nouvelle vie à True Hills sera différente. Seulement, el... More

Prologue
Chapitre 1 - New Heart [1/3]
Chapitre 1 - New Heart [2/3]
Chapitre 1 - New Heart [3/3]
Chapitre 2 - Return to True Hills [1/3]
Chapitre 2 - Return to True Hills [2/3]
Chapitre 2 - Return to True Hills [3/3]
Chapitre 3 - Follow the White Rabbit [1/2]
Chapitre 3 - Follow the White Rabbit [2/2]
Chapitre 4 - Draw interest [1/3]
Chapitre 4 - Draw interest [2/3]
Chapitre 4 - Draw interest [3/3]
Chapitre 5 - Dark Horse [1/3]
Chapitre 5 - Dark Horse [2/3]
Chapitre 5 - Dark Horse [3/3]
Chapitre 6 - A blessing in disguise [2/4]
Chapitre 6 - A blessing in disguise [3/4]
Chapitre 6 - A blessing in disguise [4/4]
Chapitre 7 - One step towards me [1/3]
Chapitre 7 - One step towards me [2/3]
Chapitre 7 - One step towards me [3/3]
Chapitre 8 - Obey to me [1/3]
Chapitre 8 - Obey to me [2/3]
Chapitre 8 - Obey to me [3/3]
Chapitre 9 - Feeling good [1/3]
Chapitre 9 - Feeling good [2/3]
Chapitre 9 - Feeling good [3/3]
Chapitre 10 - Mirror Mirror [1/4]
Chapitre 10 - Mirror Mirror [2/4]
Chapitre 10 - Mirror Mirror [3/4]
Chapitre 10 - Mirror Mirror [4/4]
Chapitre 11 - Reason of heart [1/3]
Chapitre 11 - Reason of heart [2/3]
Chapitre 11 - Reason of heart [3/3]
Chapitre 12 - Peace and tipsy [1/3]
Chapitre 12 - Peace and tipsy [2/3]
Chapitre 12 - Peace and tipsy [3/3]
Chapitre 13 - Once upon a dream [1/3]
Chapitre 13 - Once upon a dream [2/3]
Chapitre 13 - Once upon a dream [3/3]
Chapitre 14 - Bitten Heart [1/3]
Chapitre 14 - Bitten Heart [2/3]
Chapitre 14 - Bitten Heart [3/3]
Chapitre 15 - Red eyes [1/2]
Chapitre 15 - Red eyes [2/2]
Chapitre 16 - All Hallow's Eve [1/2]
Chapitre 16 - All Hallow's Eve [2/2]
Chapitre 17 - Hopless [1/3]
Chapitre 17 - Hopless [2/3]
Chapitre 17 - Hopless [3/3]
Chapitre 18 - Dream's Poppies [1/3]
Chapitre 18 - Dream's Poppies [2/3]
Chapitre 18 - Dream's Poppies [3/3]
Chapitre 19 - Séraphin [1/2]
Chapitre 19 - Séraphin [2/2]
Chapitre 20 - My soulmate [1/3]
Chapitre 20 - My soulmate [2/3]
Chapitre 20 - My soulmate [3/3]
Chapitre 21 - Love me
Chapitre 22 - Astral or Vampire [1/2]
Chapitre 22 - Astral or Vampire [2/2]

Chapitre 6 - A blessing in disguise [1/4]

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By BeatrixNix

« On trouve des moyens pour guérir de la folie mais on n'en trouve point pour redresser un esprit de travers.»

La Rochefoucauld


Que pouvait donc inspirer tant de peur lorsque le danger restait inexistant ? Dans sa vérité, un reflet ne pouvait être qu'un reflet. Aucune menace, le simple écho d'une image.

Pourtant, me confronter au miroir devint une nouvelle épreuve. L'hypnose de son observation n'était en aucun cas responsable de ce sentiment naissant, au contraire de cette sensation étouffante m'obligeant à détourner le regard : je n'étais pas prête. Avais-je retiré le drap trop tôt ?

L'hésitation. Une simple hésitation.

Puis un fil rouge...

A mon poignet, il traversa ma chair, s'insinua sous ma peau pour remonter le long de mon bras. Je pouvais le sentir, ses fils grouillant pour prendre mon corps de l'intérieur. Lorsqu'il pénétra mon cœur, ce dernier sembla renaitre. Avait-il déjà été capable de battre dans ma poitrine ? Avais-je été en vie jusqu'à présent ?

Mes paupières se fermèrent, je m'abandonnais à ce sentiment de vie. A ce sentiment de paix...

Une sensation agréable, emplie d'une tendresse sereine. Un léger mouvement berçait mon corps sans brusquerie, se contentant de l'accompagner. Les vagues me transportaient pour me ramener sur le sable.

