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¤ Tu existes trop ¤
Ma mère me racontait tous les soirs une histoire, souvent, je lui réclamais toujours la même :
« La légende du soleil et de la lune »
Une légende raconte que le soleil et la lune étaient amoureux, mais cet amour était impossible parce que la lune mourrait chaque matin quand le soleil lui se levait. Le soleil mourrait quant à lui chaque soir pour voir sa bien-aimée resplendir dans la nuit de la galaxie. Alors un jour les dieux dans leur infini bonté, créèrent l'éclipse pour que les deux amants se retrouvent, mais aussi pour prouver qu'il n'existait aucun amour impossible à travers le monde.
Cette histoire était courte, mais elle me permettait de rêver, d'imaginer le jour où je trouverais, moi aussi, mon soleil, qui vendrait, éclairait mes nuits. Maintenant, quand j'y repense, ça me fait bien rire. Les enfants ont la capacité de croire à tous les contes de fées. Ils croient tout ce que leur racontent les aînés. On est vraiment naïf quand nous sommes enfants.
J'ai connu cet amour de jeunesse qui nous tombe dessus quand on s'y attend le moins, qui nous rends fragiles, nous consumons de l'intérieur. C'est le tout début, le commencement, l'amour est à son apogée tous se passent merveilleusement bien, on nage dans le bonheur. Puis la jalousie finit par s'installer. Les cris qui fussent après une dispute, puis viennes, les larmes et ensuite, viens l'heure de la réconciliation, tout redémarre très vite, le bonheur est de retour. Une erreur finit par être commise, tout dégringole, la chute libre. On n'y croit pas, cela ne peut pas être vrai. Les cris retentissent encore, les larmes viennent encore se loger aux coins des yeux, les sanglots dans la voix, la porte qui claque et qui se ferme définitivement. On aimerait pardonner la personne mais, ce n'est pas possible, on n'y arrive pas, pas après ce qui vient de nous envoyer en pleine face. Le cœur déchiré en mille pièces, on finit par se détester soi-même.
J'ai eu enfant cette stupide idée de croire en l'amour.
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Samedi 15 octobre Paris 18h20,
Deen et moi sommes actuellement à l'appartement des deux frères : Mekra et Framal, ils avaient invité les gars du crew pour une soirée FIFA, c'était au tour de Deen et Mekra de jouer. Doums venaient juste de gagner 3 - 2 contre Nek qui ne cacher pas son mécontentement. Les gars criés contre Deen qui ne jouer pas assez bien pour a leurs goûts.
La chaleur m'oppresser et les cris me donner mal à la tête, je décide de sortir sur le balcon prendre l'air.
Je m'accoude à la rambarde, l'air frais me chatouille le visage.
La vue qui s'offre à moi du haut du balcon est magnifique, on peut y voir toutes les lumières qui éclairent Paris, la nuit. J'ai toujours aimé Paris, cette capitale m'a toujours fascinée de bien des façons.
Mes yeux se perdent rapidement dans le vide.
Les souvenirs du temps où tout aller bien, refont surface. Ma vie d'avant me manque terriblement. Parfois, j'aimerais retourner en arrière, pour ne pas commettre les mêmes erreurs, effacer toutes les conneries que j'ai pu faire.
Le bruit de la porte-fenêtre qui s'ouvre et qui se ferme me coupe dans ma réflexion.
Je me retourne et vois Moh.
- Tu fais quoi dehors toute seule ? Me demande-t-il, en s'adossant contre le mur.
- Il fait trop chaud à l'intérieur. Lui répondis-je.
- Hum... Me dit-il peut convaincu.
Nous regardons tous les deux la vue que nous offre le balcon des frères. Je finis par détourner mon regard de la vue pour le pose sur Mo, qui lui regardait toujours la vue. Je le détaille de la tête aux pieds, il porte un hoodie noir Candy Cotton et un jean de la même couleur avec des aires max 95 blanches.
Je ne peux m'empêcher de penser « qu'il est terriblement beau. »
Mon regard devait être trop insistant puisqu'il a tourné son regard pour le porter sur moi.
Il me sourit, je lui souris en retour et détourne mon regard gêné qu'il ait remarqué que je l'observer.
- Bon vient, on rentre, il commence à faire froid. Me dit-il.
- Ouais, j'te suis. Je réponds en hochant la tête.
Nous rentrons donc tous les deux dans l'appartement. Les gars sont toujours entrains de jouer.
Moh s'assoit sur l'un des canapés, il n'y a plus de place. Il le remarque et me fait signe pour que je m'assoie sur ses genoux.
- Les gars ! C'est à mon tour de jouer après Haks. Dit Hugz
La soirée se continue jusqu'à tard dans la nuit. J'ai fini par jouer une partie et j'ai gagné 2 - 1 contre Sneaz.
Deen à bu et Hakim n'a pas voulu que l'on rentre en voiture, nous sommes donc restés chez les frères.
" Nu, sous un nuage noir Les seules vraies réponses sont les questions " Risibles amours - Nekfeu
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Bisous bisous mes pissaladières
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Vous avez vu comment il est trop chou le petit Moh 😍😍
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