HAPPY BIRTHDAY TO YOUUUU, HAPPY BIRTHDAY TO YOUUUU, HAPPY BIRTHDAY MY FRIEEEEND
Hihi, cet Os est pour une des personnes les exceptionnelles que j'ai pu rencontrer au cours de ma vie, ma chère madame Trafalgar. Je vais pas te refaire un pavé comme sur insta, mais sache que je tiens énormément à toi, et que j'espère vraiment que ton OS d'anniversaire te plaira <3
Pour mes lecteurs, je m'excuse mais malgré le fait que cet OS soit là pour mon amie, vous pouvez tout autant le lire ^^
Je posterai rapidement le prochain OS pour compenser, et désolée ^^'
Petites précisions : Cet OS contient de la citronnade ! Ainsi que moi-même, et différents persos d'animes. Les univers présents sont : One piece, Haikyuu, MHA, Black clover, Knb, et l'apparition de Balanced unlimited.
Bonne lecture~
***
Dans la vie, vous croiserez tous types de connards. Les connards rigolos, les connards pire qu'idiots, et les connards qui méritent de brûler en enfer. Et c'est exactement ce type de connard que la pauvre Sayako avait eu dans sa vie.
Pour faire un petit retour en arrière, il y a six mois, elle avait accepté de sortir avec un de ses collègues plutôt séduisant et vraiment très sympathique. Tout se passait bien entre eux, la relation avait quelques bas, mais étrangement, il se faisait vraiment tout gentil avec elle, donc c'était assez calme. Son comportement agaçait d'ailleurs quelque peu la jolie blonde, qui avait du mal avec les hommes un peu trop collants et niais. Mais elle faisait avec, jugeant que tout se passait bien et que donc, il n'y avait pas encore de raison pour rompre.
Enfin, jusqu'à ce qu'elle le voit dans leur lit, une autre collègue en levrette sous lui. Là, c'était une bonne raison de rupture, et puis, elle comprenait finalement pourquoi cet ordure de première se comportait comme un canard. Il se faisait des collègues dans son dos.
La première réaction de Sayako fut de lui foutre la patate de sa vie, elle remarqua même une dent de son copain, plus pour très longtemps, voler sous la force de son coup. La collègue hurla, paniquée, tandis que l'homme accusait le choc, conscient que c'était une belle petite enflure. Le regard bleu de Sayako était plus froid que jamais, regardant la scène d'un œil calme. Son calme était encore plus effrayant que n'importe quoi sur cette Terre. Les deux jeunes gens tremblaient pratiquement, terrorisés et surtout nus, donc aucuns moyens de se défendre.
"J-je te jure que je vais tout t'expliquer, ché...
- Termine ta phrase, et je t'arrache ta langue. Le coupa la blonde, avant de poser son regard sur la femme, un sourire mauvais aux lèvres. Toi aussi tu simules bien, du coup ?
- Quoi ? Mais...
- Désolée, il n'est pas un très bon coup, mais ça, tu dois l'avoir remarqué. Ricana d'un air hautain la jeune femme. Je te laisse cette nuit pour prendre toutes tes affaires et dégager de mon appart', bouffon."
Sans rajouter un mot de plus, la journaliste se détourna de la scène, menton relevé et la démarche fière. Eh bien, au moins elle avait un super bon motif pour changer de boite.
Une dizaine de minutes plus tard, la blonde était en bas de chez son amie, sur qui elle pouvait compter. Quand elle sonna à l'interphone, la voix de la brune lui répondit directement, s'inquiétant en reconnaissant la personne qui sonnait à une heure pareille. Il devait forcément s'être passé quelque chose.
"Sayako, je suis ravie de te voir, mais je sens qu'il y a un truc qui va pas. S'inquiéta directement l'hispanique en ouvrant la porte d'entrée."
Sayako soupira, sachant déjà comment la jeune femme allait réagir. Léa n'aimait vraiment pas de base le jeune homme, clamant qu'il était trop collant pour être innocent, donc en apprenant la nouvelle, ça risquait de partir en vrille.
"Léa, assieds-toi faut que je te parle, tu vas passer ta journée dans le noir. Léa, je l'ai senti, je l'ai suivi, il s'est foutu de moi..., Commença calmement la journaliste, tandis que l'hispanique ouvrait grands yeux.
- Mais nan arrête, ton mec t'aime, il m'a même dit : Tu sais Léa, Sayako c'est une reine, et je pourrais crever pour elle. Mais bon, panique pas je te jure, ton mec n'a jamais assuré, on aurait pas pu sentir qu'il allait te tromper. Débita la brune, outrée.
- Ah nan mais tu sais pas toi, ça fait au moins deux mois que je sentais son odeur, et qu'elle laissait des messages tous les quarts d'heure ! J'avais même infiltré son répondeur, mon mec se tapait une autre meuf ! Je suis bien contente de les avoir choppé sur le coup, il s'en souviendra de celle-là. Rit sarcastiquement Sayako en montrant son poing.
- Mais tu savais quoi d'elle ? T'avais des preuves formelles ?
- C'est ma collègue de bureau, la même qui est passée sous le bureau.
- Oh le bâtard ! Je le sentais en plus que ce mec était louche ! Je vais le niquer, tu les as chopé où ?