J'ouvrais les yeux, faisant face à la nuit dont le ciel serait toujours magnifique. Pas de miroir. Les étoiles brillaient, ne se laissant pas cacher par d'hostiles nuages qui auraient pu souhaiter couvrir leur timide lumière. Et en ce bal de minuit se dressait la Reine de la Nuit. La Lune apparaissait, à moitié effacée par une criminelle nébuleuse. Mais sa clarté ne pouvait être retenue. Et la Reine, bien qu'à demi saisit, continuait à exposer une partie de sa céleste beauté.

Mes doigts bougèrent, espérant sans doute se lever pour tenter de se saisir de ce spectacle intouchable.

J'étais allongée, mon corps voguant seul dans l'eau glaciale de la plage. Les vagues douces à la morsure glacée allaient et venaient sur moi. Mais ces sensations ne semblaient pas avoir de réel impact, parce que même s'il ne s'agissait pas d'un rêve mais d'une exploration de la réalité, mon corps physique ne s'y trouvait pas.

Pourquoi étais-je échouée sur la plage, en bord de côte ? Pourquoi ne parvenais-je pas à bouger ne serait-ce que le petit doigt ?

Pourtant, après un moment, je trouvais la force de me rouler sur le côté pour me placer à genoux. Le sable ne me collait pas à la peau, pas plus que l'eau.

Observant mon environnement, il fut certain que je ne connaissais rien de ce lieu. D'après ce que j'observais, je me trouvais dans une crique, entourée d'une épaisse forêt et de deux hautes falaises pour m'encercler. La nature ne voulait pas me livrer aux dangers du reste du monde, m'enfermant dans un isolement qui ne me laissait que deux choix de destin : la mer ou les falaises.

Toujours vêtue de cette maudite robe trop encombrante, je fus heureuse lorsqu'il me parut possible de retirer la jupe sous laquelle se révéla une autre bien plus légère et souple. Aucun froufrou, aucune dentelle. Le voilage tombait au-dessus de mes chevilles, rendant mes mouvements plus aisés.

Plaçant un pied au sol, je me décidais à me lever. Au loin, le croassement des corbeaux envahissaient les bruits environnant. A croire que ces oiseaux ne dormaient jamais. Certains étaient perchés aux arbres. Ce n'était pas la seule chose que je percevais dans ces bois.

Des ombres s'y cachaient, se rapprochaient.

Je fis un pas en arrière alors que trois personnes sortaient. Il s'agissait de nouveau du trio : Hale, Tristan et Lorelei.

— Encore toi ? Je te pensais morte avec ta chute de la dernière fois, s'étonna Lorelei. A moins que ton élément ne soit celui du vent ?

Hale me dévisageait en souriant, visiblement amusé au contraire de ses amis.

— Tu as donc trouvé un moyen de m'échapper.

Puis soudain, ses yeux virèrent au rouge, une lueur terrifiante y naissant comme une embrasure.

— Je ne te laisserai pas me fuir de nouveau.

Magnifique et terrifiant à la fois, un frisson m'informa de la menace venant de cette phrase prononcer sans aucun sourire ni sur le visage de Hale ni dans le timbre de sa voix. Il dépassa ses amis, sa main se tendant vers moi. Que comptait-il me faire ?

Un croassement plus fort se fit prononcer parmi les corbeaux, ce qui me fit sursauter. Il signait une menace, une mise en garde qui ne me concernait pas. Elle ne m'était pas destinée, elle me protégeait.

Hale se retourna pour voir ce qui était arrivé pour qu'un tel croassement se fasse entendre. Soudain, un corbeau fendit sur son visage, le griffant de ses serres, avant de voler dans ma direction. Je me protégeais le visage, prête à moi-même essuyer une attaque, mais le corbeau n'en fit rien. Au contraire, il se posa à mes pieds.

— Hale, est-ce que tu vas bien ? s'inquiéta Lorelei.

— Putain de familier ! pestait Tristan à l'encontre de l'oiseau noir.

Mon regard se posa sur le corbeau. Avait-il souhaité me venir en aide ? Ne me laissant pas le temps de me poser davantage de question, je me sentis aspirer en arrière. Le corbeau s'envola et je disparus.


Un rêve étrange. A croire que mon combat contre Tristan et les tentatives de Lorelei pour m'aborder m'impactaient plus que supposé. Ils en étaient devenus des menaces dans mes rêves.

Ma tante toqua timidement à la porte, jetant un œil pour être certaine que je venais de me réveiller. Un châle sur ses épaules, une petite mine du matin sur son visage dénué de maquillage, elle ouvrit mes rideaux et caressa Luna avant de s'asseoir sur le bord de mon lit.

— Tu dois avoir des questions par rapport à hier.

De nombreuses choses étaient arrivées hier. A commencer par un phénomène bien étrange qui m'avait ramené non loin de chez moi en quelques minutes au lieu du trajet de presqu'une heure en voiture depuis la bibliothèque de la ville voisine.

