Je suis Monkey. D. Kuroi, la fille de Garp le héros de la Marine, mon père voulait absolument que je devienne un petit soldat pourtant ça n'a jamais été dans mes plans, la marine n'est pas faite pour moi à mon plus grand malheur, je ne rentre dans a...
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- Vous allez devoir récupérer le dernier Road Ponéglyphe. Je reste bouche bée pendant quelques secondes avant que l'information ne monte finalement à mon cerveau. - C'est une blague ? Roger, tu nous donnes le sale boulot, ce n'est pas drôle. Ce ponéglyphe n'a jamais été retrouvé. Personne ne sait où il peut être. C'est une mission impossible. En plus de ça, tu veux t'attaquer au dernier Road Ponéglyphe alors que tu n'as pas encore celui de Wano Kuni où même celui de Zo ? Moi, j'appelle ça brûler les étapes. Ils semblent tout étonnés, je pense savoir pourquoi, pour deux raisons. - Je ne savais pas que tu pouvais parler autant ! Voilà la première : - Tu en connais un rayon sur l'emplacement des roads ponéglyphe, tu es au courant pour Wano Kuni alors que c'est une terre où tu n'es jamais allé à moins que tu ne nous aies pas dites. Et voilà la deuxième. - Non, je n'ai jamais été à Wano, mais ce lieu m'intéresse. Les Ponéglyphes, ils racontent l'histoire du siècle oublié, mais ils indiquent également l'emplacement des armes antiques. C'est d'ailleurs ça qui m'intéresse le plus, mais les Ponéglyphes peuvent donner la position de la réelle dernière île de Grand Line. Sans oublier le fait que tout ça a été écrit il y a des centaines d'années par un membre du clan Kosuki. C'est quand même mystérieux, mais plus particulièrement pourquoi le gouvernement mondial refuse à ce point que l'on connaît l'histoire ? Je croise les jambes en passant ma main dans mes cheveux oubliant complètement la présence ce Shanks. - C'est vrai pensé y, dans l'histoire il y a un siècle qui a totalement disparu. Personne ne sait ce qui s'est passé pendant 100 ans, c'est très long 100 ans. Comme par magie à la fin du siècle apparaissent des blocs indestructibles avec des écritures étranges dessus. Et cette écriture est en fait une langue ou plutôt une écriture qui se transmet exclusivement dans le clan Kosuki de descendants en descendant, mais il y a quand même certaines personnes qui tentent des étudiez et regarder ce qui se passe quand le gouvernement mondial l'apprend, le buster call à Ohara. Ils ont tué tous les scientifiques parce qu'ils cherchaient à comprendre ce que sont ces bloque et peut-être qu'ils ont trouvé quelque chose, un indice ou même une réponse. C'est peut-être pour cette raison que cette île a été détruite. Ça m'intéresse, j'ai l'impression que Wano Kuni est une pièce importante du puzzle, étant donné que le clan Kosuki est certainement le créateur des ponéglyphes durant ce siècle. Je tiens à m'y rendre même si avec vous, on ne restera pas très longtemps. J'y retournerai plus tard à un moment où a un autre. - Tu es effectivement très bien informé. Comment en seulement quelques années la mignonne petite fille qui portait son sabre dans son dos est devenue une femme forte, cultivée et pleine de courage. - Les gens changent et les enfants grandissent. Accepte le Roger. Il fait un grand sourire avant de s'avancer vers Shanks et moi et de nous prendre dans ses bras. Mon rythme cardiaque s'accélère alors que Roger nous tient dans ses bras. - Vous avez grandi trop vite à mon goût. Un léger sourire se dessine sur mon visage. Il est mignon quand il veut notre capitaine ! - Je suis contente d'être à vous cap- - CAPITAINE ! Tout le monde se tourne vers le pirate qui vient d'entrée en hurlant dans la cabine. - Qu'est-ce qui se passe ? - La marine ! Ils nous attaquent ! C'est le vice-amiral Garp ! Mon corps se statufie à l'entente du nom de mon père, ma respiration ne peut pas s'empêcher d'accélérer en même temps que mon BPM. Garp ? Mon père ? Ce traître qui m'a abandonné aux mains de Sakasuki. Il est là. Je baisse les yeux en posant ma main sur ma poitrine touchant la cicatrice sur mon sein gauche. Mes yeux se lèvent vers la gauche alors que je croise le regard de Shanks qui me fixait. - Oh ! Ça faisait longtemps qu'on ne s'était pas affronté lui et moi ! Tout le monde sur le pont ! Je me relève avec les jambes qui flagellent légèrement, Roger et Rayleigh font déjà partie nous laissant seuls avec le roux. Je prends une grande inspiration et m'approche de la porte quand une main m'attrape le poignet avant de me tirer vers le couloir. J'ai à peine le temps de remarquer les beaux cheveux rouges de Shanks qu'il m'emmène dans sa cabine sans me laisser en placer une. - Mais ?! Où tu m'emmènes ?! Shanks ! Il ne me lance même pas un regard et continue de marcher. Il ouvre la porte d'un coup de main rapide avant d'entrée dans la chambre toujours en me tenant le poignet. - Je te parle Shanks. Il ferme la porte derrière nous avant de finalement me lâcher le poignet. Ses yeux se plantent dans les miens. - Ne va pas te battre. Je fronce les sourcils reculant d'un pas. - Et pourquoi ça ? - N'y va pas, c'est tout. - Tu ne crois quand même pas que tu as une explication à me donner ? Parce que là, tu es juste ridicule. Il m'attrape les deux épaules et me plaque contre le mur à côté de nous, je reste bloquée devant son regard. Ses yeux de bête sauvage, j'ai cette impression qu'il pourrait me dévorer si je bouge un peu trop. Mon cœur bat très fort alors que son aura me brûle la peau. Mes mains tremblent et j'ai une sueur froide qui coule le long de ma colonne vertébrale alors que ses mains serrent davantage mes épaules. - Je n'ai pas à me justifier auprès de toi, je ne veux pas que tu ailles te battre, c'est tout. À cet instant précis, je ressens une attraction brûlante. Cette sensation me donne l'impression que je pourrais tous lui donner peu importe ce qu'il me demandait. Demande-moi de m'excuser, de t'aimer, de t'embrasser peu importe ce que tu me demandes, je te le donnerais. Il ne me fait pas peur, il m'intimide et je n'aime pas ça. Je prends une grande inspiration cachant au fond de mon cœur ces pensées que je viens d'avoir. - Je fais ce que je veux le roux, tu n'as pas à me dire ce que je dois faire si tu n'as pas d'argument. Tu as du mal à comprendre que je ne compte pas d'obéir à cette espèce d'enflure. Sa main gauche me choppe à la gorge appuyant ma tête contre le mur, son visage près du mien me donne un frisson. Il ne me serre pas fort, mais me tient pour que je reste coller au mur. - Ne m'insulte pas. Je suis très sérieux, tu m'entends. - Et qu'est-ce que tu comptes faire ? Tu comptes me tuer. Tu as déjà essayé plusieurs fois. Tu te dégonfles à chaque fois. Il serre mon cou et colle son corps contre le mien pour m'immobiliser le contact de son corps me donne un frisson, ses yeux me brûlent la peau. Je constate qu'il est en train de perdre le contrôle et que son regard s'assombrit de second à second.
