Recueil : Anime x reader

By LeaIwaizumi

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Bien ou quoi ? T'habites dans le coin ou quoi ? Pour ceux qui continuent à lire ce résumé plus que douteux... More

Commandes
Akashi x reader (Knb)
Aomine x reader (Knb)
Shoto x reader (Mha)
Karma x reader (AC)
Livaï x (Male)reader (Snk)
Murasakibara x reader (Knb)
OS Crack (Anime various)
Aomine x OC (Knb)
Natsuya Kirishima x reader (Free!)
Levi x reader (Snk)
Rogue x reader (Fairy tail)
Gruvia (Fairy tail)
Aomine x OC (Knb)
Murasakibara x reader (Knb)
Auteure x reader XD
Sousoke x reader (Free!)
Karma x reader
Dabi x OC (Mha)
Murasakibara x reader (Knb)
Aomine x Oc (Knb)
Kise x reader (Knb)
Seto x reader (Knb)
Trafalgar Law x OC (One piece)
Levi x reader (Snk)
Kirishima x reader (Mha)
Kuroko x reader (Knb)
Shinso x reader (Mha)
Karma x reader (AC)
Haru x reader (Free!)
Aomine x reader (Knb)
Rin x reader (Free!)
Midorima x reader x Akashi (Knb)
Tsukishima x reader (Haikyuu)
Eren x reader (Snk)
Nishinoya x reader (Haikyuu)
Tsukishima x Oc (Haikyuu)
Daichi x reader (Haikyuu)
Kagami x reader (Knb)
Tsukishima x Oc (Haikyuu)
Sugawara x reader (Haikyuu)
Kuroo x Oc (Haikyuu)
Questions pour des champions (Auteur)
Tsukishima x Oc (Haikyuu)
Law x Oc (One piece)
Kasamatsu x Oc (Knb)
Oikawa x reader (Haikyuu)
Kuroo x reader (Haikyuu)
Iwaizumi x reader (Haikyuu)
Sugawara x reader (Haikyuu)
Party night (Anime various)
Ushijima x reader (Haikyuu)
Kuroo x reader (Haikyuu)
Tendo x reader (Haikyuu)
Iwaizumi x reader (Haikyuu)
Bakugo x reader (MHA)
Iwaizumi x reader (Haikyuu)
Ici c'est les cités de France, narvalo (Auteure)
Kirishima x reader (Mha)
Oikawa x reader (Haikyuu)
Tsukishima x reader (Haikyuu)
Bakugo x reader (MHA)
Akashi x reader (Knb)
🎄Calendrier de l'avent🎄
🎄Jour 1 - Citron surexcité (Knb)🎄
🎄Jour 2 - Un chat chelou (Haikyuu)🎄
🎄Jour 3 - Un brocolis sexy (MHA)🎄
🎄Jour 4 - Bouffon plat 🎄
Eren x reader (SNK)

Akashi x reader (Knb)

6.8K 214 448
By LeaIwaizumi

Hello everyone ! Bon, je m'étais promis de rester calme... MAIS JE PEUX PAS ! MERCI POUR LES 1K !!! Je vous remercie pour tout ! Les commandes, vos commentaires, que vous ne faîtes pas de remarques sur mon retard permanent, juste merci !

Pour célébrer ces milles vues, voici un Akashi x reader, demandée par la fantastique lyxaackerman ! Merci pour ta commande, j'adore Akashi donc c'est parfait pour toutes ces vues ! Bien sûr, je vous fais les autres commandes, ça arrive ! Je vais vraiment faire en sorte d'essayer de reprendre un rythme plus régulier, désolée et merci pour votre patience ! Vous êtes les meilleurs !

Juste, je précise mais cet OS est assez long, donc soyez motivés pour lire tout ça ^^'

Attention, ce chapitre contient un lemon, j'en signalerais le début et la fin, ne vous en faîtes pas. (Même si je sais très bien que la plupart des gens aiment les lemons, mais sait-on jamais !)

Bonne lecture ;)

***

Je n'ai jamais été la fille courageuse que l'on peut voir dans les fictions. J'étais celle qui passait son temps à lire leurs aventures génial, admirer leurs réparties capablent de faire pleurer le diable, et surtout rêvasser de leurs histoires d'amour si intense. Bien sûr, ce n'est pas que je ne plaisais pas aux garçons, après tout il y a de tous les goûts dans la nature. Le soucis était plutôt que j'étais incapable de tomber amoureuse. En vingt et un an de vie, malgré de nombreuses relations amoureuses, jamais je n'ai ressentie l'étincelle qui enflammerait mon coeur et mon bas-ventre à la fois. Et puis j'avais le don de me mettre qu'avec des idiots qui me trompaient en constatant que je ne les aimais pas, ou alors que je me lassais.
En même temps, si la seule raison pour laquelle on était avec le garçons était notre attirance sexuelle, quand celle-ci disparaît il ne reste plus rien qui vous retient. C'était donc ainsi que j'avais enchaînée les relations sans réels investissement, étant en réalité des hommes qui partageaient ma vie le temps que ma passion au lit était allumée. Cela ne durait donc jamais plus de deux à trois mois, tout au plus.

Je passais sûrement pour une grosse catin, mais je cherchais juste celui qui me ferait ressentir cette passion amoureuse que je recherchais tant et qui ressemblait à celle de mes livres. Le pire était qu'au début de chaque relation, je me disais qu'enfin c'était le bon, que j'en étais folle amoureuse, puis le temps passait, et les pulsions sexuelles étaient balayées. Il ne restait plus que de la déception derrière cette traînée d'espoir. Mais cela n'avait plus d'importance, il fallait que j'arrête d'essayer de contrôler le destin, s'il voulait que je tombe amoureuse, alors je le serais, mais forcer les choses ne sert à rien. J'avais donc décidée de me concentrer sur ma fin d'études, mais seulement il fallait bien que je me paie mon appartement. C'est donc avec résignation que je cherchais un boulot. J'avais passé des heures entières à chercher, puis j'étais tombée exactement sur ce qu'il me fallait. C'était avec joie que je me rendais donc à l'entretien d'embauche, en ayant bien entendu envoyée ma fiche et mon CV sur internet.