- Dans mon lit, même pour ça il a été incapable d'être original ! S'exclama la journaliste, d'un sourire sarcastique.
- Il est sérieux ?! Non, mais vas y tu sais quoi, prends ton sac, on va chez toi, on va les voir ! Rugit la jeune femme, encore plus énervée que son amie."
D'un bond elle se leva, se dirigeant vers sa chambre pour prendre une batte de baseball, sous le regard amusé de son amie.
"Non mais t'inquiète, tranquille. On a pas besoin d'y aller.
- Sayako, je te connais ! Tu n'as pas besoin d'être aussi fière avec moi, je sais que ce connard t'a blessé. S'exclama son amie, furieuse contre l'ordure qui venait de la tromper."
La blonde ne répondit rien, croisant les bras contre elle en détournant le regard. Sa réaction fit soupirer Léa, qui eut le cœur brisé en la voyant ainsi. Okay, elles ne s'en prendraient pas à lui. Mais il fallait au moins qu'il le regrette, des frais dentaires n'étaient pas assez.
"Viens, on va crever sa BM. Déclara la brune, prenant la main de Sayako, la trainant à sa suite, déterminée.
- On lui donne trop d'importance, il en mérite pas autant. Marmonna cette dernière, peu convaincue.
- M'en fous ! J'vais la rayer sa BM, la crever sa BM, si tu savais comme j'ai la haine !"
Constatant qu'il n'y avait aucun moyen de la raisonner, la journaliste se laissa faire, décidant que ça pourrait être satisfaisant de voir le précieux bijou de son ex dans un sale état. Et puis, la brune avait raison, bien qu'elle ne le montrait, Sayako se sentait mal à cause de ce connard, une boule douloureuse ayant pris place dans sa gorge. Mais elle se laisserait aller plus tard, pour l'instant, elles avaient une voiture à défoncer.
Quand elles eurent terminé leur travail, la voiture était bien arrangée. Entre les rayures, les pneus crevés ainsi que les fenêtres brisées, l'homme ne reconnaitrait même plus sa merveille. La blonde dut cependant tirer l'hispanique jusque chez elle pour l'empêcher de monter, ressemblant dans la rue à deux folles puisque l'une tirait l'autre par le bras, alors que cette dernière se débattait en clamant qu'il fallait le castrer. Finalement, elles purent rentrer sans que personne ne soit castré. La jeune femme qui travaillait entant que commerciale laissa sa chambre à son amie, lui ordonnant de bien dormir pour péter la forme le lendemain.
La nuit fut longue pour Sayako, qui avait laissé libre court à ses quelques larmes une fois seule. Elle était restée forte, remettant son ex à sa place avec fierté et classe. Mais ça n'en restait pas moins douloureux. À cet instant, la seule chose qu'elle voulait, c'était plaquer son boulot, son appartement et se refaire une toute autre vie. Et surtout, faire en sorte de ne plus jamais être humiliée. Être trompée de la sorte, avec une fille qui nous fréquentait presque tous les jours en plus, il n'y avait rien de plus rabaissant. Dans le noir de la chambre de son amie, la jolie blonde se fit la promesse que cela n'arriverait plus jamais que dès le lendemain, elle profiterait de sa vie à fond.
Lorsqu'elle se leva le jour qui suivit, la journaliste trouva la brune assise en tailleur sur le canapé, son téléphone à la main. En l'entendant se lever, la jeune femme regarda son amie avec un grand sourire, la saluant avec entrain. Toute joyeuse, elle lui indiqua que des crêpes l'attendaient dans la cuisine, posant son téléphone pour l'accompagner à l'endroit indiqué. L'hispanique se mise assise à sa table de cuisine, attendant que son amie ait fini pour lui parler, dès qu'elle fut assise en face d'elle.
"Devine qui va vivre la meilleure fête de sa vie après-demain pour oublier ce connard ? Susurra malicieusement Léa, se récoltant un regard surpris.
- Tu as organisé une fête ? S'enquit la jeune femme, arquant un sourcil tout en mangeant sa première crêpe.
- Oui, en ton honneur ! J'ai pris le soin d'inviter les meilleurs, donc tu vas adorer ! Et puis je te rappelle qu'après-demain c'est ton anniversaire, donc c'est le moment parfait, nan ? Tu verras, j'ai déjà tout prévu, ce sera génial ! On va se faire une petite fête sympatoche ici !
- Léa, plus personne ne dit "sympatoche" en deux milles vingt. Souffla Sayako, un petit sourire en coin sur ses lèvres.
- Je vais rendre ce mot à nouveau populaire, crois-moi !
- Ce n'est pas une très bonne idée. On s'en porte très bien sans, vraiment.
- Bon, je te l'accorde, mais c'est pas le sujet ! S'exclama la brune, balayant l'air de sa main. Après-demain, tu vas pêcho ma grande. Et un bon coup d'un soir, il y a rien de tel pour décompresser !
- Un coup d'un soir ? Donc, il y aura des gens que je ne connais pas ? Fit la journaliste, curieuse.
- Oui, à part Shinso, mon copain, et Yuno, tu connaitras pas les trois autres. Mais l'un c'est le meilleur pote d'Haji', et je te le conseille pas. Ce sera pas ton type. Par contre, les deux autres... J'ai hâte de savoir lequel tu vas te faire !
