Je suis Monkey. D. Kuroi, la fille de Garp le héros de la Marine, mon père voulait absolument que je devienne un petit soldat pourtant ça n'a jamais été dans mes plans, la marine n'est pas faite pour moi à mon plus grand malheur, je ne rentre dans a...
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Je survole la mer de Grand Line gardant le Moby Dick en vu, c'est tellement agréable d'étre au dessus des nuages, mes frères en bas ne savent pas ce qu'ils ratent, j'ignore depuis combien de temps je suis la haut mais mes ailes commencent à me faire mal à cause du mouvement alors je redescend sur le bateau que je considère bine évidement comme ma maison. J'ai à peine le temps de reprendre mon apparence humaine que Tach me fonce dessus avec un grand sourire en cirant mon nom. - Je peux savoir ce qui t'arrive ? Il m'attrape par les épaules me secouant dans tous les sens. - Marco !! Ça fait une heure que je t'appelle ! - Tu sais très bien que je ne vous entends pas quand je suis en haut, au lieu de te détruire la voix, tu n'avais qu'à attendre. Je lève les yeux au ciel alors qu'il semble se mettre à bouder, je ne sais pas si je l'ai déjà dit, mais ce bateau n'est jamais calme et j'ai l'impression d'être entouré d'enfants en bas âge, père est d'accord avec moi, mais il nous aime tous comme ses fils et je l'aime comme un père. - Bon, dit moi ce que tu me voulais. Il me lance un regard ennuyé, il semble vexer, mais il l'est toujours donc je suis plus amusé qu'autre chose. - Père veut te montrer quelque chose. Je fronce les sourcils attendant plus d'information, mais mon frère ne semble pas vouloir m'en donner plus. Je lui donne une tape derrière la tête partant directement pour le bureau de père qui se trouve juste à côté du pont. Après quelques mètres, je frappe à la porte du bureau de père qui me dit d'entrer de sa voix puissante. Je pousse la porte alors que père tient un journal dans ses mains ainsi qu'un avis de recherche. - Vous voulez me voir père ? - Vient Marco, je voulais te montrer quelque chose. Tu te souviens de Monkey. D. Kuroi ? Ça fait longtemps que nous n'avons pas parlé d'elle. Plusieurs mois, je n'ai pas l'occasion de regarder le journal avec tout ce qui me tombe dessus, le calcule des trajectoires, la stratégie, la navigation, les courants sur Grand Line, les trajectoires des bateaux de la Marine et des tas d'autres choses. Lorsque j'ai du temps libre, je préfère le passer au-dessus des nuages plutôt que le nez dans des journaux. - Bien évidemment que je me souviens de Kuroi. - Elle fait la une des journaux depuis une semaine. Quoi ? Kuroi ? Je me précipite vers Pere qui me tend le journal où je reconnais directement le visage de Kuroi qui a une expression fermée, une main poser sur son sabre. Une chose me chagrine plus que je ne l'aurais pensé. - Elle a changé de couleur de cheveux ? - Il faut croire, nous ne sommes pas avec elle au quotidien et nous ignorons ce qui la conduit à tout ça. Je lis le titre étonné de voir qu'elle a attaqué Marie Geoise, je ne pensais pas que Kuroi était intéressé par la terre sainte, je sais que de nombreuses choses mauvaises se passent là-bas, des choses horribles. - Kuroi. J'observe son visage raffiner qui me manque énormément, je meurs d'envie de la revoir et de l'embrasser langoureusement. Roger est à présent dans le nouveau monde et je suis loin de Kuroi, tellement loin d'elle. J'aurais aimé rester à ses côtés, mais je ne peux pas quitter père, même pour elle. - Il faut croire que le monde s'intéresse à elle. - Elle est tellement belle sur cette photo. Il rigole de bon coeur comme a son habitude me laissant observer le visage de cette femme, je sais que je l'aime, je peut l'avouer parce que je sais ce que je ressens et je connais mes sentiments, pendant les mois qui sont passer depuis que je l'ai embrasser devant ce coucher de soleil, j'ai essayer de ne plus penser a cette femme que je ne pouvais pas avoir près de moi, j'ai eu des expériences avec d'autres femmes, beaucoup de femmes mais aucune n'a réussi a me faire ressentir ce que j'ai ressentit avec Kuroi, elle ne le sais pas du tout mais la simple vue de son corps s'approchant du mien suffisait à me faire bander. Ses yeux noirs qui me fixent, sa main qui caresse mes abdos ou encore ses lèvres sur les miennes sont un stimulant énorme. Mes expériences avec d'autres femmes m'ont montré que ce que je ressens pour Kuroi n'est pas que sexuel étant donné que j'ai couché avec les autres femmes. Je suis fou amoureux de Kuroi, elle me manque, j'attends avec impatience le moment où elle apparaîtra devant moi et que je pourrais la toucher, la contempler. - Cette attirance ne semble pas s'être effacée avec les mois Gurarararara Je ricane détachant finalement mes yeux de cette femme couverte de sang pour regarder père. - Non, au contraire, au lieu de disparaître, elle s'est renforcée yoi. J'ai tellement hâte de la revoir, de pouvoir l'embrasser et lui montrer ce qui se passe au-dessus des nuages, lui partager mon jardin secret.