J'étais assez confiante pour cet entretien, après tout mes études portaient sur la psychologie et après maintes observations et analyses, je savais que quatre-vingt pourcents de ma réussite pour l'entretien passerait dans mon physique. Surtout avec le boulot pour lequel je postulais. C'était être tout simplement stagiaire d'un patron d'entreprise en jouant les boniches. Les horaires correspondaient avec ceux de ma faculté, il fallait donc vraiment que j'ai ce travail. Je m'étais donc apprêtée en conséquence, et pour une fois je ne me trouvais vraiment pas hideuse. Une jupe droite qui mettaient mes cuisses en valeurs, des talons qui rendaient ma démarche féline, et un haut assez fin qui permettait d'être sexy sans être vulgaire. Ma coiffure était structurée, mon maquillage discret, et mon sourire éblouissant. Ce job, je ne pouvais que l'obtenir. Ma confiance était optimal pour une fois, et je comptais bien en profiter.

J'arrivai donc avec fierté et élégance au lieu de l'entretien, cachant mon étonnement face au luxe du bâtiment, par un sourire confiant. Quand la dame de l'accueil me vit arriver, elle me sourit poliment et m'amena à l'étage où se déroulait l'entretien d'embauche. Elle m'avait expliquée qu'à cause des vacances d'été, beaucoup étaient partis en congés, donc c'était le patron lui-même qui allait me faire passer l'entretien. C'est donc avec un peu plus de stress que je m'assis sur les fauteuils en cuir de la salle d'attente face au bureau du grand patron.

Cinq minutes plus tard, un homme à l'allure bancal et un air peu assuré s'approcha, puis m'appela pour m'amener au patron. Je m'étais donc levée, marchant vers lui élégamment tout en gardant la tête haute. J'oubliai le temps d'un instant tout sentiment de stress, puis entrai avec confiance dans le bureau. Mon regard (c/y) se posa sur l'homme assis dans sa chaise en cuir, et je me figeai. Mes joues se mirent à rougir et mon souffle s'emballa brusquement. Mon bas-ventre fit echo à cette réaction corporelle, et je sentis une boule chaude s'y former. Le regard rouge perçant croisa le mien, et rien qu'avec ça j'aurais put gémir.

Le directeur de cette entreprise était un homme d'environ un mètre quatre vingt, aux épaules carrés et au regard hypnotisant. Ses cheveux rouge semblaient doux au touché, et sa peau de porcelaine était une perfection que beaucoup devait envier. Sa carrure ne laissait aucune place à la tromperie, on devinait immédiatement que des muscles se cachaient sous cette chemise noir de jais. Il était l'homme le beau et attirant que je n'ai vu de ma vie, et si je m'écoutais, cela ferait déjà longtemps que je me serais jetée sur lui pour assouvir mon désir qui s'était manifesté à sa vue. Jamais encore je n'avais ressentie cette envie aussi fortement, et je me demandais si cela pouvait être supportable au quotidien si j'étais engagée.

"Vous êtes (T/p) (T/n) je suppose, asseyez-vous sur cette chaise, nous allons nous entretenir pour le poste que vous convoitez. Déclara l'homme d'une voix grave et froide, augmentant la chaleur qui s'était emparée de mon bas-ventre."

Il était impressionnant, son aura était écrasante. Il dégageait une telle puissance, on aurait dit la même puissance que celle d'un roi face à ses sujets. J'avais l'impression de n'être qu'une biche face à un loup affamé qui pouvait me dévorer toute crue sans que je ne puisse réagir. Ce fut donc avec un pas hésitant, que j'essayai de garder confiant, que je me rendis face à son bureau pour m'asseoir sur la chaise qui s'y trouvait.

"Bien, donc (T/p) (T/n), vingt et un an, étudiante en psychologie à la fac de Kyoto. Pourquoi voulez-vous ce poste, mademoiselle (T/n) ? Me demanda-t-il avec un air assez neutre, plantant ses pupilles rouges dans les miennes.

- J'ai besoin d'un travail pour payer mon appartement, et vos horaires correspondent parfaitement avec les miens. Et j'aime beaucoup ce poste de stagiaire, je vais pouvoir apprendre un métier et en pratiquer un autre en même temps, tout en m'entraînant à analyser psychologiquement les personnes travaillant ici et celles que je pourrais rencontrer. Cela fait d'une pierre, deux coups et j'aime l'efficacité. Répondis-je en croisant mes jambes, sentant mon désir augmenter face à son regard perçant.

- Bien, je vois que vous êtes honnêtes et peu intimidée, c'est un bon début. Le travail supplémentaire vous fait-il peur ?

- Non, au contraire si je veux aider et m'investir totalement dans ce travail, il est donc normal que j'ai du travail supplémentaire. Je suis une travailleuse, et je suis prête à tout pour remplir toutes vos exigences. Déclarais-je avec détermination, puis de rougir subitement en me rendant compte de mes paroles.

- Mes exigences sont bien trop dangereuses pour une biche aussi innocente et fragile comme vous. Sourit narquoisement l'homme aux cheveux magenta, parlant d'une voix suave qui mit mes hormones dans tous leurs états.

- Ah oui ? Et qui vous dit que la biche est incapable de résister au loup ? Rétorquais-je en prenant mon air le plus arrogant que j'ai, masquant ma gêne par cet élan d'arrogance.

- Vous êtes bien audacieuse, il est rare de retrouver une femme se retenant de gémir rien qu'en me voyant, et surtout me tenir tête. Ricana le rouge en croisant ses mains sur son bureau, se penchant vers moi avec air de prédateur qui me fit frissonner, bon dieu qu'il était désirable.

- Je ne gémis pas comme ça sans raison. Répliquais-je en espérant qu'il n'ai pas vu mes jambes croisées qui gigotaient légèrement sous la tension dans la pièce.

- Voulez-vous que je vous donne une raison dans ce cas ? Il me suffirait d'un effleurement à en voir vos jambes croisées se frottant l'une contre l'autre. Fit le directeur en captant mon regard dans le sien qui me donnait presque le tournis.

- N-non, ça ira Akashi-kun, il faut terminer cet entretien d'embauche. Bredouillais-je en essayant de cacher mes rougeurs en baissant la tête.

