TOME 1 : • TERMINÉ •
「 Xander, depuis son plus jeune âge a toujours eu pour simple objectif, réussir dans ses études, là où son père a échoué.
Mais il à bientôt dix-huit ans, et il aspire à d'autres choses également : L'alcool, les fêtes et les fill...
TWENTY ONE PILOTS - Heathens. “Tu ne sauras jamais quel psychopathe est assis à côté de toi Tu ne ne sauras jamais quel meurtrier est assis à côté de toi Tu te diras "Comment ai-je atterri là, assis à côté de toi ?" Mais après tout ce que j'ai dit, s'il te plaît n'oublie pas” _____ ___________
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| UNIVERSITÉ DE BARKSLEY, JOUR |
....suite flashback.
— Bradley lache-moi, tu me fais mal, grogné-je, presque certaine de m'être fouler la cheville durant ma chute causé par ce bougre.
Il me sert les hanches d'une force tellement colossale que j'en aurais presque l'horrible impression que le sang à l'intérieur de celles-ci n'a plus la possibilité de couler. S'il avait des ongles, il m'aurait sûrement déjà entailler la chair à une vitesse phénoménale.
Après l'avoir observer un peu plus, son visage semble bien plus bléme que d'habitude, mais ce qui retiens le plus mon attention est l'animosité qui règne dans son regard. Des frissons me parcourent des pieds à la tête, si bien que je me débats un peu plus pour me libérer de son emprise, sachant parfaitement la tournure que va prendre la suite des événements.
— Je ne te lacherais pas, grogne-t-il en me serrant plus qu'il ne le faudrait pour me tenir immobile sur lui.
Je ne compte pas faire ce qu'il me demande, au risque de faire ressortir l'énervement qui l'habite lorsqu'il finit dans un état second comme celui-ci – à croire que j'aime tenter le diable.
— Tu vas me lâcher, où je te jures que je hurle, le menacé-je, espérant qu'il se calme.
Malheureusement, ma remarque n'aide clairement pas, car un voile de colère vient peindre ses yeux déjà noircit par son animosité; ça ne sent pas bon du tout.
— Tu me menaces ? Ricane-t-il en se redressant et en me poussant, à tel point que je finis sur le sol de ma chambre, fesse contre terre.
— Pas du tout, tenté-je de me défendre. Tu me faisais juste mal, je voulais juste que tu me lâches.
Bien que j'essaye de me sortir de ce pétrain, les résultats que j'obtiens après chacunes de mes phrases ne sont jamais ceux auxquels je m'attends. À force, je devrais pouvoir gérer son cas sans difficulté, pourtant la fois suivante est toujours plus dure que la fois précédente. Il devient plus robuste, plus violent, et ce n'est pas le temps qui arrange les choses – je dirais plutôt même qu'il les aggrave.
— Tu veux vraiment que je te fasse mal ? Me demande-t-il, en se léchant les lèvres provocateur.
Lentement, je me recule le plus discrétement et le plus loin possible de lui, mais la chance n'étant pas décidé à être à mes côtés, il m'attrape ma cheville meurtri pour la seconde fois en seulement dix minutes, et me tire à lui. J'ai envie d'hurler, mais aucun son ne sort de ma bouche, seulement un léger gémissement de douleur.
