Chapitre 24 :

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¤ My brother will never come back ¤

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¤ My brother will never come back ¤

Son est doigt toujours sur ma bouche, j'ouvre la bouche et lui mord jusqu'au sang. Il cri.

- Sale pute ! Cri-t-il.

Il me secoue, puis il lâche mes cheveux et me jette parterre. Sur ma cheville.

Un cri strident sort de ma bouche.

- Tu vas le regretter. Me dit-il froidement les dents serrées.

Son doigt est en sang, je ne suis pas allé de main morte. Il prend un mouchoir dans sa poche pour s'essuyer.

- Je te jure que tu vas le regretter. Me dit-il durement.

Il commence à s'approcher de moi, a grande enjamber. Toujours parterre, j'essaye de recul à l'aide mes bras.

À cet instant son téléphone ce mes à sonner. Il souffle bruyamment.

- T'as pas intérêt à bouger. Me dit-il, puis il répond à son appel en s'éloignant un peu.

Mon cerveau se remet à fonctionner peu à peu. Je vois son corps s'éloigner et sa voix qui hurle sur son interlocuteur.

J'ai envoyé à Moh un message tout à l'heure lui disant de m'aider. A-t-il compris ? Peut-être qu'il n'a pas bien compris ma démarche, je ne sais pas, mais j'espère qu'il a compris et qu'il est en chemin pour venir me sortir de là.

Mais il ne sait même pas où je me trouve et je ne peux même pas l'appeler vu qu'en voulant le remettre dans ma poche, je l'ai fait tomber.

Je suis stupide, je ne lui ai pas dit ce qu'il se passer.

- Quelle conne ! Crachais-je dans un murmure en me frappant le front.

- Ah ! Je gémis de douleur.

Je sens un liquide visqueux couler sur ma main. Je regarde ma main et vois du sang, je saigne de l'arcade et ma lèvre me brûle. Je porte ma main à ma bouche et je vois que je saigne.

Il faut que je me sorte de là.

Une idée me vient à l'esprit. Je regarde autour de moi, je reconnais l'endroit, c'est le parc à coter du stade de football, là où j'étais il y a quelques heures avec la bande.

Le stade est à 30 minutes à pied de la salle de concert. J'ai couru aussi longtemps ? Aussi loin ?

Il faut que je me lève et que je retourne à la salle de concert pour être le plus loin de lui.

J'essaye de me relever, mais une douleur atroce provenant de ma cheville, me stoppe dans mon élan.

« Lève-toi et cours. », « La douleur, c'est dans la tête, elle n'est pas réelle, lève-toi et cours. »

Le passé ne s'efface pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant