TOME 1 : • TERMINÉ •
「 Xander, depuis son plus jeune âge a toujours eu pour simple objectif, réussir dans ses études, là où son père a échoué.
Mais il à bientôt dix-huit ans, et il aspire à d'autres choses également : L'alcool, les fêtes et les fill...
MAJOR LAZER - Powerful “Je ne pourrais partir même si je le voulais Parce que quelque chose continue de m'attirer vers toi” _____ ____________
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| MAISON DES GRAND-PARENTS WEST, 18H30, JOUR |
....une semaine plus tard après le rétablissement de North (sans événements importants)
— Ne me dis pas que tu as vraiment invité cette énerguméne à festoyer avec nous ! S'écrit ma grand-mère, entrain de faire les cents pas entre les grands murs du salon. Dites-moi que je rêve.
— Tu ne rêves pas, il est bien présent dans cette pièce.
— Je crois que je vais faire un malaise, grimace-t-elle une main sur le front.
Elle s'écroule contre un canapé, tout en hurlant à sa gouvernante de lui apporter un verre d'eau.
Xander, près de moi, est à deux doigts de se tordre de rire devant le mauvais jeu de rôle qu'elle s'active à mettre en place depuis plus d'une heure, avec l'espoir de faire fuir le grand brun. Hors, ses tentavives toutes les plus grotesques les unes que les autres, ne servent pas à grand chose. Je suis même sûre qu'elle apporte même un désir incomensurable à Xander de rester, pour encore plus lui casser les pieds.
— Paul, vient m'aider, interpelle-t-elle, mon grand-père qui passe justement dans la pièce.
Taillé d'un costard hors de prix, il se retourne vers elle, soupire, et tape du pied.
— Je n'ai pas le temps de m'occuper de ça. Si North veut que ce garçon reste là pour les fêtes, alors il restera là pour les fêtes, la prévient-il.
Paul force ma grand-mère à se résigner d'un simple regard, et comme toutes personnes résigné, cette acte lui fait également perdre sa crédibilité.
L'ambiance auparavant tendu, disparait subitement en même temps que le visage tordu par une colère noire de ma grand-mère à sa sortie du séjour.
— Elle est toujours comme ça ? Éclate Xander d'un rire, tellement fort, qu'il en fait écho dans la pièce.
— Uniquement quand elle n'a pas le pouvoir de contrôler les choses.
Je montre le chemin de sa chambre à Xander, tout en restant le plus stablement possible sur mes jambes, une douleur minime toujours présente dans mon abdomen; les médicaments n'estompent pas particulièrement la douleur, plus mentale que physique.
Je peux voir du coin de l'oeil, la tête de Xander se déplacer de droite à gauche pour scruter l'endroit, impassible. D'habitude, l'exhibation aussi gigantesque soit-elle de la richesse de mes grands-parents entrainent systématiquement des remarques – grossières ou admiratives. L'argent, étant à notre époque, objet de toute convoitise, il est quasiment impossible de ne pas provoquer de réaction chez les autres, à part à première vu pour Xander.
