Chapitre 31, part 1

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« -Plus de questions ? Bien, c'est tout sur les apories philosophiques de Platon et sa stylistique. Je vous rappelle que c'est un chapitre important. Sur ceux au revoir. »

Je soupir et range la pile de note que j'ai prise, les cours sont vraiment difficiles mais jusqu'à présent je m'en suis bien sortis.Je me lève de ma place dans les premiers rang et commence à remonté l'escalier quand le conférencier m'interpelle.

« -Jeune homme ! Vous oubliez ceci, dit-il en me tendant une copie double noir de notes.

Merci beaucoup.

Vous étiez là à tous mes courts si je ne m'abuse ?

Non, c'est vrai. J'étais là.

Vous prenez beaucoup de notes, c'est bien. Quel est votre nom ?

Mike Taylor monsieur.

On m'a déjà parler de vous si je ne me trompe pas.

Ah bon ?

Oui , à la machine à café.

C'est vrai ? Vous ... Piquez ma curiosité.

Mes collègues vous disent très prometteur.

Quoi ?

C'est bien vous qui avez rendu ce devoir sur la multiculturalité Européenne ?

Tous ceux qui ont suivit les cours du professeur Hernestre l'on rendu.

Le votre à été très apprécier . J'en suis sur maintenant, c'est bien vous. On vous dit déjà premier aux examens monsieur Taylor, faite honneur à ces pronostiques. Continuez comme ça.

Je vous remercie. Professeur ?

Oui ?

Vous le pensez vraiment quand vous dites que je peut être major de promotion ?

Je le pense. Je ne suis sans doute pas le seul d'ailleurs, vous êtes assidu. De nombreux espoirs repose sur vous. Je vous souhaite de réussir vos examens. Au fait, que désirez vous faire une fois diplômer ?

Professeur, à vrai dire j'espérais devenir conférencier un jour.

Vous êtes un futurs collègue alors. Je vous souhaite de réussir encore une fois. Bien, il ne faudrait pas vous mettre en retards, je vous libère.

Merci, au revoir. »

Je monte les marches à grandes enjambé mais finit à moitié épuisé arrivé en haut de l'amphithéâtre. « Décidément tu me bouffe mon énergie toi. » Je n'ai plus de cours alors je vais rentrer me mettre bien au chaud et révisé, et puis grignoté un bout : j'ai la dalle. Ça fait un mois ... Un mois que les cours on commencer et toujours pas une trace de Jonathan. J'ai finit par baissé les bras, la seule chose qui me permet de garder courage c'est que quand j'appelle madame White elle me dit que je lui manque.J'espère que je lui manque autant que lui me manque. Je me sent tellement seul depuis qu'il est loin de moi. Je réajuste mon foulards et mon pull sur mon ventre, j'ai chaud là dessous mais c'est nécessaire mieux vaut trop que pas assez en ce mois Novembre. Sur le chemin de ma chambre je passe mon coup de fil quotidien chez les White :

« -Allô ?

Mike, contente de t'entendre. Comment tu va ?

Couçi-couça. Comme d'habitude. Jonathan ?

Il a encore séché aujourd'hui.

Ah ... Il déprime chez lui ou ?

Non, il était à ton unif'.

Snake DaddyWhere stories live. Discover now