Chapitre 41 :

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¤ J'ai vu de ton corps sans vie ton âme s'échapper ¤ ©

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¤ J'ai vu de ton corps sans vie ton âme s'échapper ¤ ©

Point de vue omniscient :
Samedi 28 janvier
1h40,

Le bonheur comme la vie ne tiens qu'a un fil. Tout le monde le sait, du moins tout le monde devrais le savoir. Un fil tendu à son maximum qui peut se rompre à tout moment. Cela survient à n'importe quel moment, le matin, l'après-midi, le soir, la nuit. Cela peut venir de n'importe où, tout les jours, chaque heure, chaque minute des fils se rompent, tous les jours des vies sont brisés. Vous en ferez tous le fraie un jour au moins une fois dans votre vie, de ce fil qui se rompt, les débris vous tombe dessus comme des gouttes de pluies sur vos têtes. Cela vous met à terre, vous prend au cœur, vous détruit petit à petit, parfois vous êtes assez fort pour vous relever et d'autre fois ça vous tue lentement. Je suis désolé pour vous si cela vous arrive ou vous ai déjà arrivé. Je n'y peux rien, je ne suis que narrateur omniscient, mais croyiez moi, je sais de quoi je parle. Ce soir, encore un fil vient de rompre des débris sont en pleine chute libre, l'atterrissage va être terrible.

Les murs du vielle immeuble miteux tremblé sous les vibrations de la musique assourdissante qui s'échapper du troisième appartement du 2e étage. Aucun des habitants du petit immeuble ne parvenait à trouver le sommeil avec tout ce raffut. Plusieurs appellent fut passé tout au long de la nuit par des voisins mécontents au petit commissariat de police du 20e arrondissement, malgré tous aucune patrouille ne fut envoyée à l'adresse donnée.

Une voisine du 3e étage plus qu'agacée que rien ne cesse, enfila sa robe de chambre à la hâte pour se rendre 1 étage en dessous. La femme marmonnée dans sa barbe en colère de devoir se déplacer elle-même. Ses chaussons aux pieds, elle claqua la porte de son appartement violemment. Ses clés dans la main, elle dévala les escaliers, sa course fut stoppée net, une jeune fille inconsciente gisait sur le sol froid et sal du couloir.

La jeune fille quelques minutes avant n'était qu'inconsciente, elle murmurer le surnom de son amour inlassablement, maintenant ses murmurer ne s'entende plus, les battements de son cœur ne fut plus.

La femme se précipita vers elle, quand elle fut à genoux devant ce corps inerte elle paniqua et perdit tous ses moyens, ne sachant pas quoi faire d'autre elle se mit à crier à l'aide. Ses cris furent tels qu'on put l'entendre à travers les bourdonnements de la musique. Très vite, plusieurs personnes alertées allèrent l'aider.

Les pompiers et le SAMU furent appelés, puis vite dépêcher sur les lieux de l'incident, la musique ne tambouriner plus, les curieux interpeller par les cris sortir de leur appartement voulant savoir ce qu'il se passer.

Les pompiers entourés la jeune fille, un d'eux lui demanda si elle l'entendait, de lui serrer la main. La jeune fille ne bougea pas un cil, aucune once de vie émané de son corps. Le verdict tomba : « Arrêt cardio respiratoire ». Les secours s'activèrent autour d'elle. Son t-shirt fut découpé, rapidement les électrodes du défibrillateur furent placer sur sa poitrine. Le choc électrique secoua violemment son corps frêle. Un autre des secouristes commença le massage cardiaque « 1, 2, 3, 4... 30 ». Un murmure inaudible lui fut adressé : « Aller ma petite accroche toi ! ».

Le passé ne s'efface pasWhere stories live. Discover now