Vivre malgré tout

Chapitre 80 : Soutien inconditionnel !

Moi : Je t’aime papa lui dis-je toujours dans ses bras.

Mon père : Moi aussi je t’aime, soit tranquille maintenant, tu peux vivre ta relation pleinement sans avoir peur de ma réaction.

Moi : Maintenant oui je suis tranquille, dis-je en m’asseyant à ma place.

Mon père : Tu as autre chose a m’annoncer.

Je réfléchis je ne sais pas si je dois lui parler de l’appartement ou pas, mais vue que je suis là, autant lui en parler.

Moi : Ouii !

Mon père : C’est quoi ?

Moi : Jess et moi on n’a prévu de vivre ensemble.

Mon père : Oh, je pensais que tu voulais vivre ici avec nous et ton bébé.

Moi : Oui c’est ce qui était prévu mais il y a Jess maintenant et je ne peux pas la mettre à l’écart, elle prend son rôle très au sérieux et elle veut vraiment qu’on ait notre propre chez nous et moi aussi.

Mon père : D’accord je comprends mais comment vous aller faire comment louer un appartement ou une maison

Moi : Non Jess a son propre appartement ?

Mon père : Comment ça, je pensais qu’elle vivait avec sa mère.

Moi : Oui c’est le cas, elle vie avec sa même. Elle-même ne savait pas qu’elle avait un appartement à son nom, elle ne la sut que récemment. C’est sa mère qui lui a dit, son père avant de mourir le lui a acheté.

Mon père : Ah d’accord je comprends et vous voulais aller vivre ensemble dans cet appart ?

Moi : Ouii c’est ça !

Mon père : Si c’est ce que tu veux moi ça ne me pose pas de problème, maintenant faut voir avec ta mère, tu vas avoir un bébé je ne pense pas qu’elle voudra que tu ailles vivre loin d’elle.

Moi : On va en parler ensemble tout à l’heure, mais est-ce que j’ai ton soutien ?

Mon père : Oui tu as mon soutien inconditionnel.

Moi : Merci papa.

Mon père : Je t’en prie ! Votre aménagement ensemble est prévu pour quand ?

Moi : On n’a pas encore décidé, mais on ira visiter l’appartement demain.

Mon père : D’accord pas de soucis !

Moi : Merci encore papa

Mon père : C’est normal, je suis très content que tu sois venu parler avec moi.

Moi : Je le suis aussi c’est un très grand soulagement pour moi.

Mon père : Je m’en doute bien, bon on va rejoindre les autres.

Moi : Oui.

Mon père se lève et m’aide à me lever puis on se dirige dans la maison.

Mon père : Je pense qu’une discussion avec Jess s’impose.

Moi : Papa ce n’est pas la peine, tu sais.

Mon père : On va juste discuter

Je le regarde et il me sourit.

Moi : D’accord mais ne la fais pas fuir.