- Vous n'êtes pas une femme ordinaire, (T/p). Rare sont les femmes à refuser que j'apaise leur désir. Cet entretien d'embauche est terminé, je sais déjà la décision que je vais prendre. Je vous remercie, mademoiselle (T/n). Déclara le rouge en se levant, m'accompagnant jusqu'à la porte."

Mon coeur battait à tout allure, et je me demandais si cela était sous l'effet du désir, ou bien mon stress qui me laissait deviner que j'avais raté mon entretien à cause de cette fichue envie. Alors que j'allais passer le pas de la porte, la tête baissée face à ma déception de moi-même, une main chaude me retint par le bras et me tira en arrière.

Je me retrouvai contre le torse du directeur, sentant au travers de sa chemise ses muscles que j'avais imaginé il y a de ça vingt minutes. Mon cœur accéléra encore plus face au rouge et son sourire presque sadique aux lèvres. Il était beau à en damner. Sa main sur mon poignet glissa de façon langoureuse jusque le bas de mon dos, me collant complètement contre lui. Sa chaleur corporelle sembla enflammer mon bas-ventre déjà bien torturé, et je me demandais combien de temps j'allai tenir avant de craquer face à mes pulsions très peu catholiques.

"Une dernière chose, mademoiselle (T/n). Je suis un empereur et non un loup, retenez le bien pour la prochaine fois. Souffla Akashi dans mon oreille, son souffle chaud me faisant échapper un souffle de désir."

Sans que ne puisse rien ajouter, l'homme se détacha de moi et retourna vers son bureau sans un mot. Je me retrouvai donc rouge de désir et de frustration face à la porte. Je sortis de la pièce et marchai vers l'ascenseur pour sortir du bâtiment en repensant à notre conversation. Un détail me fit soudainement écarquiller les yeux. Comment ça, "la prochaine fois" ?

            ***

Embauchée. C'était écrit, noir sur blanc. Mes mains tremblaient et je ne savais point si je devais sauter de joie ou pleurer d'angoisse face à cette nouvelle. Pourtant cela aurait dû me faire sauter de joie à la base, mais après ce qui s'était passée, je n'étais pas sûre de survivre face à cette tension entre lui et moi. Mais je savais qu'il fallait que je me montre plus forte que cela, ce boulot me permettra de voir mes propres limites et je me suis engagée dans tous les cas. Un peu plus confiante, je me redressais avec un sourire fier, puis allait marquer dans mon planning le début de mon nouveau travail. Officiellement, dans deux jours je serais la stagiaire de Akashi Seijūrō, un des hommes les plus sexy ayant foulé cette terre. Je me demandais quand même combien de temps vais-je réussir à lui résister sans céder à mon désir pour lui.

Une inspiration, quatre secondes, une expiration. J'essayais tant bien que mal de me détendre, ce qui était assez ardue au vue de la situation dans laquelle je me trouvais. La secrétaire face à moi semblait partagée entre hilarité et gêne, ce qui était bien compréhensible. La raison de cette situation digne de mes romans, était que le directeur Akashi m'avait fournit un uniforme de travail bien particulier. Une jupe aussi courte que mon avenir, ainsi qu'une chemise tellement blanche qu'on pouvait voir à travers. En clair, il avait fait tout pour me mettre dans une situation qui ne ferait qu'empirer cette tension, déjà bien étouffante.

J'offris un léger sourire à la réceptionniste, puis me dirigeai vers les toilettes pour enfiler ma tenue de travail. Je ne pensais pas tomber sur un homme aussi surprenant en postulant pour ce job. Combien de tours il me réservait encore ? Comment allait-il faire pour empirer encore et encore toute cette tension sans jamais y céder ? Quel genre d'homme arrive à résister à ce genre d'attraction ? Il n'était pas un humain normal, c'est la seule solution que j'envisageais.

En fermant la fermeture éclair sur le côté de la jupe, je soupirai. Il allait me rendre fou, et nous n'étions qu'au premier jour de travail. Si dans deux semaines je ne suis pas morte à force de me contrôler, je me paie un ticket de loto et j'y joue. En tout cas, même avec cette difficulté, je ne compte pas faillir dans mon travail. Je vais lui montrer à quel point on ne peut pas m'avoir aussi facilement, moi (T/p) (T/n).

En arrivant devant la porte du bureau, je faisais moins la fière bizarrement. Pourtant, je clanchai* tout de même la porte, puis rentrai en marchant le plus élégamment possible. Son regard rouge se leva sur moi, et un frisson parcourue ma colonne vertébrale. Son regard glissa sur ma silhouette, une lueur de satisfaction s'installant dans ses iris à la vue de mon "uniforme de travail" choisit par ses soins.

"Bonjour Akashi-kun, je suis ravie de pouvoir être votre stagiaire. Je ne pensais être sélectionnée pour être honnête. Déclarais-je en essayant de garder un visage le plus neutre possible.

- Bonjour (T/p)-san, je dois reconnaître que moi non plus je ne pensais pas vous choisir vous. Mais en vous voyant habillée ainsi, je ne regrette pas mon choix. Me répondit-il de sa voix rauque, un sourire au coin des lèvres."

Il savait très bien ce qu'il faisait cet idiot ! D'un coup d'un seul, je devins rouge jusqu'au racines, lui arrachant un sourire plus grand encore. Alors que je reculais pour sortir de cette pièce, le PDG se leva de sa chaise en cuir, puis se dirigea vers moi avec sa démarche assuré. Même du haut de sa taille assez petite pour un homme, je le trouvais impressionnant. Rien que son regard et sa présence pourrait clouer le bec à n'importe qui. Une fois face à moi, le rouge me domina de sa taille, plantant son regard dans le mien. Impressionnée, je fis un pas en arrière, mais une de ses main se plaça dans le bas de mon dos, m'empêchant de reculer à nouveau. Son corps se colla au mien, et la chaleur qui s'en dégageait créa une boule brûlante dans mon bas-ventre.

"Bienvenue dans l'entreprise, (T/p). Souffla-t-il, penché à mon oreille, déposant juste après un baiser à la base de ma nuque.

- M-merci Akashi-kun. Pourriez-vous m-m'indiquer mon bureau ou la pièce où je vais travailler ?

- Où penses-tu travailler ? Tu es ma stagiaire à présent. Il est évident que tu restes avec moi toute la journée. Susurra le rouge en enroulant son bras autour de ma taille.

- Quoi ?! M'écriais-je en reculant."