- Peut-être aucun, l'avenir seul le saura. Je n'ai même pas forcément envie de faire cet anniversaire. Soupira la jolie blonde, entamant une deuxième crêpe.
- Mais rooooh, sois pas pessimiste ! Cette petite fête est là pour te vider l'esprit, donc alcool à gogo, et capotes dans le sac, car pour sûr tu vas pêcho !
- T'as vraiment l'air d'une vielle en disant ça. Rit Sayako, amusée.
- C'est toi qui me dis ça, alors qu'un de tes passes-temps c'est de faire du sudoku ? Répliqua son amie en pouffant.
- Mais le sudoku est un passe-temps indémodable.
- Surtout auprès des personnes dans les EPHAD. Enfin, pour le peu qu'il reste.
- Elle était sale celle-ci.
- Comme ton vagin le lendemain de la soirée."
Sayako ne put retenir un éclat de rire malgré elle. Ce petit moment entre elles lui permit de se vider l'esprit un moment, la détendant. Après avoir déjeuné en compagnie de la brune, la jeune femme se leva en débarrassant son assiette sous les protestations de son amie. Elles se chamaillèrent quelques minutes avant d'abandonner, la blonde obtenant gain de cause pour débarrasser son assiette. Elle prit une douche en se changeant avec des vêtements qu'elle avait oublié une fois, décidant de les laisser au cas où ce genre de choses arriveraient. Finalement, les deux amies se saluèrent, la journaliste remerciant la commerciale de l'avoir accueilli ainsi que soutenu. Cette dernière lui répliqua qu'elle la remercierait correctement en venant à la soirée avec la tenue la plus sexy qu'elle avait pour séduire ses prétendants. Elle quitta la brune sur ça, levant les yeux au ciel en souriant avec amusement.
~
"Tu me dis donc qu'il t'a trompé ? S'enquit Daisuke, de son ton neutre.
- Oui, m'enfin, je l'avais vu venir. Soupira la jolie blonde, haussant les épaules avec nonchalance.
- Je vois. Répondit le noiraud, buvant une gorgée de son verre de vin avant de sortir un porte carte de sa poche intérieur de veste.
- Qu'est-ce que tu fais, Daisuke ? Lui demanda la jeune femme, surprise.
- Il y a deux milles euros sur cette carte, retire les à la banque. Il vaut mieux pleurer dans des billets que dans des mouchoirs. Déclara tout naturellement l'homme, tendant une carte noire à son amie."
Cette dernière le regarda quelques secondes, jaugeant s'il était sérieux ou non. Mais elle se souvint qu'il l'était en permanence, alors elle prit la carte, sans vraiment réaliser.
"Hum... Merci ? Supposa-t-elle, hésitante. Mais je ne pense pas en avoir besoin.
- Ce n'est même pas dix pourcents de ma richesse, tu n'as pas besoin de refuser par politesse. Prends les, et console toi de ces billets. Lui ordonna-t-il avec son sourire suffisant, reprenant une gorgée de sa boisson hors de prix."
Sayako lui jeta un regard aussi amusé que blasé. En effet, le jeune homme ne manquait pas de moyens. Et puis, aujourd'hui c'était son anniversaire, donc elle pouvait considérer que cet argent était un cadeau.
Si la jeune femme était en compagnie du milliardaire dans un restaurant bien trop couteux, c'était pour célébrer son anniversaire, avec un de ses amis assez... Particulier. Elle le connaissait à cause d'un incendie qui s'était déclenché dans l'immeuble où elle travaillait, la police avait été appelée car il était apparemment à origine criminelle, et ce fut Daisuke qui s'occupa de l'enquête. Il proposa une centaine de milliers d'euros à la blonde pour se porter coupable, et elle avait refusé. Suite à de nombreuses négociations, il avait laissé tomber, déclarant qu'il la trouvait "à la hauteur d'une femme de noblesse", se liant plus ou moins d'amitié avec elle.
"Que comptes-tu faire pour célébrer ton anniversaire ? S'enquit l'enquêteur, ses yeux gris transperçant posés sur elle.
- Mon amie a prévu une fête.
- Un gala, tu veux dire ?
- Dans le monde des gens normaux, nous ne faisons pas de gala pour fêter de simples anniversaires. Lui expliqua-t-elle en pouffant.
- C'est particulier, mais je respecte la façon de vivre de ceux qui n'ont pas les moyens.
- Ce n'est pas que nous n'avons pas les moyens, c'est juste toi qui en as un peu trop.
- Sans aucun doute. Fit simplement Daisuke, hochant la tête sans vraiment réfléchir à la question."
Sayako l'observa en ricanant, levant les yeux au ciel. Il était un sacré personnage cet homme. Son regard bleu se perdit sur la vue incroyable qu'offrait le building, pensant à la fête qui se déroulerait dans la soirée. Bizarrement, elle avait presque hâte, ayant l'étrange sentiment qu'il s'y passerait des choses vraiment déterminantes pour sa vie future. M'enfin, ça ne restait qu'une impression.
