En cette nuit d'inquiétude, les esprits ne peuvent s'apaiser, les nerfs se calmer, les questions fuser. Le temps s'écouler beaucoup trop lentement pour eux, comme si une personne retenait le sable du temps. Le jeune amoureux donc les sanglots restent coincer dans sa gorge ne cesse de prier, « S'il vous plaît ne me l'enlever pas, s'il te plaît reste avec moi, je t'aime... ». En cette nuit toutes les prières de cette famille fur exaucer, une dernière et unique chance a était donner à cette jeune fille, Abigaïl Castelle, mais à quel prix ?
Une infirmière remontée du bloc opératoire sous l'ordre du docteur se met en marche pour prévenir la famille, ses pas raisonnent dans le couloir éclairé et vide de l'hôpital en cette heure tardive. Arriver devant la dit famille, elle demande :
-Monsieur Castelle ? Ses yeux balayent les visages fatiguaient et inquiets qui venaient de se levais à l'entente de la question.
Les deux Castelle se lèvent comme un seul homme.
- Oui ? Ils dirent d'une seule voix.
- Vous allez pouvoir la voir, veiller, me suivre. Leur dit-elle en fessant un mouvement du bras comme pour leur ouvrirent le chemin.
Les autres membres de la famille se lèvent instinctivement à ces mots sauf le jeune amoureux qui lui ne bouge pas, il reste recroqueviller dans le coin.
L'infirmière interloquée que tout ce monde la suive reprend :
- Je veux dire la famille, la famille proche. Précise-t-elle.
- On est tous frères. Lui répond le plus grand des frères de la jeune fille.
L'infirmière très suspicieuse les regards encore une fois tous un par un.
- L'adoption, vous ne connaissez pas ? Lui répond hargneusement un jeune homme à l'éternelle casquette.
Elle finit par souffler bruyamment puis obtempère et hoche la tête et commence à avancer dans le couloir. Voyant que l'amoureux ne suivait pas le groupe celui a la casquette s'arrête.
- Frère qu'est-ce que tu fais ? Viens. Lui dit-il en s'approchant.
L'amoureux secoue la tête en signe de non.
- Frère... Commence son ami.
- C'est bon. Lui répond l'autre.
A son tour il souffle sachant que son ami ne le suivra pas, il hoche simplement la tête puis rejoint le groupe.