Les joues rouges, je le repoussai et étonnamment le PDG me laissa faire avec un grand sourire aux lèvres. La différence de force ne me permettait même pas de bouger que d'un seul centimètre, et pourtant il m'avait laissé le repousser sans broncher. Je le regardais avec des yeux grands ouverts, ce qui l'amusa grandement au vu du rire qui s'échappa de ses lèvres. Ce son et son visage à ce moment accéléra encore plus les battements de mon cœur, au point de me faire presque paniquer. Je posai ma main sur ma poitrine en essayant de comprendre ce sentiment qui s'y creusait, mais je n'eu pas le temps de méditer plus dessus que le rouge attrapa doucement mon menton de sa main droite.

"E-euh et si j'allais vous faire un café ? Noir ? Sucre ou pas du tout ? Demandais-je précipitamment pour essayer d'oublier cette sensation dans ma poitrine et le noeud dans mon bas-ventre.

- Noir et sans sucre. Sourit mon patron en me relâchant, repartant d'un pas nonchalant vers son bureau."

Je soupirai face à son comportement, puis sortit de la pièce. À en voir son attitude, on dirait qu'il ne s'est rien passé. Comment avait-il fait pour garder tout son sang froid ? Puis c'était quoi ce sentiment dans ma poitrine quand il a rit ? Cela se justifiait peut-être par le faite qu'il était à tomber quand il a rit ? Toutes ces questions tournaient en boucle dans ma tête, et si cela continuait, j'aurai un mal de crâne d'ici la fin de la journée. Enfin, si je tenais jusqu'à là.

                                                                            ***

Un mois. C'était le temps que j'avais tenu dans cette entreprise aux côtés du grand Akashi Seijūrō. Ma relation avec lui n'avait fait qu'empirer d'ailleurs. Les sentiments étranges dans ma poitrine s'étaient transformés en une nuée de papillons qui prenaient leur envol à chaque fois que je croisais le regard de mon employeur. Oh et bien sûr je ne parle même pas de la tension présente dans l'air rien qu'avec nos deux présences dans la pièce. Mais bon malgré tous ces aspects négatifs, je m'entendais assez bien avec mon employeur. Malgré qu'il soit toujours aussi imposant, j'avais découvert bien d'autres facettes de lui qui n'avaient rien à voir avec son aura impressionnante.

Tout d'abord, Akashi était maniaque. L'ordre et la propreté sont des choses vraiment très importantes pour lui, ce qui m'arrange assez bien puisque je le suis moi aussi. Ensuite, il est taquin. Quand j'ai découvert son amusement à me faire rougir ainsi que ses taquineries glissées discrètement, j'étais assez surprise. Avec les jours qui passaient, je m'y étais faite et y prenais même goût. C'était une de ses facettes que j'adorais d'ailleurs. Il était aussi minutieux et calculateur, doté d'en plus de cela, une intelligence redoutable. Bon nombres d'hommes avaient baissées les yeux et fait ce qu'il voulait rien qu'avec ses arguments incroyables. En toute honnêteté, c'était l'homme le plus impressionnant que j'ai rencontrée de ma vie. Tout lui réussissait et rien ne pouvait se mettre en travers de son chemin, quand il voulait quelque chose, il l'avait.

D'ailleurs ce soir nous avions un dîner avec des hommes d'affaires qui détenaient un contrat qu'Akashi voulait avoir depuis longtemps. L'autre entreprise allait devoir négocier son prix avec le rouge, pour que ce dernier la rachète. Cela devait être au moins la dixième entreprise que le rouge achetait, une autre cédait face à la puissance de "l'empereur". Au fil des années, malgré son jeune âge, vingt-huit ans dans le monde dure et impitoyable du commerce c'était très jeune, il montait les échelons et rachetait tout entreprise qui pourrait lui faire de l'ombre. Un monstre des affaires. Ce soir il était évident qu'il aurait cette entreprise, et au meilleur prix qu'il soit. Et si je l'accompagnais à ce dîner, c'était tout simplement car j'étais sa stagiaire. Il me traînait un peu partout avec cette excuse, bien que je ne lui serve pas à grand chose. Enfin, si cela lui faisait plaisir, je me contentais de suivre ses ordres sans vraiment à en chercher le sens, car il n'y en avait pas vraiment.

C'est donc habillée le plus élégamment possible que je rejoins la limousine que mon patron m'avait envoyé. Il ne s'est apparemment pas dit que je souhaitais une simple voiture, non monsieur l'empereur envoyait des limousines comme on envoie une lettre par la poste. On voyait vraiment qu'il avait grandit dans la richesse. Ce fût avec gêne que je remerciai le chauffeur qui m'avait ouvert la porte, vérifiant une dernière fois ma tenue avant d'entrer dans le restaurant.

En entrant à l'intérieur du chic restaurant, je me sentis mal à l'aise. Il faut dire que ma famille n'avait pas des revenues des plus élevés, et je n'avais donc jamais fréquentée ce genre d'établissement. Mais avec Akashi comme employeur, j'allais bien devoir m'y habituer vu comment ça lui semblait normal de manger dans ce genre de restaurant. Perdue dans mes pensées, je sursautai quand un serveur s'adressa à moi. Je lui indiquai devoir rejoindre la table réservé du nom de Akashi, et le jeune homme m'y emmena. En arrivant à la table, le regard des trois hommes déjà présents se tournèrent vers moi, tandis que le mien se dirigea vers mon employeur. Sans me retenir, je me mordillai ma lèvre inférieur en le voyant dans son costume trois pièce noir qui lui allait à merveille. Plus sexy, on ne trouvait pas.

Je remerciais le serveur, puis saluai les trois hommes, le tout avec un grand sourire. Le regard de l'un d'eux se fit insistant sur ma personne, mais je me contentai de lui sourire poliment en détournant le regard. Nous mangeâmes donc, et les trois parlèrent d'affaire tandis que j'écoutais distraitement. La soirée se passa assez bien, si on oublie le regard de l'homme d'affaire posé sur moi presque de manière permanente. Je priais tous les dieux pour qu'Akashi ne l'ait pas remarqué, sinon je savais très bien qu'il s'énerverait. Oui, j'avais oubliée de le préciser, mais le directeur est assez sec en ce qui concerne les hommes qui me regardent, et je n'avais jamais vraiment compris pourquoi. Mais comme j'aimais bien cette impression de possessivité, je ne disais rien.