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La porte s'ouvrit sur l'hispanique, qui eut un grand sourire en voyant son amie sur le pallier. Elle parcourut de haut en bas la jolie blonde du regard, comme pour analyser sa tenue, avant de hocher la tête, d'un air satisfait.
"Tu es déjà magnifique de base, mais là, j'ai pas les mots. Juste incroyable. Déclara Léa en laissant son amie entrer, toute souriante.
- Je te l'accorde que je suis magnifique, mais pas autant que toi !
- Ne dis pas n'importe quoi, je sais que tu as du mal avec les compliments. Pouffa la brune en prenant les affaires de la jeune femme pour les ranger dans sa chambre. Tu es la première arrivée, donc détends-toi simplement en attendant !"
Sayako écouta le conseil de son amie, allant s'installer dans le salon en attendant tranquillement. Bien vite, la commerciale la rejoignit, les deux jeunes femmes parlant de sujets et d'autres. La sonnette retentit alors une première fois, la brune se levant pour aller ouvrir. Deux hommes arrivèrent alors, deux bruns qui se chamaillaient. La jolie blonde reconnut directement le copain de son amie, ainsi que le meilleur ami en question. Effectivement, il avait beau être vraiment agréable à regarder, un coup d'œil lui avait suffi pour comprendre que le jeune homme était loin d'être son type.
"Oh, tu es donc Sayako-chan ? S'exclama le plus grand des bruns, offrant un sourire séducteur à la journaliste.
- En effet, mais pour toi ce sera Sayako-san. Répliqua-t-elle sans lui retourner son sourire, surprenant le volleyeur.
- Quoi ?! Mais je- Tu n'es pas fan de moi ?!
- Euh, t'es qui en fait ?"
Comme s'il était transpercé par des flèches, le jeune homme posa ses mains sur sa poitrine, se laissant tomber à genoux dans l'attitude la plus dramatique possible. Quand elle revint dans la pièce, ce fut la première chose que vit l'hispanique, levant les yeux au ciel d'un air exaspéré.
"Lève toi gros sac, je suis sûr que tu réagis comme ça juste par ce Sayako te connait pas. Ricana la brune, posant des verres à alcool sur la table en prévision de ce qui allait suivre.
- Léa-chan, comment peux-tu rire de mon malheur ?! Se lamenta théâtralement le passeur, arrachant un soupir agacé à tous ceux présents dans la pièce.
- Ferme là Shittykawa, ça nous fera des vacances. Ordonna son acolyte, lui frappant la nuque.
- Aïe, Iwa-chan !"
Alors qu'une autre dispute allait repartir, le bruit de la sonnette tua la dispute dans sa coquille, l'hispanique allant ouvrir. Pendant une dizaine de minutes, ce fut ainsi, Léa faisant des allers-retours entre le salon et le couloir pour accueillir les invités.
À l'arrivée de Yuno, Sayako eut un petit sourire, se levant pour venir le saluer. Le jeune homme était avec elle au lycée, et malgré son apparence de garçon fort et musclé, il était en réalité aussi doux qu'un agneau, tout timide. La jeune femme fut également ravie de pouvoir saluer un autre de ses amis du lycée, Shinso qui avait toujours son air blasé. Il lui souhaita malgré tout un bon anniversaire, ce qui était un progrès énorme.
Finalement, les deux inconnus arrivèrent, laissant tout le loisir à Sayako de les observer. Elle voulait savoir pourquoi son amie avait dit qu'ils étaient dans ses goûts, et en les voyant arriver, elle comprit pourquoi. Le premier fut un brun assez baraqué et un air aussi bienveillant que sévère sur le visage, dégageant une aura de leader. Il n'avait pas un physique exceptionnel, à part ses épaules larges et carrées, on ne pouvait le distinguer d'un autre. Cependant, la journaliste sentait quelque chose en lui qui l'intriguait, captant son attention sur le jeune homme le temps de quelques secondes.
Ces dernières furent balayées quand le regard azur de la jolie blonde rencontra deux prunelles semblables à l'orage. Elle parcourut alors des yeux l'inconnu, passant de sa chevelure noir corbeau, à ses épaules larges, son torse qui semblait musclé, et surtout, les tatouages sur ses doigts. Étrangement, ce détail la captiva, ses pensées s'orientant d'une manière peu catholiques qui l'interpellèrent. Ce n'était pas vraiment dans ses habitudes de fantasmer sur un parfait inconnu, mais ce dernier semblait avoir capté toute son attention sans qu'elle ne sache pourquoi.
"Les gars, voici la personne qui fête son anniversaire aujourd'hui. Il s'agit de Sayako Hirano, elle est journaliste. Et eux sont Sawamura Daichi, ainsi que Trafalgar Law, des amis que voulais te présenter car je savais que vous alliez bien vous entendre ! Déclara la brune en adressant un clin d'œil remplit de sous-entendus à son amie."
La jolie blonde leva les yeux au ciel d'un air amusé, puis salua les deux inconnus poliment. La soirée commença donc enfin officiellement, le groupe de personnes se mettant dans l'ambiance assez doucement. Ils restèrent au début assis dans le salon à boire tout en discutant, certains plus silencieux que d'autres. Ce ne fut que lorsque l'alcool monta enfin à la tête des jeunes gens, que les choses commencèrent vraiment. Et pour certains, plus vite que prévu.
