WHY ME...

Chapitre 76

Pour se soir, nous avons décidé d'aller au restaurent avec nos parents. Tom a proposé un restaurent assez chic en plein centre de Londres.

Sur le parking, quelques voitures sont déjà là. La Devanture éclairé du restaurent est impressionnante et je ne veux même pas imaginer le prix de l'eau.

- Ce soir, je t'invite, il dit comme si il avait lu dans mes pensées.

- Non, dans tes rêves.

- Justement. C'est un rêve de vivre avec toi et de t'emmener au restaurent. Et puis comme c'est notre premier restaurent en tant que couple officiel , c'est encore plus une raison pour que je t'invite.

Je rougis. Je n'en reviens pas que la photo où j'embrasse Tom dans la galerie commerçante soit sur tous les réseaux. Les fans et les journalistes parlent beaucoup sur nous et inventent des tonnes de théories hallucinantes sur la formation de notre couple. Au début, cela me mettait mal à l'aise, puis Tom m'a appris à en rire.

Je ne vous cache pas que sortir se soir avec lui en public me stresse un peu. Maintenant que la planète entière est au courant, c'est sur qu'il va y avoir encore plus de photos et de ragots. Tom a beaucoup du insister pour que nous sortions se soir. Je lui avais dis que j'aurais au moins aimé que les choses se calment un peu mais il m'a affirmé que ça se calmerait plus vite si nous normalisions notre relation mais sans pour autant mettre notre vie privée sur tous les réseaux.

Tom attrape ma main qui était posée sur ma cuisse et l'embrasse.

- Au début c'est sur ça va être bizarre mais tout va bien se passer. Je te le promet. Et puis si tu ne supportes pas la pression, jure-moi que tu me le diras et j'arrêterais tous.

- Qu'est-ce que tu entends par arrêter tout ? Nous ? Notre couple ?

- Quoi ! Mais bien sûr que non. Je n'arrêterais jamais notre couple à cause de ses connards de paparazzis. J'arrêterais juste de faire du remues ménage en sortant publiquement avec toi si c'est se que tu veux.

- Mais je veux pourvoir sortir avec toi en public. C'est juste que ... je ne sais pas ... Tu as bien vu sur le tournage de Cherry ? Les gens m'ont tout de suite jugé et insulté alors que nous ne sortions même pas ensemble. Je n'ai pas envie que ça recommence parce que je ne sais pas si j'arriverais à le supporter, je termine avec une petite voix.

Tom tire sur mon bras pour que je m'assoie sur ses genoux. Je le regarde droit dans les yeux. J'avance mes lèvres vers son visage et il tend sa bouche vers mes lèvres pour y déposer un petit baiser.

- Tu sais que tu es parfaite ?

- Et toi ? Tu sais que tu es mieux parfait ?

Il pouffe légèrement de rire.

- Je ne veux pas que tu croies se qui se dira Alex. Tu es tout se qu'il me faut. Je ne veux en aucun cas que tu changes parce que c'est comme ça que je t'aime. D'accord ?

J'agite timidement la tête.

- Maintenant donne-moi ton téléphone.

- Pourquoi ? je demande en fronçant les sourcils.

- Ne pose pas de question et fais-moi confiance.

Je sors mon téléphone de mon sac et je lui donne. Je le regarde le déverrouiller et se rendre sur Instagram. Il va dans les paramètres et je le regarde faire, toujours confuse. Et sans que je ne le vois venir, il désinstalle l'application.

- Mais tu es fou ! je m'exclame en lui reprenant le téléphone.

- De toi ? Oui.

- Mais comment je vais faire moi maintenant pour voir se que les gens disent imbécile ?

- Je ne veux pas que tu les voient Alex. Tu te ferais du mal pour rien. Et te voir pleurer à cause de choses faussent est la pire chose du monde que je refuse de voir. Ça me déchirerait le coeur. J'aime tellement quand tu souris, quand tu rigoles ... quand tu rougis , il termine en replaçant une mèches de mes cheveux .

Je sens que la chaleur me monte aux joues.

Soudain, une ombres apparaît au carreau de la voiture et un toquement retentit à la vitre. En croyant que c'est un photographe, je saute des genoux de Tom qui laisse échapper un gémissement pour retrouver ma place sur mon siège mais un éclat de rire retentit à l'extérieur.

- C'est Vic ! Désolé de vous interrompre dans votre moment surtout que, on va pas se le cacher, la voiture c'est pas hyper discret et pas très confortable non plus.

- Connard ! Tu m'as foutu la frousse, je crie de l'intérieur .

- Et en plus elle m'a pété les bijoux de famille en sursautant avec son genoux, déclare difficilement Tom.

Victor rit encore plus alors que je me penche vers Tom .

- Excuse-moi. Je suis désolée mais j'ai vraiment eu peur.

- C'est pas grave. Il a juste gâché notre moment hyper romantique, dit-il en insistant sur le dernier mot à l'égard de Victor.

- Ça va ! Vous en aurez d'autre. Dépêchez-vous, on rentre à l'intérieur, on se les cailles en Angleterre.

- On arrive, indique Tom. Une minute.

Victor s'en va et Tom se tourne une nouvelle fois vers moi.

- Prête mon chou ?

- Je crois bien que je n'ai pas le choix, je lui souris.

- Ça va être super. Tu vas voir.

En sortant de la voiture, je commence à m'avancer vers le restaurent, Tom s'empresse de venir vers moi et de passer son bars autour de mes épaules pour me serrer contre lui. Je vois nos familles au loin, qui attendent dans le grand hall éclairé.

- N'en fais pas trop non plus, je dis pour le charrié.

- Je ne veux pas que tu attrapes fois alors je te réchauffe avec la chaleur de mon corps.

- Je n'ai pas froid Tom.

- Moi j'ai froid. D'ailleurs, il ajoute malicieusement, tu es magnifiquement sexy dans cette jolie petite robe noire. Mais je crois que je la préfèrerais par terre au pieds de mon lit.

Je lui donne une tape sur le torse.

- Arrête ! Je pouffe de rire. On pourrait nous entendre.

- Je m'en fiche .

Il lâche mes épaules et commence à sautiller devant moi en agitant ses bras .

- Alex Davies est ma petite amie et je l'aime plus que tout ! il crie à tue tête sur le parking .

Il continue de sautiller comme un enfant devant moi et je ne tarde pas trop à le suivre.

- Et moi je suis follement amoureuse cet idiot de Tom Holland ! je cris sans me poser de question.

Tom s'arrête net et m'attire dans ses bras.

- Je suis totalement fou de toi. Si tu ne m'avais jamais pardonné Alex, je ne sais pas se que je serais devenu.

Je suis attendris par ses paroles. Je ne sais pas non plus se que je serais devenue si je ne lui avais pas pardonner. Je ne préfère même pas imaginer. Je pense que j'aurais sombré.

- Ne remuons pas le passé et allons passer un bon moment avec nos famille.

Je le tire par la main et nous courrons comme deux jeunes ados amoureux vers le restaurent .