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¤ Ce soir, je vais prendre de la drogue pour ne plus pensais a toi ¤
Flash-back : Dimanche 22 janvier 18h05,
« - Bébé... ? M'appelle Moh avec une moue enfantine.
- Moh... ?
- Câlin... Il me dit en ouvrant ses bras pour me serais contre lui.
J'accours dans ses bras chauds et protecteurs. Ses bras se referment contre mon corps, me serrant fortement contre lui.
Sa tête vient se nicher dans mon coup. Nous restons un moment dans cette position.
- Mon amour... Murmure Moh toujours la tête dans mon coup.
- Les gars vont arriver... Je lui dis doucement.
- Mais non, ne t'inquiète pas. On a encore le studio pour nous seuls pour encore un moment. Il me dit sûr de lui en sortant sa tête de mon coup.
Il se colle un peu plus à moi, et il commence à doucement me pousser contre le mur derrière moi. Tout en m'embrassant la mâchoire puis descend jusqu'à mon coup le parsèment de baiser brûlant.
Je ferme les yeux et entre ouvrer ma bouche pour laisser échapper quelque gémissement.
Il finit par se reculer légèrement. J'ouvre lentement les yeux, il me regarde les yeux remplis de tendresse, il n'y a que dans son regard que je me sens aimer.
- Je t'aime. Je lui murmure.
- Je t'aime, je t'aime, je t'aime... Je lui répète.
Ses lèvres se plaquent violemment sur les miennes. Il m'embrasse amoureusement.
Nous nous arrêtons de nous embraser en entendant une personne rentrer dans la pièce.
Deen vient d'entrer dans le salon les yeux noirs de colère. Il nous a surpris.
Il se dirige vers nous et attrape brutalement Moh par le col de sa veste et le plaque violemment contre le mur juste en face.
- De quel droit tu te permets de toucher à ma sœur fils de pute ! Il hurle.
Je ne réagis pas tout de suite, ne comprenant pas ce qui se passe. Moh se laisse faire ne comprenant pas non plus ce qu'il se passe.
Deen commence à être plus violent, il lui donne des coups de poing.
- Putain ! Mais Mickaël lâche le ! Je lui hurle en réagissant enfin.
Moh se reprend et il commence aussi à donner des coups. Le spectacle qui se joue devant mes yeux est horrible l'homme que j'aime le plus au monde et mon grand frère se batte.
Je me précipite vers eux, pour tenter de les séparer.
- Stop ! Arrêter ! Je hurle, mais rien n'y fait, ils continuent d'enchaîner les coups.