Quand le dîner d'affaire se conclut sur la victoire évidente du rouge, nous pûmes partir. J'avais d'ailleurs essayé de payer ma part, mais quand je m'étais approchée du comptoir, son bras m'avait bloqué en m'ordonnant de l'attendre à l'extérieur. C'était donc ce que j'avais fait, lui obéissant pour éviter qu'il ne s'énerve. Mais quand j'arrivai devant l'entrée du restaurant chic, l'homme qui n'avait fait que de me fixer était là. J'avais alors fait mine de rien et m'étais placée devant pour attendre gentiment mon employeur. Mais le regard pesant de l'homme sur moi persistait, agacée je tournai les yeux en sa direction. Cependant il était bien plus proche que ce que je ne pensais, je sursautai donc en le constatant.

"Je voulais vous remercier pour votre présence pendant ce dîner, cela l'a rendu bien plus intéressant. Déclara l'homme avec un sourire qui me mettait mal à l'aise.

- Je n'étais pas là pour vous. Vous m'excuserez monsieur, mais ma présence à ce dîner ne s'explique que par mon envie d'être aux côtés de mon employeur. Répondis-je avec un grand sourire hypocrite pour masquer ma gêne.

- Je pourrais vous offrir bien mieux qu'une relation qui se déroule seulement sur l'oreiller, Mlle. (T/n). Sourit avec un air mauvais l'homme d'affaire s'approchant de moi bien plus que de raison.

- Il me semble que Mlle. (T/n) fait ce qu'elle veut. Et notre relation ne vous regarde pas, la seule chose que j'ai à vous dire, est de ne pas vous approcher de mon impératrice. Rétorqua d'une voix glacial Akashi en enroulant son bras musclé autour de ma taille, d'un air possessif qui me fit rougir.

- O-oui, au revoir Akashi-sama. Balbutia-t-il en baissant les yeux sous l'aura écrasante du rouge qui le fusillait du regard.

- Passez une bonne fin de soirée. Le salua mon patron en m'entraînant vers sa voiture de luxe, m'ouvrant galamment la portière."

Je rougis et le remerciai en montant dedans. Le rouge rentra de son côté, puis démarra la voiture. Le silence qui pesa me fit mal, je crus avoir fait une bêtise qui me mériterait de subir ses foudres.

"J-je ne lui ai pas parlé de moi-même. Il est venu me voir alors que je vous attendais comme vous me l'aviez dit.

- Je ne t'en veux pas (T/p). Je réfléchissais juste à quel goût pouvait avoir tes lèvres, pour oublier ma colère. Répondit le rouge naturellement sans même me jeter un regard."

Bien évidemment, je rougie comme à mon habitude, tournant violemment ma tête vers lui. Un sourire en coin était présent sur ses lèvres, me faisant comprendre qu'il s'amusait encore de mes rougissements. Au lieu de m'énerver, mon regard descendit vers ses lèvres qui souriaient malicieusement. Elles avaient l'air délicieuse. Je me mordis ma propre lèvre inférieur en me posant la question. Quel goût pouvaient avoir celles d'Akashi ? Menthe peut-être ? En ayant remarquée qu'il appréciait beaucoup ce goût, ça ne m'étonnerait même pas qu'il en mange en forme de bonbons parfois.

"(T/p), ne me regarde pas comme ça. Je risque d'avoir du mal à me retenir si tu continues. Ordonna soudainement le rouge, me regardant du coin de l'œil.

- Vous retenir de quoi ? Demandais-je innocemment.

- De te sauter dessus. Répondit-il en se garant, tournant son regard rouge vers moi."

Je souris à ces mots, puis jetai un coup d'œil de l'endroit où il s'était garé. Un immeuble moderne aussi grand que certain building. Bizarrement, je savais que j'en avais marre d'attendre, et c'était l'occasion parfaite.

"Qu'est-ce qui vous en retient ? Soufflais-je en me détachant, me redressant avec un sourire malicieux aux lèvres.

- Que tu me l'autorises. Sourit le rouge en sortant de la voiture."

Après en avoir fait le tour et m'avoir ouvert la porte, le PDG me tendit sa main pour m'aider à me relever. Une fois debout face à lui, ma taille me força à lever mon regard vers lui, me perdant dans ses orbes rouge. Je me collai à lui en essayant d'ignorer mon cœur battant à une vitesse anormale, puis enroulai mes bras autour de sa nuque.
J'attendais qu'il fasse le premier pas, ce serait bien trop gênant s'il me repoussait. Mon patron le comprit sûrement, puisque ses bras musclés s'enroulèrent autour de ma taille, et qu'il se pencha vers moi. Ses lèvres se posèrent alors sur les miennes, et je sentis une nuée de papillons s'envoler dans mon ventre. Ma tête se pencha sur le côté, et mes mains se perdirent dans ses mèches rouges aussi douces que de la soie. Alors que je pensais que mon initiative serait récompensée, et qu'il approfondirait le baiser, le rouge se détacha de moi. Je le regardai, surprise, battant des cils pour essayer de reprendre mes esprits. C'était bien la première fois qu'un baiser me faisant perdre autant la tête.

"Montons dans mon appartement. Ce ne serai pas raisonnable de laisser aller mes pulsions sur le parking de chez moi. Ricana l'empereur en me regardant tendrement, replaçant une mèche de cheveux derrière mon oreille.

- Je te suis. Répondis-je en souriant, un sentiment d'allégresse envahissant tout mon être."

Le PDG me sourit en retour, saisit ma main, et m'entraîna à sa suite vers son appartement. En y entrant, j'enlevai mes talons qui commençaient à me faire mal, puis regardai les lieux. La décoration était simple, mais chic, à l'image du directeur. Cela restait assez impersonnel tout de même, tout était vraiment très épuré, ce qui me perturbait. Je ne pus cependant pas m'étendre sur la décoration, qu'un bras musclé m'entourait les hanches en m'entraînant vers la chambre. En y entrant, je constatai qu'elle était dans le même style que le reste de l'appartement, bien qu'elle soit un peu personnalisés au vu des photos qui peuplaient la pièce.

