Snake Daddy

Chapitre 16, part 2

J'ai dut être tellement juste que plutôt que de me répondre les trois filles sont venue vers moi.

« -Toi t'a pas compris. Les erreurs de la nature elle ferment leur gueules et elles rejette pas ce qu'elles sont sur les autres dans l'espoir que ça blesse. Toi t'es rien qu'une pute Mike. Mais si tu y tient tellement je vais t'aider ! »

J'ai eut le temps d'écarquiller les yeux quand elle m'a choper par le cou pour me ployer. J'ai vu son genoux monter vers moi alors j'ai replier les bras vers mon visage et ... Je me suis écraser au sol avec une douleur insupportable dans les parties génitales. Je croyais qu'elle visais mon visage ou à la rigueur mon ventre, comme l'aurais fait un mec en plein lynchage, mais pas du tout ... Elle m'a castré net et je me suis écrouler en geignant dans le couloir. La salope ... Ça fait mal ... Le sentiment de terreur profonde que j'avais toujours éprouvé plus jeune et revenus d'un coup, j'ai perdu mon souffle, je fais une crise de panique. Recroquevillé sur le sol je n'arrive plus à respirer. Ils vont me frapper ! Ils vont encore me frapper !Je vais retourner à l'hôpital ! Ils vont me brûler avec un briquet ! Ils vont recommencer ! Ils vont recommencer !!Je me suis mis à hurler, en position fœtale sur le sol, j'ai crié comme un possédé.

Valérie à fait un pas en arrière, puis deux. Elle a soudain pris peur, très peur : a ses pieds, tremblant et convulsant il y avait un élève qui hurlais comme s'il était en train de mourir, la bave au lèvres,les yeux vide en proie à la terreur fixant un point au loin, droit devant, sans rien voir. Bientôt le couloir s'est remplis de personnes, la professeur à débarqué à toute vitesse, en même temps qu'un canidé enragé.

« -Qu'est-ce-qu'il s'est passé ?! Quelqu'un sais ? Est ce que Mike fait de l'épilepsie ?

POUSSEZ VOUS !! »

Un brun arriva, dégageant à grand coup de bras et de coude toute la foule massé autours de on corps convulsé.

« -POUSSEZ VOUS ! »

Il n'arrivait plus à cacher sa haine, ses crocs et ses griffes étaient tous apparant, il avait vraiment la forme d'un loup garous aux yeux des autres thérianthropes. Aussitôt qu'il vit la masse en plein spasme dans les bras de la professeure il dégagea cette dernière sans ménagement.

« -Mike ! Mike !! Trésors ! Mon ange ! Mike ! »

L'adulte était déjà en train d'appeler les pompiers alors que Jonathan serrais fort son précieux amant contre sa poitrine.

Une odeur suave, teinté d'inquiétude apparut dans les bourrasques de douleurs intense et de brûlure. J'avais peur, j'étais pétrifié,terrifié comme je l'avais rarement été. Je sentait leurs mains dans mon coup, qui serraient de toutes leurs forces, je sentais leurs coups pleuvoir sur mes os, je sentait leurs ongles, leurs stylos,leurs pierres coupé ma peau. J'avais mal ! Très mal !Tellement mal que je ne sentait rien d'autre, j'avais l'impression de n'être qu'une plaie béante.

« -Mike ! Trésors ! »

Trésors ?Mon ange ? Je cherchais mon souffle, comme si d'un coup la respiration me revenait et que je cessais de suffoqué. On étais entrain de me sortir la tête de l'eau où je me noyais. Enfin !Peu à peu le voile qui m' aveuglait tomba, je commença à apercevoir des formes flous. Rien de net, juste des lumières et des couleurs.Je sentis ma gorge me brûler, pour de vrai cette fois. Elle me piquait fort, rendant chaque inspiration rauque et douloureuse. Les bruits venait de la, de ma respiration difficile. Et puis un peu de cette présence possessive qui tenait dans ses bras. Je commençais à retrouver mon souffle, peu à peu le net se fit dans mes yeux. Il est là, lui et ses beaux yeux verrons. Je me suis mis à pleurer silencieusement, trop concentré sur mon souffle, toujours tremblant de tout mon être. Je le sentit poussé un soupir de soulagement et ma vue se voilà de nouveau à cause du tissus de sa veste. J'inspira son parfum, première fois que je respirais par le nez depuis ce qui me semblait être une éternité. Je n'avais plus de force dans aucun de mes membres, j'en est juste assez pour passer mes bras dans son dos et répondre à son éteinte.