Une Vengeance Sucrée

Chapitre 8:Une semaine à Penug(partie 1)

PDV MARY

Cela fait désormais un mois depuis cette soirée et plus d'un mois que je travaille au sein de l'entreprise de Shakir Kattan. Je me suis bien mieux intégrer et ma communication ,avec les autres employés ainsi que directeurs de secteurs, devient plus facile. Je me sens à nouveau vivre chaque jour et encore plus quand j'ai reçu mon salaire, mon premier salaire que je mérite amplement par le travail que j'ai fourni au sein de l'entreprise mais aussi par le travail pour revenir à une vie plus stable et loin de ce que j'étais.

J'entre dans le bureau de Shakir après qu'il m'a demander de venir le rejoindre car il avait quelque chose à me demander.

_Mary : « Tu as besoin de quelque chose Shakir ?

_Shakir:Salut Mary, oui je devais t'informer de quelque chose mais j'avais besoin de ton avis.

_Mary:Quoi donc ?

_Shakir:J'ai reçu une nouvelle fois en appel l'investisseur dont je t'avais parler.

_Mary:Tu parles de Monsieur Pascal ?

_Shakir:Oui comme tu le sais Pascal est un homme d'affaire de trente trois ans, il est plutôt populaire dans le pays et il est installé dans la ville de Penug.

_Mary:Si je peux donner mon avis, nous devrions lui faire confiance car son dossier est solide en plus d'avoir une bonne réputation dans les projets où il investit. Mais ce n'est que mon avis après que j'ai lu le dossier que tu m'avais donner.

_Shakir:Je suis content que tu me donnes ton avis, tu sais c'est très important que tu puisses communiquer avec moi.

_Mary:(elle rougit)Merci.

_Shakir:Si tu penses que nous pouvons lui faire confiance alors je vais le contacter mais il est probable que nous devrions aller au moins une semaine au sein de la ville de Penug pour rencontrer Pascal.

_Mary:Tu veux dire que je dois moi aussi venir ?

_Shakir:Oui c'est dans ton rôle d'assistante de me suivre dans mes voyages.

_Mary:Oui c'est vrai mais préviens moi pour que je prépare une valise.

_Shakir:Ce n'est pas un problème, bon je te laisse l'étude du reste des dossiers et nous avons une réunion avec les autres directeurs dans trois heures.

_Mary:Oui !

Je m'approche de la porte pour sortir mais je suis retenu par Shakir qui tient délicatement mon bras gauche. Je tourne ma tête pour le regarder et j'ai le cœur qui commence à battre à la folie surtout quand je regarde ces yeux gris, plus je les vois plus j'ai l'impression de connaître Shakir mais c'est impossible. Un homme tel que lui même si j'ai souffert dans mon passé, je m'en saurais souvenu parce que il est imposant par son physique mais aussi son aura qui montre clairement que c'est lui le patron surtout lors des réunions ave cles différents directeurs de secteurs.

_Mary:Autre chose ?

_Shakir:Non enfin je voulais juste te dire que tu as de beaux cheveux et que je suis content que tu les laisses lâcher.

Je ne pensais pas qu'il remarquerai ça ,j'ai lâcher mes cheveux car je me sens plus à l'aise et ma mère a insister pour que je ne cache pas le potentiel de ma beauté. Cependant je ne pensais pas que Shakir puisse me donner un compliment et je ne retiens pas mes rougeurs qui parcourent mon visage.

_Mary:Merci. »

Je me libère de sa prise puis je fonce vers mon bureau pour me calmer parce que j'ai vraiment des sensations étranges et je ne suis pas prête encore à atteindre cette étape. La porte de mon bureau s'ouvre et je suis heureuse de voir que ce n'est que Caroline. Je suis totalement conquise par sa personnalité en faite notre amitié se renforce chaque jour même si on parle pas beaucoup de nos vies personnelles, j'ai compris lors de la soirée , où elle m'avaiti nviter, que sa relation avec Nathan tendais à bien plus que de l'amitié. Je me souviendrai toujours de ce jeudi il y a deux semaines où j'étais partie dans son bureau pour lui parler d'un document et que fut ma surprise de la voir au bras de Nathan et les deux en plein embrassade amoureuse. Elle a voulu m'expliquer que c'était pour se remémorer le passé et qu'il y rien entre eux mais je dirais qu'il s'est passé quelque chose et qu'elle ne souhaite pas le dire un peu comme moi.