/!\ Lemon /!\

Des baisers dans mon cou coupèrent court à mon observation. Je poussai un soupir de plaisir malgré moi, ses lèvres chaudes sur mon cou étaient vraiment la meilleure sensation au monde. Je me tournai cependant vers lui, lui offrant un sourire charmeur qui le fit sourire à son tour. Tout en me dressant sur la pointe des pieds, je déposai mes lèvres sur les siennes. Bien que le baiser est commencé tendrement, quand ses mains se posèrent sur mes hanches en me tirant contre lui, je lui laissai tout contrôle.

La passion nous emporta bien vite, et je me sentais presque faillir entre ses bras. Il embrassait à merveille, mais cela ne m'étonna pas. Après tout, qu'est-ce qu'il ne savait pas faire de la manière la plus parfaite qui soit ? Ses lèvres se mouvant contre les miennes étaient des expertes, dirigeant parfaitement notre baiser. Mais bien vite, la chaleur dans mon bas-ventre me fit comprendre que j'en voulais plus. Quand sa langue vint titiller ma lèvre inférieur pour que j'entre-ouvre mes lèvres, je compris que lui aussi. Je lui laissai l'accès à ma bouche sans hésitation, et suite à cela la chaleur présente dans la pièce monta d'un cran. Nos langues se découvrant, se goûtant, avec une passion qui me faisait fondre sur place.

Mais cela n'était toujours pas assez. Voulant remédier à ça, je saisis sa chemise en soufflant pour lui faire comprendre mon envie. Je le sentis sourire contre mes lèvres, et sa langue quitta sa jumelle. Ses dents mordirent légèrement ma lèvre inférieur, tandis que ses mains quittaient mes hanches pour venir saisir mes fesses. Je gémis bruyamment à cette action, ce qui fit rire monsieur, satisfait de m'avoir arraché un gémissement. D'un coup je quittai le sol, ses mains m'ayant soulevées comme si je ne pesais rien. J'enroulai mes jambes autour de sa taille, et me laissai transporter sur le lit où il me coucha en se plaçant au-dessus de moi. Son regard pénétrant me détailla, et ses yeux parurent s'assombrirent sous le désir.

"J'aime te voir aussi soumise à moi. Sourit d'un air narquois le rouge, se penchant pour déposer ses lèvres sur mon cou.

- Akashi, non ! Tentais-je de l'empêcher en sentant ses lèvres aspirer ma chair."

Malgré que mes mots semblaient vouloir l'arrêter, mon corps lui se cambraient en sentant ses dents mordiller ma peau sensible à cet endroit. Le pire fût quand sa langue passa sur la longueur de mon cou, je gémis bruyamment à ce geste en saisissant ses cheveux entre mes doigts. Après m'avoir déposé une série de baisers brûlants et avoir suçoté ma peau au point de la marquer, il se détacha de cet endroit si sensible.

"Sadique..., Soufflais-je avec un léger sourire aux lèvres.

- Ce n'est que le début (T/p). Rétorqua-t-il en me souriant d'un air arrogant, se redressant pour déboutonner sa chemise en laissant son regard planté dans le mien."

Je rougis à cette action. Le voir se déshabiller de cette façon, me dominant de toute sa hauteur en me regardant droit dans les yeux, c'en était qu'encore plus excitant. Sans pouvoir m'en empêcher, je serrai légèrement mes jambes pour essayer d'apaiser le désir qui mouillait de plus en plus mon sous-vêtement. Quand Akashi le remarqua, un sourire carnassier se dessina sur ses lèvres, puis il se pencha vers mon cou. Ses mains glissèrent, puis saisirent le bas de ma robe pour la faire remonter le long de mon corps. Je soulevai mes hanches pour l'aider, puis me redressai pour faire passer la robe par-dessus moi. Je me retrouvai en sous-vêtements face à l'homme le plus sexy à mes yeux, et je ne savais pas si je devais en être fière ou affreusement gênée. La dernière option fut choisit par mon corps, je détournai donc le regard, les joues aussi rouges que ses cheveux. Son rire retentit dans la pièce, me surprenant. La chaleur du PDG m'entoura et ses lèvres chaudes se posèrent sur ma clavicule. Aussitôt je soufflai de plaisir, plaçant mes mains sur son dos musclé pour le sentir plus encore contre moi.

Le rouge parcourut ma clavicule de ses lèvres, s'amusant à titiller de sa langue certaines parties sensible. Ses mains posées sur mes hanches, remontèrent et appuyèrent sur mon dos pour que je me cambre. Je le fis donc, et mon soutien-gorge me fut retiré. Il fut balancé quelque part dans la pièce, mais cela m'importa peu en cet instant, surtout quand je sentis les lèvres de mon patron descendre vers ma poitrine. Sa bouche se posa sur mon sein droit, et il s'amusa à suçoter la boule de nerf, me donnant de plus en plus chaud. Mes mains glissèrent jusque ses cheveux que j'accrocha en soufflant, me mordant les lèvres pour empêcher les gémissement d'en sortir. Cela ne plût pas au rouge, puisque ses lèvres trouvèrent refuge entre le creux de ma poitrine, puis aspira cette partie si sensible, jusqu'à laisser sa marque. Cette action si sensuelle me fit gémir malgré moi, arrachant un sourire de satisfaction au PDG. Il s'amusa à torturer mon autre sein avec sa bouche, laissant le plus de suçon possible sur son passage. Je devenais littéralement folle, mon bas-ventre semblant s'enflammer de plus en plus sous l'impatience.

"Akashi-san... S'il vous plaît. Suppliais-je d'une voix faible, perdue dans les méandres du plaisir.

- Si tu m'appelais par mon prénom, peut-être serais-je plus gentil. Susurra l'homme à mon oreille, sa main glissant jusqu'à ma cuisse pour la saisir, et l'écarter doucement.

- Seijūrō, accélérez je vous en prie ! M'exclamais-je en plaçant son visage face à moi, à l'aide de mes mains perdues dans sa chevelure.

- C'est si gentiment demandé, je vais donc te l'accorder (T/p). Sourit-il en se relevant, déboutonnant sn pantalon, puis de le retirer."

