Chapitre 38, part 2

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J'ouvre les yeux après un sommeil sans rêve, encore tout groogy. Dans ma main je sent une petite peau douce toute de creux et de bosses, quand je regarde ce que c'est je voix une petite bosse couverte d'une myriade d'écailles noires raillé de vert tendre. J'en ai le souffle coupé : c'est moi qui ai fait ça ? Le soleil brille fort au travers des volet fermé, je suppose que j'ai quand même pas mal dormi. Je cherche un instant Jonathan du regards et le trouve entrain de ronfler, assis sur sa chaise du bureau. Je me sent encore trop faible pour tenter de me lever mais prendre dans mes bras cette petite chose, ça, pour tout l'or du monde je ne le retarderais pas plus d'une seconde. Enfin je tient dans mes bras mon bébé. Elle est magnifique, sublime. En glissant mon doigt sur le tour de sa tête j'imagine les traits qu'elle peut bien avoir sous sa forme humaine.J'ai hâte qu'elle la prenne, mais pas trop vite non plus.Immédiatement une chose me saute au visage : elle est grande.Je me lance des fleurs en me disant que j'ai bien travailler quand un ronflement vient me corrigé. On as bien travaillé. Le sage-femme n'est nul part pourtant je sent encore sa présence dans la maison,je suppose qu'il dort aussi dans le canapé, nous avons tous passé une nuit debout après tout. La maison est diablement silencieuse,endormi. Subitement les larmes me montent aux yeux : j'ai senti une chose incroyable, les toutes petites vibrations du Soul de notre bébé. Les premières ? Peut être bien après tout elle n'a que quelques heures.

« -Ma toute belle ... »

Au son de ma voix je sent un petit sursaut.

« -Oh pardon, je t'ai fait peur. Tu dois avoir froid ma princesse. Moi c'est papa Mike, et la bas, celui qui dort c'est papa Jonathan. Mon amour de petit serpent ... »

D'une main tendu j'allume la lampe thermique au dessus du lit, la chaleur me fait du bien et la fait frétillé de bonheur -intérieurement bien sur, elle ne bouge pas d'un pouce.

« -Tu aime ça ? Moi aussi j'aime ça. Il fait bon là, pas vrai mon cœur ? »

Elles'agite, elle doit être morte de faim la pauvre. Et je ne peut même pas me levé aller lui chercher une souris – des grillons se serait un maigre repas. Elle se glisse en tremblotant entre mes doigts et s'enroule sur mon poignet. Pour être bien au chaud, sous la lampe brûlante. Finalement je crois qu'on va rester comme ça tous les deux. Ma petite fille ... mon trésor ... mon amour. Je sursaute quand une main vient se poser sur mon épaule :

« -Tu es réveillé Mike ? Bien. Reste allonger, continue le docteur Halakhof, je t'ai fait des points de sutures. Tu as eu des déchirures du sphincter pendant l'accouchement. C'est ma faute,je suis désolé, je ne pouvais pas pratiqué d'épisiotomie. Tu va avoir du mal à t'asseoir pendant un moment alors je te conseille de t'asseoir sur une bouée, ça fera moins mal. Tu as ça ?
-Au pire on achètera.
- Repose toi pendant au moins un bon mois.Il faut que tu soit complètement rétablis avant de reprendre des activité – toutes les activité, y compris le sexe.
- Elle va bien ?
- Très bien. J'ai posé mon rapport sur le bureau tu pourra le lire quand tu te sentira mieux.
- Si elle va bien c'est le principale ...
- Tu était inconscient alors c'est ton compagnon qui a choisit le prénom. Il l'a appelé Lucile. Ça vous convient à tous les deux ?
- Il ... Il a fait ça ?
-Ça ne va pas ? Tu sais c'est provisoire. Il va falloir la déclaré et vous pouvez le faire à un autre nom.
- Non. Lucile c'est parfait.
- Je t'ai laissé tous les documents sur le bureau. Je dois rentré à Lyon. Bon rétablissement.
- Merci beaucoup. Ça ira pour rentré ?
- Merci de t'en inquiété mais ne t'en fait pas, c'est sur ma feuille de charges. Sur ceux au revoir.
-Au revoir.
- Reposez vous bien. »

Peut après qu'il soit parti je me suis rendormis et dans mon sommeil j'ai entendu les White s'affairés dans la maison. Sophia qui préparait le petit déjeuné, Manon qui était encore plus bavarde qu'à l'ordinaire, John dont le bonheur transparaissait dans toute la maison. L'euphorie ici était incroyable, elle remplissait l'air.Mais surtout, la présence de Jonathan qui tournait autours de moi tel un gardien ( un chien de garde, pour être plus précis ) était des plus sécurisante. Il était protecteur, et émanait de lui cet aura amoureuse et tendre qui lui va si bien et qui me rend heureux.Soulagé, j'ai dormi comme un loir presque toute la journée, ma Lucile s'étant rouler tout contre ma poitrine.

Snake DaddyWo Geschichten leben. Entdecke jetzt