Mais n'ayant pas encore discuté de ceci avec Alyssa, elle devait sans doute faire référence à l'arrivée de Monsieur Nolan.

Les discussions entre lui, ma tante et une troisième invitée surprise – à savoir la mère de Raven – semblaient simplement compréhensible concernant un fait : ils débattaient de quelque chose me concernant.

Connaissant le mode de vie de ma tante, une seule question pendait à mes lèvres :

— Est-ce tu tentes de me faire entrer dans une secte ?

— Une secte ? Oh non, Ever.

Ma question l'amusa.

— J'aurai préféré que tu rencontres Rufus en d'autres circonstances. Ta mère me tuerait si elle savait... Enfin, sache que sa présence ici n'est que temporaire. Si Sarah ne s'était pas proposée Marâtre... Ne pensons pas à des choses déplaisantes, chassa-t-elle avant de replacer mes cheveux en bataille nerveusement. Sarah était là, c'est le principal.

— Alyssa.

Je m'emparais de ses mains, à présent persuadée que la situation était dangereuse.

— Dis-moi ce qu'il se passe. Qu'est-ce que c'est une Marâtre ? Papa aime trop maman pour qu'elle soit devenue ma marâtre au sens strict du terme.

— Non, effectivement. Une marâtre est une sorcière qui...

— Encore avec les sorcières !

Je me levais d'un coup, furibonde.

— Alyssa, je suis vraiment inquiète là ! Qui est ce Rufus ? Qu'a-t-il conclu comme genre d'accord avec Sarah qui me concernerait ? Est-ce... Oh mon dieu... Tu m'as dit que maman avait cassé son portable et que c'était pour ça qu'elle ne m'appelait plus. Est-ce qu'il lui est arrivé quelque chose ? Et Sarah serait vraiment... ?

— Respire Ever, ta mère va très bien et Sarah n'a pas épousé ton père. Je suis simplement trop nulle pour expliquer quoique ce soit. Je suis désolée...

— Vous deux, apparu de nulle part le rouquin. Dans le salon.

Monsieur Nolan n'était pas entré dans ma chambre, la porte ouverte lui permettant de capter notre attention. Et après avoir lancé son ordre, il repartit.

Ma tante se leva, prête à obtempérer.

— Alyssa, l'arrêtais-je en lui prenant le bras. Qu'est-ce qu'il t'arrive ? Cela ne te ressemble pas.

Suivre un homme autoritaire, sans grogner, sans se plaindre ni s'offusquer...

« Elle a été embrigadée dans une secte, j'en suis certaine maintenant »

— Ecoutons ce qu'il a à nous dire, tenta-t-elle de me rassurer d'un faux sourire. Et ensuite je te ferai un super petit déjeuner.

Elle sortit en première et aussitôt je me précipitais sur mon portable, prête à appeler Louise. Louise...

Mais Louise semblait m'avoir écarté de sa vie. Qui aurais-je pu appeler d'autre ? Ce n'était sans doute pas le meilleur des choix, mais je n'en eu pas d'autre. Composant un numéro, j'attendis en priant qu'elle réponde malgré l'heure matinale.

— « Ever, je suis occupée », râla Raven.

Mais bien au lieu de me raccrocher au nez, elle attendit. Qu'aurai-je dû dire ?

— Je suis... Je ne savais pas trop qui appeler.

Un silence assez gênant s'installa. Je n'aurai pas dû appeler.

— « Occupe-toi pendant quinze... Non, dix minutes. »

Et elle raccrocha. Qu'avait-elle voulu dire ?

Poussant un soupir ennuyé, je me convainc d'être sans doute un peu trop sur la défensive. Je devais m'être montée la tête. Une information m'échappait et tout ceci n'était qu'un énorme quiproquo.

Je m'approchais de la porte. Non, je ne devais pas. Pas encore. M'occuper. Peut-être que me préparer comme pour une journée normale était une bonne idée ? Jusqu'à ce qu'un miroir m'en dissuade. Mon miroir...

Au dehors, un groupe de corbeaux sembla s'envoler dans un bruit funeste. Un signe ?

Cachant mon reflet pour ne pas le voir, je m'emparais seulement de mes médicaments. Juste un, pour effacer le sentiment imposant en mon esprit un mauvais présage.

Depuis le salon, la voix de ma tante s'éleva pour m'appeler. Je lui répondis, serrant mon téléphone dans ma main. Dix minutes.

M'habillant rapidement, bien décidée à ne pas me montrer en pyjama devant cet homme, je brossais rapidement ma tignasse avant d'en faire une queue de cheval. Et je descendis les escaliers, rejoignant Alyssa.

Installée sur le canapé, les yeux fuyant, elle avait laissé Rufus s'installer sur son fauteuil. Le sien. Ce n'était pas simplement dans ma tête, n'est-ce pas ?

Devais-je prendre une autre gélule pour m'en persuader ?

— Alyssa, regarde-moi s'il-te-plait. Tu sais que je ne suis pas venu pour me disputer.

Elle le fusilla du regard avant de nouveau fixer absolument tout sauf lui.

— Tu diras ça à Priscilla. Elle m'a donné la responsabilité de m'occuper d'Ever. Et je compte bien tenir parole.

— T'opposer à nous ne t'apportera rien de bon.

Une menace...

— Ever, te voilà !

Je rejoignis ma tante, me demandant qui de nous deux avait vraiment besoin d'être protégée ?

— Ever More, à partir d'aujourd'hui tu vas devoir me suivre.

— Comment ? se leva soudain ma tante, furieuse et effrayée à la fois. Tu n'as pas le droit ! Sarah est sa Marâtre !

Cela ne déstabilisa pas Monsieur Nolan. Bien au contraire. Il paraissait beaucoup trop en confiance et sûr de lui.

— J'ai remarqué les marques de brûlure, Alyssa. Ma venue ici n'était pas une visite de courtoisie. Ever deviendra vite instable et dangereuse.

Il se leva, me tendant la main.

— Pendant quelques temps, tu ne pourras plus aller à l'école. Mais n'ai pas d'inquiétude, nous avons les contacts nécessaires pour te permettre d'être diplômée et avoir ta place dans l'université de ton choix.

L'emploi du « nous » n'avait rien d'arrogant. Cet homme n'était pas un gourou, il représentait sans doute une organisation. Les quelques émissions concernant des sectes me refroidirent bien vite dans mon envie de fuir. Dans quoi ma tante venait-elle de m'embarquer ?

— Je ne comprends pas, tentais-je tout de même de communiquer. Qui êtes-vous ?

— Nous sommes le Cercle.

Le Cercle... Je me tournais de nouveau vers ma tante.

— Une secte de sorciers ?

— Une secte... Tu ne sais donc rien du monde dans lequel tu vis. C'est d'autant plus dangereux. Nous allons reprendre ton éducation, ne t'inquiète pas.

— Je ne suis pas une sorcière...

Pourquoi mon corps tremblait-il ainsi ? Ma mère n'était pas là pour me calmer, Louise ne viendrait pas pour se débarrasser de cet homme, à se disputer avec Gideon qui demanderait à son père pour régler la situation.

Un lapin... Pas Luna. Il était posé devant la porte d'entrée. Habitué à me guider vers un échappatoire, aurait-ce été fou de le suivre ? Suivre une hallucination...

Il n'y avait plus que moi. Ma tante n'interviendrait pas. Mes médicaments non plus. Il me fallait en prendre de nouveau. Deux gélules, plus seulement une seule. Pour effacer tout. Absolument tout...

Dans un fracas assourdissant, la porte d'entrée s'ouvrit, accompagnée par le son d'un début de tempête inquiétant et du croassement des corbeaux. Une femme entra, laissant ses talons imposer le silence à chacun de ses pas.

Sarah venait de faire ton entrée. Vêtue tout de noir, le tailleur pantalon lui donnait des airs de patronne influente. Mais le corbeau sur son épaule...

« Je vais finir par croire que la sorcellerie existe réellement. »

Elle se tourna vers nous, observant en silence la main de Rufus toujours tendue dans le but que je m'en empare. Il recula d'un pas.

— Ever, Raven t'attend dans la voiture, m'incita-t-elle à prendre la fuite et à suivre le lapin. Ne t'inquiète pas, je vais régler les problèmes.

— Elle n'ira nulle part.

— Oh, vraiment ? Et tu comptes l'emmener contre son gré ? Regarde-la bien, Rufus. Ose me dire qu'elle te suivra volontairement. Nous étions pourtant d'accord. Tu pouvais veiller sur elle ici, mais je reste sa Marâtre.

A son tour, elle leva la main. Sans une once d'hésitation, je me levais pour m'en saisir.

— Tout va bien Ever. Monte en voiture.

— Ever, appela Rufus. Je n'avais pas l'intention de...

— Stop, Rufus. Ton manque de tact te fera toujours défaut.

Luna sembla arrivée, sortie de ma chambre pour me retrouver. L'illusion disparue et je pris l'animal rassurant dans mes bras.

Sarah m'emmena jusqu'à la voiture. Raven nous y attendait, machant un chewing-gum tout en jouant sur son téléphone.

— C'est réglé ? questionna-t-elle.

— Pour l'instant.

— Le Cercle, à True Hills. J'm'en passerai bien.

Elle leva enfin ses yeux de son téléphone.

— Dix minutes piles. J'suis pas en retard.


Date publication : 20/05/2023

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