Quand je vis son érection proéminente, je me demandai comment avait-il put tenir avec son pantalon si étroit. Il avait un contrôle de lui, impressionnant. Comme s'il avait lut dans mes pensées, le rouge rit puis se remit sur moi en déposant un léger baiser sur mes lèvres. Ses mains vinrent saisir mes cuisses pour les écarter et se placer entre. Quand je sentis la pression de son membre contre mon intimité, je gémis en cambrant légèrement le bassin pour exercer une plus forte pression. Le sourire du PDG m'indiqua que ma réaction l'amusait. Son bassin se colla au mien, tandis qu'il déposait une traînée de baisers sur mon ventre. Quand il effectua des mouvements de haut en bas, je crus défaillir et sans même le contrôler, je lâchai un gémissement aigu. Le rouge s'amusa donc de mes réactions pendant quelques minutes, jouant de son bassin en frottant son érection contre mon intimité.

Quand j'eu marre de sa douce torture, je me redressai en le saisissant par ses épaules. Il se laissa étonnement faire, et je le poussai donc sur le lit, me plaçant au-dessus de lui. Ses mains se posèrent sur mes fesses, tandis que je déposai des baisers le long de son torse. Mes mains retracèrent les contours de ses muscles saillants, se mouvant en faisant bien attention à frôler sa peau. Ses muscles se contractant au passage de mes mains m'indiqua qu'il y prenait plaisir, bien qu'il gardait toujours le contrôle sur son souffle. Le PDG plongea sa tête dans mon cou, me laissant m'amuser pendant quelques minutes.

Cependant, mon petit manège ne dura pas longtemps, puisque le rouge saisit avec fermeté mes fesses, me retournant de nouveau pour être en-dessous de lui. Mon regard parcourut son torse musclé et un sourire fier se dessina sur mes lèvres. Et dire que j'avais le privilège de pouvoir savourer cette vue magnifique. Je ne pus profiter longtemps de la vue, que je sentis ses lèvres descendre jusque mon bas-ventre. Ses dents saisirent ma culotte, puis d'un geste sensuel la fit glisser le long de mes jambes pour me la retirer. À cette vue mon souffle s'accéléra et mes joues prirent feu. Il était tellement sexy, à ce stade c'en était un crime. Mon patron se redressa en jetant mon sous-vêtement à terre, puis retira son propre boxer. Mes joues déjà bien assez rouges, me brûlèrent encore plus à cette vue.

"Je vois que tu es bien préparée. Veux-tu que je te prépare, ou tu es trop impatiente pour ça ? Me demanda le rouge en ouvrant son tiroir pour sortir un préservatif.

- J-je n'en peux plus... S'il vous plaît Seijūrō..., Murmurais-je en enroulant mes bras autour de sa nuque.

- Que veux-tu (T/p) ? Dis le moi distinctement. Ordonna l'empereur d'une voix encore plus rauque sous l'effet du désir.

- Faites-moi l'amour. Déclarais-je en détournant les yeux.

- Tes désirs sont des ordres, mon impératrice. Souffla-t-il en me pénétrant."

Je poussai un gémissement à sa pénétration, me cambrant en sentant la vague de désir qui me traversa à son geste. Son membre buta au fond de mon antre, ce qui fit lâcher un discret soupir de plaisir à Akashi. À l'entente de ce son, je ne pus m'empêcher de me dire que je voulais en entendre plus. Je bougeai donc lascivement mes hanches, l'incitant à engager des mouvements en moi. Avec un sourire en coin, son regard planté dans le mien, mon patron entama un mouvement de vas et viens lent. Je grognai de frustration, ondulant des hanches pour qu'il accélère la cadence. Mais sadique comme il était, le rouge continua de me torturer, saisissant mes hanches pour m'empêcher de les bouger. Je le fusillais du regard, mon bas-ventre se contractant sous l'effet de ce désir inachevé. Alors avec force, je plaquai mes mains contre ses fesses, puis me cambrai pour accentuer sa pénétration.

"Seijūrō ! Plus vite, bon dieu ! M'écriais-je, frustrée au plus haut point."

Le rouge ricana puis déposa un bref baiser sur mes lèvres. Avec satisfaction, je sentis enfin son bassin accélérer et s'enfoncer plus profondément en moi. Je soupirai de plaisir, enroulant mes jambes autour de sa taille pour le sentir plus encore en moi. Le plaisir engloutissait tout mon être, me laissant pousser des gémissements assez sonore comparé aux souffles presque silencieux de l'empereur. Je ne savais vraiment pas comment il faisait pour avoir un tel contrôle, mais en cet instant ce que je savais, c'est que j'en voulais plus. Je cambrai donc mon dos en agrippant mon patron par les épaules pour le lui faire compendre.

"Plus... Encore plus..., Gémissais-je en plantant mon regard embrumé par le plaisir, dans le sien.

- Me fais-tu confiance (T/p) ? Souffla le directeur, tout près de mon oreille.

- Oui ! S'il vous plait, Seijūrō !

- Bien, laisse moi faire alors."

Je le sentis se retirer, ce qui me frustra encore plus. Je poussai un grognement pour bien le lui faire comprendre, mais le rouge me saisit par les hanches, puis me retourna. Face au matelas, j'écarquillai les yeux. Son membre pénétra de nouveau mon intimité, et je gémis brusquement à cette sensation. C'était beaucoup plus intense, j'avais l'impression de le ressentir encore plus. Quand il entama une série de vas et viens puissant et profond, je crus défaillir. J'agrippai les draps, gémissant bruyamment sans pouvoir me retenir. Ses mains serrèrent mes hanches, me faisant comprendre que lui aussi aimait vraiment cette position. Je sentis son torse musclé se coller contre mon dos, allant encore plus vite dans ses coups de reins. Quand un violent coup de bassin toucha le fond de mon antre, je criai. Il avait apparemment trouvé le point sensible. Son souffle sur ma nuque me fis perdre la tête, tout comme son membre qui percutai ce point sensible avec force. Mon bas-ventre se contracta subitement, et une série de cris s'échappèrent de ma bouche sous le plaisir intense qui s'emparait peu à peu de moi. Dans un violent coup de rein, Akashi grogna en soufflant mon prénom. Son grognement de plaisir, ainsi que mon prénom prononcé de sa bouche, eurent raison de moi. Tout en criant son prénom à mon tour, mon corps se contracta en même temps que la boule dans mon bas-ventre explosait en mon être. Mes parois se resserrèrent autour de son membre, puis je me perdais dans les méandres du plaisir.