Au bout de son deuxième verre, Yuno se leva, déclarant qu'il avait la tête qui tournait. Cela inquiéta fortement son amie blonde qui sauta sur ses pieds, abandonnant Law derrière elle, avec qui elle avait discuté depuis le début, tous deux étant à côté. Il n'était pas très loquace, mais avait le mérite de répondre à ses questions, surtout lorsqu'elles concernaient son métier de chirurgien malgré son jeune âge.
"Hey, Yuno, va t'asseoir, Souffla Sayako, prenant le bras du noiraud pour le tirer à sa place.
- J'crois que je me sens pas bien. Répondit-il en se tenant la tête, les yeux fermés.
- Tu n'as bu que deux verres de Champomy, comment pourrais-tu être dans cet état ? Soupira son amie en le poussant sur le canapé, le jeune homme étant bien trop lourd."
Les autres rirent légèrement de la scène. Il fallait reconnaitre que c'était iconique d'être dans un tel état pour deux verres à peine d'une boisson sans alcools. Alors que le noiraud se plaignait d'avoir envie de vomir, Law lui pinça le nez, surprenant le jeune homme aux portes de la mort.
"Là, ça devrait te passer. Railla le chirurgien de son air fourbe."
Sayako l'observa silencieusement, se rendant compte que l'expression du noiraud, ses gestes ainsi que sa voix, l'attiraient physiquement. Bien qu'au départ elle n'était pas pour cette idée de coup d'un soir, ce jeune homme fortement attirant pourrait peut-être changer la donne.
Finalement, Yuno revint parmi le groupe après que Shinso lui ait parlé, comme si cela suffisait pour qu'il obéisse. Le violet avait un don pour la persuation de toute évidence, c'était bien pour ça qu'il était banquier d'ailleurs. Vendre des contrats à un prix exorbitant sans que les gens ne voient l'arnaque, il devait forcément avoir un pouvoir magique. Et pourtant, nan. Finalement, les filles se portèrent garantes de lui, l'accompagnant aux toilettes à sa demande.
"Les filles je suis tombéééeh ! S'écria le timide Yuno, arrachant un soupir de dépit aux amies derrière la porte.
- T'es VREUUMENT un boulet ! Le réprimanda la jolie blonde, essayant de retenir son éclat de rire, elle-même n'étant plus très sobre.
- Ooooh alleeeeeez là ! On doit rejoindre les autres, ouvre la porte Yunooooo ! Gémit Léa, appuyant son front contre la porte."
Les deux filles échangèrent un regard, avant de pouffer bêtement, vraiment pompettes. La porte s'ouvrit brusquement, la brune se cassant violemment la figure par terre.
"Les filles je suis tombééééeh. Répéta la jeune femme, grognant de douleur en se relevant.
- Oï, c'est quoi tout ce bordel ? Intervint la voix D'Iwaizumi de son air sévère.
- Oooooh, Hajiiii, t'es là ! Roucoula l'hispanique, se relevant en voulant se jeter sur le brun, qui se décala, la laissant se jeter dans le vide en la retenant par la taille d'un seul bras.
- Bon, allons au salon. Ordonna-t-il, se détournant pour joindre le geste à la parole."
Les trois jeunes gens retrouvèrent enfin la pièce de vie commune, quelque peu décalqués. Yuno s'était litéralement écroulé sur Oikawa, qui avait protesté vivement, outré. Alors que les discussions repartaient plus ou moins calmement, l'hispanique se redressa d'un bond, un air ravi au visage.
"On va faire le jeu de la bouteille.
- Comment ça "on va faire" ? J'fais pas ça, moi. Maugréa Law, semblant peu partant.
- T'as pas le choix ! Si Sayako dit oui, on le fait ! C'est elle la reine de la soirée ! Alors ?
- J'suis pour, ça peut-être marrant. Sourit la jeune femme, son regard azur se tournant vers le noiraud."
Ce dernier planta ses yeux dans les siens, se livrant tous deux un duel de regards qui faisait monter une étrange tension entre eux. Shinso finit alors sa bouteille de bière, la posant au milieu de la table avant de la faire tourner. Elle atterrit sur Yuno, qui la tourna à son tour, dans l'attente de savoir qui serait son partenaire. Le récipient de verre s'arrêta sur Oikawa, et sans avoir eu le temps de quoique ce soit, la langue de brun était fourrée dans la bouche du noiraud. Ce dernier s'était raidi, timide comme jamais. Le capitaine se sépara enfin de lui, faisant tourner la bouteille.
Le jeu dura ainsi un bon quart d'heure, et donna lieu à des baisers inattendus, comme Shinso et Iwaizumi, ou bien Daichi et un paquet de chips. Comme de par hasard, la bouteille tomba finalement sur la reine du jour, qui relança la bouteille pour un tour. Lorsque cette dernière pointa un certain noiraud, arrachant un sourire en coin à la blonde.
Lentement, elle tourna son regard vers le sien, attendant bien patiemment qu'il fasse le premier pas, ce qui accentua la tension présente entre eux. Le chirurgien leva finalement les yeux au ciel, posant une main sur la nuque de la blonde pour l'attirer à lui, plaquant ses lèvres sur les siennes. Leur baiser se fit langoureux, le goût de l'alcool qu'ils avaient ingurgité venant se mêler à ce contact. Quand ils se séparèrent finalement, les prunelles azures de la belle journaliste se plantèrent dans celles orages du jeune homme. Comme s'il avait suffi d'un regard pour communiquer, ils détournèrent les yeux, une douce excitation venant peu à peu s'installer en eux. Leur soirée ne se terminerait pas dans la solitude.
"Bon, allons danser un peu ! S'exclama la brune en mettant de la musique qui bougeait plus, se levant d'un bond tout en prenant son amie au passage, la trainant sur la piste de danse improvisée. Sayako râla, clamant qu'elle n'avait pas envie de danser, mais l'alcool ainsi que les supplications de la commerciale eurent raisons d'elle, cédant.
"Alors, tu l'aimes bien Law, n'est-ce pas ? Sourit malicieusement l'hispanique, se faisant la plus discrète possible malgré son taux d'alcool dans le sang."
La jolie blonde ne répondit pas, détournant simplement le regard alors que Léa éclatait de rire. Elle quitta soudainement son amie, surprenant cette dernière qui la suivit. Mais comme de par hasard, elle se cogna contre quelque chose de dur, le torse Law se trouvant pile poil sur son chemin, au moment où une musique étrangement sensuelle passait. Ils restèrent plantés là quelques secondes, se regardant dans le blanc des yeux sans esquisser le moindre gestes.
"J'imagine qu'il faut danser. Souffla finalement la journaliste, soupirant tout en laissant un sourire en coin se peindre sur ses lèvres.
- Ouais..., Marmonna Law, mains dans les poches, le regard détourné ailleurs."
Décidant de prendre les devants, Sayako passa ses bras autour de lui tout en se mouvant au rythme sensuel de la musique, faisant se figer le noiraud. Il posa son regard orageux sur elle, en quête de réponses qu'elle lui fournit en attrapant sa main, pour l'inciter à bouger. Mais il resta droit comme un iota.
"Tu n'aimes pas danser ? S'enquit la blonde, arrêtant de bouger.
- J'ai une tête à aimer danser ? Répliqua-t-il, arquant un sourcil inquisiteur."
Cela eut le don de faire éclater de rire la jeune femme, bien plus ouverte sous les effets de l'alcool. Elle enroula finalement ses bras autour de sa nuque, son souffle venant caresser les lèvres du jeune homme avec une tentation immense. La tension entre eux semblait avoir grimpé d'un coup face à ce rapprochement, et tous deux le savaient : ils avaient vraiment envie l'un de l'autre.
"Allons chez moi... J'habite à dix minutes. Souffla soudainement la journaliste, surprenant le temps de quelques secondes à peine le noiraud.
- Tu es sûre ? Lui demanda-t-il d'une voix rauque, posant une main sur sa hanche afin de la rapprocher de lui.
- Je suis jeune, toi aussi, on est célibataires alors autant en profiter, non ? Donc pourquoi pas..."
Sans le dire de vive voix, Law accepta d'un rapide mouvement de tête, ses yeux semblant s'assombrir soudainement. Avec un petit sourire, la jeune femme se détacha de lui, allant voir son amie.
"Hey..., Commença-t-elle, ne sachant pas comment aborder la chose.
- Toi et Law partez pour vous envoyer en l'air ? Lui demanda tout naturellement la brune, assise sur son plan de travail en mangeant une mandarine, son copain à côté d'elle.
- Euh, ouais. Fit simplement Sayako, ne s'attendant pas à une telle réponse.
- Okay, okay, attends ! Fit la commerciale, sautant sur ses pieds pour aller fouiner un bocal dans un des placards. Tiens ! Faites attention, je ne veux pas être tata tout de suite !"
La jolie blonde reçu tout un assortiment de préservatifs, lui arrachant un léger rougissement. Elle se reprise bien vite, souriant à son amie en la remerciant sincèrement d'avoir organisé cette fête pour elle. Cette dernière lui répondit que ce n'était rien en la prenant dans une étreinte, avant de la laisser filer, Sayako prenant bien soin d'éviter le regard d'Iwaizumi.
En passant dans le salon pour rejoindre le couloir où Law devait l'attendre, la jolie blonde assista à un spectacle étrange, qui se résuma à un Shinso qui parlait à une bouteille vide, lui ordonnant tous types de choses, Daichi qui plaçait une couverture sur le corps de Yuno, couvert de son propre vomi, et Oikawa qui se tapait sa meilleure chorégraphie sur "Wannabe" au milieu de la piste de danse improvisée. Décidant que ce n'était pas la peine de les saluer, elle sourit simplement à Daichi avant de rejoindre Law dans le couloir.
Quand ses yeux se posèrent sur sa silhouette appuyée contre le mur, sa veste en cuir sur le dos, toute la vague d'excitation de tout à l'heure vint chatouiller son bas-ventre, faisant déglutir la jeune femme. Elle avait vraiment hâte de se retrouver seule avec lui.
"On peut y aller. Déclara-t-elle, son sac en main et sa veste sur le dos
- J'vois que t'as fait vite. Railla le noiraud, se décollant du mur pour sortir, la blonde à sa suite."
Bientôt la porte se referma derrière eux, effaçant les bruits de la musique assourdissante.
/!\ Lemon /!\
Dans les films, souvent lorsqu'un coup du soir se déroulait à l'écran, la fille restait toute fébrile, invitant l'homme qui la faisait fantasmer à boire un simple verre. Et ensuite cela se transformait en scène d'amour intense. Mais ce ne fut pas leur cas.
La tension sexuelle semblait à son paroxysme, l'alcool n'aidant pas à tenir en place. Elle le voulait, rapidement. Même si cela se limitait à une attraction seulement physique, il lui fallait le ressentir. Et apparemment, le chirurgien partageait ses tourments.
À peine la porte de la jeune femme s'était-elle fermée, que des mains puissantes se posèrent sur ses hanches, la faisant pivoter face à lui. Sans prévenir, ses lèvres se posèrent sur les siennes, s'entrouvrant légèrement pour se perdre et se toucher, encore et encore. Un instant, Sayako tenta de reprendre le dessus sur cet échange, glissant une main dans la chevelure corbeau de son amant d'un soir, tout en caressant sa lèvre inférieure de sa langue. Il avait alors posé une main sur sa nuque, l'incitant à incliner la tête pour qu'il approfondisse lui-même le baiser, laissant alors leurs muscles chauds se caresser avec une sensualité qui mettait les sens de la belle journaliste à l'arrêt.
Le cœur de la jolie blonde battait à tout allure, l'excitation parcourant tout son corps entier, ses mains venant caresser le dos du chirurgien, ses épaules, sa mâchoire, toujours à la recherche du contact de sa peau brûlante contre la sienne, qui l'était tout autant. Sans trop la brusquer, Law la fit reculer, faisant en sorte que son dos rencontre le mur derrière eux. Une de ses mains tatouées glissa lentement jusqu'une des cuisses de la jeune femme, passant en-dessous de cette dernière en la relevant, permettant à son bassin d'entrer en contact avec le sien. Un soupir de plaisir s'échappa des lèvres de la journaliste entre deux ou trois baisers, sa masculinité appuyée contre son intimité. Leurs lèvres se séparèrent alors, laissant leurs yeux se rencontrer, l'orage se perdant dans l'azur de la mer. Comme s'ils n'avaient pas besoin de mots se comprendre, Sayako esquissa un sourire tout en détournant le regard, ses mains venant glisser tout le long du torse musclé de Law.
Ils ne prirent même pas la peine de retirer leurs vêtements complètement, la jolie blonde se retrouvant en sous-vêtements tandis que le chirurgien avait toujours son t-shirt, ses lèvres parcourant le cou pur de sa belle pour le temps d'un instant. Il chercha quelques secondes son point faible, avant de sourire en le trouvant, arrachant un petit gémissement à Sayako. Cela le fit même ricaner discrètement, et la jeune femme le remarqua. Elle le poussa alors, une lueur espiègle dans le regard.
Avec douceur, elle appuya sur son torse pour le repousser, afin d'avoir d'espace. Ses lèvres à elle se mirent à dessiner de baisers papillons la mâchoire du bel homme, descendant petit à petit sur son cou pour l'embrasser, le lécher et le mordiller à certains endroits qui arrachaient des souffles de plaisir au jeune homme. Mais bientôt, ce ne fut plus assez, elle se baissa donc, posant un genou à terre en plantant ses yeux dans ceux du noiraud, afin de s'assurer qu'il comprenait où elle voulait en venir et s'il lui en donnait l'autorisation. Law se contenta de la fixer, savourant le spectacle d'où il était. Le comprenant, la journaliste soupira, rassemblant ses cheveux en une queue de cheval basse.
Ses mains s'attaquèrent alors aux boutons de son pantalon, embrassant légèrement ses hanches tout en descendant le pantalon. Bientôt, il ne restait plus que le boxer du chirurgien entre la bouche de la blonde, et son intimité. Elle regarda rapidement la forme qui déformait son caleçon, longue et assez fine, ce qui lui arracha un sourire en coin. Il était donc son type de vraiment partout. Sans perdre une seconde de plus, la jeune femme abaissa son sous-vêtement, tombant nez à nez avec le membre tendu du noiraud.
Elle souffla alors dessus, arrachant un grognement de frustration au chirurgien qui marmonna son prénom. Dans un grand sourire, elle céda, posant une main sur son engin, commençant à effectuer de lents mouvements de vas et viens. Ses lèvres se posèrent sur la partie la plus sensible de son anatomie, sa langue s'enroulant affreusement lentement autour. Elle poussa le vice de sa lenteur en n'effectuant que de légers mouvements de main. Ce fut apparemment la provoquation de trop car il passa ses doigts dans ses cheveux blond, tirant légèrement sur ses mèches comme pour lui dire d'accélérer. Avec un petit rire, elle abdiqua, accélérant ses mouvements de tête et de main de plus en plus vite, allant de plus en plus profondément, ce qui fit gémir très discrètement le noiraud lorsqu'elle réussit un fond de gorge.
