Teach Me Again

By FanFiction-kpop-jpop

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Merci à @SupremePablo pour la jolie couverture ! Je l'adore !🔥🥰 « Enseigne-moi ce que tu sais » Il était pr... More

Avant de commencer
Prologue: Temps écoulé
Chapitre 1: Un nouvel arrivant à Val-De-Rosey
Chapitre 2: Entretient entre profs
Chapitre 3: un nouveau prof
Chapitre 04: Le cours de Musique de Madame Guérin
Chapitre 05: Règlement de compte
Chapitre 06: Le couvre-feu
Chapitre 07: Des élèves turbulents
Chapitre 08: La retenue
Chapitre 09: Intervention
Chapitre 10: Un choix difficile
Chapitre 11: Dévotion
Chapitre 12: Bear Pub's Gold
Chapitre 13: Vengeance au Baseball
Chapitre 14: Mauvais karma
Chapitre 15: Aide supérieure
Chapitre 16: L'équipe de Frosffal
Chapitre 17: Match amical entre Val-De-Rosey et Frosffal.
Chapitre 18: Rêve sensationnel
Chapitre 19: Revirement
Chapitre 20: Inaccessible
Chapitre 21: Perturbations charnelles
Chapitre 22: Le Sénateur
Chapitre 23: Le courroux
Chapitre 24: La Toile s'effrite
Chapitre 25: Coup du siècle
Chapitre 26: Invitée surprise
Chapitre 27: Envie
Chapitre 28: Lunatique
Chapitre 29: Souvenir désagréable
Chapitre 30: Au bord de l'eau
Chapitre 31: Rencontre d'un premier amour
Chapitre 32: Rendez-vous
Chapitre 33: Tour de table
Chapitre 34: Sortie dans les bois
Chapitre 36: Nouvelle rencontre
Chapitre 37: Promesse
Chapitre 38: Le début des résultats
Chapitre 39: Plaisirs collectifs
Chapitre 40: Rupture
Chapitre 41: Sommeil léger
Chapitre 42: Tristesse au clair de lune
Chapitre 43: Sauver par le gong
Chapitre 44: Enfermé.
Chapitre 45: Clé
Chapitre 46: Guidever
Chapitre 47: Éclatement étoilé
Chapitre 48: La Librairie
Chapitre 49: Confrontation
Chapitre 50: Accident

Chapitre 35: Révélation

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By FanFiction-kpop-jpop

Quelques jours étaient passé rapidement sans que personne ne voit le temps passé. Enzo était à sa place habituelle dans le cours de Monsieur Courtney-Hash, le professeur de Latin. Le professeur était passionné de cette langue et leur contait tout son savoir avec une voix suave et excitée, faisant des grands gestes pour appuyer ses propos parfois exécrables. Enzo soupira et tourna son visage vers la fenêtre, sa mâchoire se tenant dans sa paume. Il pensait à son prof d'histoire et à l'attirance passagère qu'il ressentait envers lui.


Effectivement, pour Enzo, il ne concevait pas le fait qu'il ait des sentiments pour Gaspard. Il pensait forcément que c'était passager car il n'était pas habitué à autant d'affection de la part de quelqu'un, même pour un prof qui a autant d'estime en lui. D'ailleurs, pourquoi ? Il était un élève comme un autre. Pourquoi aurait-il plus de capacité qu'un autre étudiant de sa classe ? Il souffla, le regard hagard.


Je ne vous dérange pas dans votre contemplation, Monsieur Levalier ? demanda une voix qu'il reconnut.


Enzo se redressa correctement et se tourna à l'entente de la voix grave de son prof de Latin. Il baissa la tête tandis que les autres élèves partirent à rire sauf Dimitri et Samuel.


Non-Monsieur, fit-il.

Bien, allez au tableau. Je voudrais que vous me corriger ce qui ne va pas dans cette phrase, ordonna-t-il.


Enzo hocha la tête et lisait la phrase en plissant les yeux, concentré. Il repensa alors à la tenue que Gaspard avait lorsqu'il était concentré, corrigeant ardemment ses copies. Sa main posée délibérément sur le pupitre tenant le bas de la feuille, lisant assidûment les lignes inscrites par ses élèves, remontant sa paire de lunette de lecture lorsqu'elle descendait, des soupirs las qui passaient la fente de ses lèvres, sa main parcourant la feuille et sa peau frottant le tissu et le bois du bureau. Ses épaules qui se décontractaient avec un massage qu'il se faisait en soupirant de bien-être et de fatigue après avoir reposé son crayon. Gaspard amenant sa tête vers l'arrière pour regarder le plafond noir quelques instants pour reposer ses yeux et reprendre sa correction.


Enzo l'avait longuement observé pendant ses retenues et en classes, ses yeux étant resté obnubilé par sa prestance, son charisme. Son esprit qui était possédé par la voix légèrement grave de Gaspard car il n'était pas dans la trentaine.


Subitement, Enzo sursauta lorsque Courtney-Hash frappa dans ses mains pour le sortir de sa rêverie. Combien de temps avait-il rêvassé ? Il regarda derrière lui du coin de l'œil et déglutit en voyant les élèves s'impatienter et rire de sa bêtise.


Voyons, Monsieur Levalier, ne pouvez-vous donc pas corriger cette simple phrase grammaticale ? Arrêtez de rêvasser et reprenez-vous ! s'exclama le prof de Latin.


Enzo hocha la tête et regarda à nouveau les tracées de la craie blanche qui formaient des lettres légèrement pixelisées. Il soupira pour reprendre contenance et avança son index et son majeur qui tenait la craie, mais s'arrêta en voyant à travers les lettres, des traits faciales de Gaspard. Il écarquilla les yeux et sentit son estomac se tordre et papillonné tandis que le rouge lui montait jusqu'aux oreilles.


Il reposa brusquement la craie et se tourna vers son prof qui le narguait du regard, imposant.


Que se passe-t-il, Monsieur Levalier ?

Je n-n peux pas, bégaya-t-il.


Sous les regards intrigués des étudiants et du prof qui le rappela, Enzo sortit de la salle de classe en courant, voulant à tout prix s'éloigner de l'enceinte de l'établissement. Il voulait être seul et arrêter de penser à lui comme ça. Pourquoi ses pensées étaient obnubilées par Gaspard Venderdrake ? Ce n'était pas croyable ! Comment son cœur avait-il pu se dévouer autant à un seul homme ? Ne pouvait-il pas tomber amoureux de Samuel ou même de Dimitri ?! Bordel ! Son cœur tambourinait juste quand il pensait au prénom de son béguin. Ses joues et ses oreilles étaient rouge. Rouge de honte, d'envie et de désir.


Il s'asseyait à l'arbre devant l'étang du terrain scolaire. Il regarda le soleil passé à travers les plaines, les arbres et se reflétant dans les ondes de l'eau de l'étang. Il pouvait entendre les bruits des cigales, des grenouilles, les ailes des libellules virevolter au-dessus de l'eau et se poser sur les nénuphars. Il entendait la nature et le calme. Son cœur cessa de battre le tocsin et il ferma les yeux afin de se reprendre.


Il sentait les mains dociles et perfectionnistes de Gaspard parcourir son dos. Dos qui se cambra sous le toucher expert de son prof d'histoire qui pansait ses blessures. Il sentait la crème hydrater sa peau et la rendre plus douce, plus laiteuse qu'il ne l'était déjà. Il sentait les mains robustes de Gaspard lui faire, au même moment, un massage pour détendre son corps rempli de pression dû à l'école et au statut de son père. Il geint.


Enzo repensait à ce moment-là, le faisant gémir légèrement et prononcer timidement le prénom de son prof d'histoire. Son cœur repartit de plus belle alors qu'il rougissait. Enzo repensa aux yeux brûlant qui l'avait scindé la dernière fois, lui prodiguant de l'hésitation et de l'envie. Il pouvait se souvenir de leur toute première rencontre. La fois où Gaspard l'avait surpris avec tout un tas de devoir. Le jeune étudiant de dix-sept ans sentait les mains de Gaspard encore parcourir son corps. Il pouvait entendre la voix de Gaspard résonner à l'intérieur de son esprit.


Il ouvrit à nouveaux les yeux pour que ceux-ci scrutent l'horizon, le vent fouettant sa franche de cheveux. Il baissa les yeux et se mordillât la lèvre inférieure en voyant une légère bosse qui s'était formé dans son pantalon. Il prit l'initiative de regarder autour de lui voir s'il était réellement tout seul et passa une main sous son pantalon d'écolier.


🍋

Il empoigna son membre durcit et au toucher, il se cambra. Il ferma immédiatement les yeux et il s'enferma dans un monde de luxure. Enzo commença à malaxer son membre dans de délicat mouvements de tendresse et de dextérité, il semblait qu'il était presque professionnel. Il sentit ses membres trembler de désir, de passion tandis qu'il continuait toujours ses va-et-vient incessant. Il allait de plus en plus rapide, s'arrêtant au meilleur moment pour ralentir et reprendre afin de continuer ce plaisir unique qu'il se faisait à lui-même. Son corps se cambrait à chaque mouvement. 


Sa respiration s'accélérait. Son cœur voulait à tout prix se libérer de sa cage thoracique, voulant ne plus subvenir à cette souffrance de luxe. Il gémissait de plus en plus fort et il en devenait presque incontrôlable. Ses joues étaient rougies tout comme ses oreilles. La sueur dégoulinant de ses tempes, de sa bouche, de son visage par l'effort effectué. Sa main descendant de tout le long de son membre qui se faisait maltraiter par sa main droite. Il passa un doigt sur son gland qui laissait quelque fois sa semence sortir et appuya sur celui-ci afin d'empêcher le liquide blanc dégouliner sur sa peau afin de contenir sa délicieuse luxure encore quelques temps pour prodiguer encore plus de plaisir.


G-Gaspard... souffla-t-il à lui-même.


Son corps se cambra à nouveau, sa tête cognant à plusieurs reprises sur le tronc de l'arbre et il murmurait inlassablement le prénom de son professeur d'histoire, fermant les yeux, serrant les dents et retenant difficilement des gémissements qui sortaient avec un rythme saccadé. Ses vêtements se trempant dans la sueur de son corps. Il bougeait son bassin de haut en bas afin d'accélérer le rythme de sa main sur son membre pour amplifier le plaisir faisant tordre de luxure son estomac. Il s'appuyait sur ses pieds afin de relever son bassin plus facilement, ses jambes tremblotèrent face à l'effort et à son incapacité à supporter tant de plaisirs charnels qu'il se prodiguait. Subitement, il retient un râle de plaisir lorsque, dans un dernier long va-et-vient. Il relâcha son doigt qui retenait sa semence et il se déversa dans son caleçon en prononçant dans un dernier râle le prénom de Gaspard.


Génial ! soupira-t-il nerveusement et ironiquement.


-🍋


Comment allait-il nettoyé ça, maintenant ? Seulement, ce n'était pas ça qu'il le faisait autant rougir et le faisait trembler. Il l'avait fait en pensant à Gaspard. Et il en ressentait aucune gêne, juste des papillons qui dansaient dans son estomac faisant battre son cœur à la folie et tordre son estomac de plaisir. Une chaleur indescriptible parcourrait son corps entier le faisant sourire timidement et asséchant sa bouche. Ses yeux regardaient, autour de lui, embrouillé par la vague de plaisir qui l'avait enivré durant cette expérience solitaire.


Cela fit couper-cours son repos solitaire et il quitta promptement l'étang pour se diriger rapidement vers le deuxième bâtiment qui surplombait l'établissement utilité pour les cours. Il se dirigea vers sa chambre, prit ses vêtements de rechange, c'est-à-dire une chemise à rayures horizontales grises où d'un côté était d'une couleur jaune et l'autre côté était de couleur noire. Enzo prit un pantalon gris pour se marier avec la chemise.


Ensuite, il prit ses affaires de toilette et se jeta sous la douche. Il baissa la tête pour laisser l'eau chaude tremper son cuir chevelu, laissant l'eau dégouliner de ses tempes et de sa nuque pour qu'elle glisse délicieusement dans la musculature de son dos qui était courbé. Il décontracta ses omoplates dans un excellent mouvement d'exaltation et il soupira d'aise. Il ferma les yeux et les rouvrit après avoir déposé la paume de sa main gauche sur le carrelage murale de la douche. Il regarda l'eau se faire engloutir dans le trou de la cabine vaporisée.


Ce n'était pas la première fois qu'il ressentait ce genre de chose. Ces phénomènes de nervosité, de goût de sécheresse dans sa gorge, sa timidité qui ressortait, sa contrariété, sa jalousie, ses joues qui deviennent plus rosée qu'elles ne l'étaient déjà, ses mains qui devenaient moite et ses jambes qui tremblaient. Ses mains qui partaient vers son membre et qui caressait son corps pour enivrer son corps charnels de plaisir, de séduction et de sensation éphémères. Ses pulsions qui s'accumulaient et qui s'activaient sans sa permission. Ses hormones qui se déclenchaient en ne prononçant que faiblement le prénom de son prof d'histoire. Ses pensées qui ne faisaient que se tourner vers cet homme inaccessible et perturbateur comme s'il était obsédé par sa prestance, son charisme.


Il repensa au toucher de son prof sur son corps qui remontaient à quelques mois maintenant. À la voix suave de celui-ci qui possédait son esprit et ses oreilles de textures éphémères et emballés chaque jour. Son cœur battait le tocsin une fois que Gaspard le regardait ou que lui-même l'observait durant les heures de cours.


Il en était pratiquement sûr maintenant. Son corps était attiré par cet être incontestable. Ses agissements n'en faisaient pas le contraire.


Il éprouvait des sentiments fort pour Gaspard Venderdrake, son prof d'histoire. 

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