Le rouge déposa des baisers dans ma nuque, me laissant doucement redescendre du septième ciel. Une fois nos esprits retrouvés, il se retira de moi, se leva et partit jeter le préservatif. Mon patron revint se coucher à mes côtés, nous enroulant ensemble dans ses draps soyeux. Bien vite, je m'endormis, épuisée par tout ce plaisir ressentit. Je sentais seulement des bras s'enrouler autour de moi et un baiser se poser sur mon front avant de plonger dans les bras de Morphée.

/!\ Fin lemon /!\

Les rayons du soleil illuminant la pièce, me sortirent du sommeil si agréable où j'étais. Je me sentais entourer d'une chaleur douce et réconfortante, ce qui étais une sensation que je n'avais jamais ressentis. J'ouvrai péniblement les yeux, découvrant qui était la source de cette chaleur si apaisante. Mon regard glissa sur le visage endormi de mon patron, qui semblait dormir encore. Ses traits de visage étaient détendu, et je le trouvais adorable sous les rayons du soleil qui semblaient lui donner l'apparence d'un ange. En le détaillant du regard, je me rappelai soudainement de notre étreinte passionné de la veille. Le rouge envahit mes joues, mais en le regardant ainsi, dormir paisiblement et bien moins effrayant que d'habitude, je compris enfin. J'étais tombée amoureuse de mon patron. Il était la cause de tous ces battements frénétique de mon cœur, et de mes papillons étranges dans le ventre. Akashi Seijūrō venait de me faire tomber amoureuse de quelqu'un pour la première fois.

Après l'intense sentiment de joie face à cette constatation, vint ensuite la tristesse. Et si je n'étais que l'affaire d'une nuit ? Rien d'autre qu'un coup d'un soir. Les larmes envahirent mes yeux et ma respiration s'accéléra. Il était évident que je ne pourrai jamais être celle que le PDG aime. Comment un type pareil pourrait aimer une fille comme moi ?

Comme s'il avait sentit mon stress, le rouge resserra son étreinte autour de ma taille en me plaquant un peu plus contre son torse chaud. Je me blottis contre lui, enfouissant ma tête dans le creux de son cou pour respirer son odeur si agréable. Autant profiter des derniers instants tendre que j'aurai avec lui. Un grognement rauque émana soudainement du rouge, me faisant légèrement sursauter.

"Tu es déjà réveillée (T/p) ? Me demanda-t-il de sa voix rauque du matin, tellement sexy et adorable à la fois.

- O-oui... Désolée de vous avoir dérangée. Répondis-je en me relevant.

- Où comptes-tu aller comme ça ? Grogna le rouge en m'attrapant par les hanches, me replaquant contre lui.

- Akashi-kun, j-je ne veux pas d'une relation seulement sur l'oreiller. Déclarais-je d'une voix faible, me reculant pour planter mon regard (c/y) dans ses yeux rouges.

- Tu pensais que je te traiterais de la sorte après ce que l'on vient de vivre ? Je n'emmène pas mes conquêtes chez moi, et je veux bien plus avec toi. Je veux faire de toi mon impératrice. Sourit le PDG en replaçant une mèche de cheveux derrière mon oreille, me regardant tendrement.

- V-vraiment ?

- Oui, et appelles moi par mon prénom, je te l'ai déjà dit. Et tutoies moi aussi, c'est mieux pour un couple, nan ?

- Je ne suis pas vraiment... expérimentée. Vous...-tu mérites mieux qu'une idiote qui est tombée amoureuse pour la première fois de son employeur..., Murmurais-je avec un air penaud.

- Ne raconte pas n'importe quoi. Je ne prend aucune décision à la légère, je veux être avec toi peu importe que tu n'ai jamais été en couple ou non. Je t'aime toi et tous les défauts qui vont avec. Déclara  le jeune homme en me serrant contre lui, déposant un léger baiser sur ma tempe.

- Seijūrō... Je... Merci ! M'exclamais-je en entourant son torse de mes bras en collant mon front contre lui."

Le son du rire qui s'échappa de ses lèvres rendit l'instant encore plus magique. Je me décollai de son torse, et plantais mon regard dans le sien. Et dire qu'il y a un de mois de ça, je jalousai encore ces héroïnes de livre. Maintenant, dans les bras de l'homme que j'aime, je me dis que je n'ai rien à envier à personne. Tout simplement parce que je l'ai lui.

                                                                                 ***

Pfiouuuu, j'ai fini ! 7412 mots, ça risque d'être un peu long, nan ? Désolée, je ne pensais pas écrire autant, mais il faut dire que j'étais inspirée ! Désolée aussi pour ma longue absence, j'écrivais à 23h passée du soir à chaque fois, donc j'ai pris pas mal de temps pour écrire cet OS. M'enfin j'ai une bonne nouvelle : Je rentre enfin chez moi ! Je suis libérée de mes fonctions fatigantes de baby-sitter ! En tout cas, sachez une chose : sur des enfants allant de 7 ans à 12 ans, les pires sont ceux de 12 ans. Bon dieu, je comprend pourquoi on dit que c'est l'âge con ! De vrais têtes à claque ! J'ai faillit commettre des meurtres à plusieurs reprises avec ces enfants TRES enjoués. Bon je raconte ma vie, désolée ^^'

Oh petite annonce : J'accepte les commandes sur Haikyuu ! Après avoir lu des OS sur Kuroo (*^*), j'ai commencé l'anime et j'aime beaucoup (même si ça ne vaut pas Knb). Deuxième petite annonce, je compte essayer de poster au moins trois à deux OS par semaine maintenant ! Avec la rentrée et tout le bordel qui arrive, va falloir bosser donc bon. Puis ça me permettra d'écrire en avance.

P.S : Pour ceux qui lisent "Les Gardiennes", la suite arrive demain soir normalement. Désolée pour ça aussi, quand j'aurai mon emploi du temps je réorganiserai le rythme de publication, pour l'instant on va continuer à le faire à la one again bistoufly hein ^^'

Bref, j'arrête de m'étendre ! Je vous remercie encore pour ces 1K, vous êtes géniaux ! J'espère que cet OS vous aura plût, et je vous fais de gros bisous les loulous !

Leawifeoftodoroki

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