Il fallut moins d'une dizaine de minutes à Sayako pour le faire jouir, son amant éphémère lâchant un juron en se laissant venir, la blonde ayant eu le temps de retirer ses lèvres. Il resta quelques secondes immobile avant de redescendre, la jeune femme s'étant relevée entre temps et l'observait d'un air fier. En le remarquant quand il fut de retour sur Terre, il lui administra une pichenette affective sur le front, faisant couiner de surprise la journaliste. Elle n'eut cependant pas le temps de lui dire quoique ce soit, le noiraud ayant repris le dessus.
À nouveau, son corps brûlant fut plaqué sur le mur derrière elle, qui était glacial en comparaison. Alors qu'elle allait lui demander ce qu'il comptait faire, elle fut interrompue par son propre souffle de plaisir, Law, s'étant mis à caresser son clitoris par dessus le tissus de son tanga. Pendant de longues minutes il s'amusa ainsi avec elle, parsemant son buste de baisers langoureux qui la rendaient folle, tout comme ses doigts tatoués du mot "DEATH" qui la caressaient. Ses mouvements lents l'énervèrent finalement bien trop, le repoussant avec les joues en feu, sa poitrine s'élevant à la vitesse de sa respiration.
"Passe aux choses sérieuses, maintenant, je suis prête. Lui ordonna-t-elle, glissant ses mains dans ses cheveux soyeux, son regard planté dans le sien.
- Quelle impatiente. Sourit en coin son amant, retirant ses doigts de son antre, en profitant par la même occasion pour enlever sa petite culotte."
Comme précédemment, il prit une de ses cuisses en main rapprochant leurs deux bassins avant de s'interrompre, jurant.
"Calme toi, j'en ai un. Le rassura Sayako en se penchant vers son sac à terre, prenant un préservatif pour le passer au noiraud."
Rapidement il enfila la protection, vérifiant que tout était bien en place avant de se placer entre les jambes de la jeune femme. D'un accord tacite et silencieux, il prévint de son entrée, Sayako lui ayant donné le feu vert. Sans perdre plus de temps, le membre du jeune homme s'était alors faufilé entre les grandes lèvres de sa belle, trouvant son orifice en s'y enfonçant doucement. La pénétration leur laissa le souffle coupé, l'un pour se retenir de venir maintenant, et la seconde fermant les yeux pour s'accoutumer à sa taille. Le jeune homme resta calme, allant même jusqu'à caresser sa cuisse de son pouce en attendant qu'elle soit à l'aise.
"Je... Law, c'est bon..."
Il n'en fallut pas plus au noiraud pour donner un premier coup de reins puissant mais lent. Son geste arracha un soupir de plaisir à la jolie blonde, qui planta ses ongles dans la chair de ses épaules, les sensations décuplées d'une certaine manière grâce à cette position. Bientôt suivirent d'autres coups de reins, montant en vitesse sans perdre de puissance. Leurs soupirs de plaisirs se muèrent souvent en râlements ou bien gémissements, la journaliste ayant passé ses deux jambes autour de la taille de celui qui lui procurait tant de plaisir, la tête rejetée en arrière en essayant de contenir ses cris.
Lors d'un coup de reins plus sec, elle se figea, ses cuisses effectuant une danse folle de tremblements alors que ses gémissements se faisaient plus fréquents. Dans un puissant mouvement de bassin, Sayako sentit les dents de Law mordiller la chaire de son cou, un léger râle lui échappant alors qu'elle se cambrait, la puissante vague de chaleur se répercutant dans tout son être.
Ils restèrent quelques secondes ainsi avant que le noiraud ne se retire, laissant la jolie jeune femme retoucher terre. Leurs regards se perdirent l'un dans l'autre une fois encore, s'assombrissant sous le désir. Ce n'était clairement pas le dernier round.
/!\ Fin du lemon /!\
Le lendemain, les muscles de Sayako la tiraient tous, ayant du mal à bouger dans son lit aux draps défaits. Réveillée par la lumière du soleil, elle soupira, se redressant, nue comme un ver. La nuit dernière lui revint alors à l'esprit, un sourire béat venant étendre ses lèvres. Law avait clairement été le meilleur coup de sa vie.
Après avoir enfilé un t-shirt trop long, elle se rendit dans la cuisine, pour se faire un thé. Une fois sa tasse remplie, elle passa devant son frigo, là où un petit bloc notes magnétique était installé. Un sourire remplit de joie se peignit sur ses lèvres. Non seulement Law lui avait laissé ses coordonnées, mais en plus, il lui avait dit "à la prochaine".
Sayako ne savait pas où cette relation mènerait, et cela l'importait peu. Elle avait beaucoup aimé l'instant de la veille avec le noiraud, et n'était pas contre le fait de le revoir. Seul l'avenir pourrait leur dire ce qu'il en adviendrait d'eux, et c'était mieux de cette façon.
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Bon... J'espère qu'il t'aura plu T-T
Je crois que là j'ai massacré le caractère de Law ptdrrr, gomen !!! Si tu veux apporter des modifications, no problem ! Encore une fois joyeux anniversaire ma chère Madame Trafalgar, je t'envoie du love !!!! Et désolée pour les fautes d'orthographe et tout, mais la nuit blanche se fait sentir ^^'
Pour les autres lecteurs, je reviens rapidement avec un autre OS ! Merci à vous si vous avez lu ça, et à la prochaine~
Prenez soin de vous !
LeawifeofTodoroki