CHAPITRE 43: Mon dernier Combat

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  (Point de vue Aurélia)Nous arrivons en Allemangne

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  (Point de vue Aurélia)

Nous arrivons en Allemangne. Nous sortons du fourgons, je crois que j'allais nous le casser le Petain, il n'a pas arrêter de se plaindre de tout le trajet... Bref il nous conduit dans notre céllule. Pitier pas avec le Générale... Ouf nous ne sommes pas dans la même céllule... Mais une petite minute... Vince ? Qu'est-ce qu'il fait ici ? Je me précipite dans ces bras.

MOI : Vincent ! Mais qu'est-ce que tu fais ici ? Pourquoi tu n'est pas rentré avec David ?
VINCENT : Il y a eu un légé problème. Le Furreur se doutait qu'il y avait un espion prés de lui alors il commença a beuguer puis mis en place une stratégie... Et je suis tombé dans le panneau, c'est là qu'il a su que j'étais le traitre.
MOI : Mais ça veu dire que tu es...
VINCENT : Condamné à mort ? Oui... Mais l'avantage c'est que je n'aurais plus à manger leur trucs avartiés infects !
MOI : Comment tu peux plaisanté dans un moment comme celui-ci ?
VINCENT : Je ne veux pas me morfondre tout simplement ! En plus ça ne changerait rien du tout à la situation. Au fait quel jour on est ?
MOI : Euh... Le 7 je crois. Oui le 7 septembre pourquoi ?
VINCENT : Oh pour rien.

Il se met à ricanner...

MOI : Quoi ?
VINCENT : Non je trouve ça ironique en fait.
MOI : Pardonne moi l'ami mais je ne te suis pas...
VINCENT : Je suis condamné le jour de mon anniversaire... ironique non ?
MOI : Je ne vois toujours pas le rapport...
VINCENT : Mon anniversaire c'est aujourd'hui... Et je n'ai même pas vu le temps passer...
MOI : C'est aujourd'hui ? Et moi qui n'ai pas apporté de cadeau... je suis désolé.

On se met tous les deux à éclater de rire.

POINT DE VUE KEVIN

Nous sommes déjà le 7 septembre... Ca va faire un mois que ma femme est partie... Il doit être 1H du matin, je regarde l'horloge tourné puis repense a son rire, sa bouche, ses yeux marrons, ses cheveux, sa voix, ce geste délicat qu'elle fait lorsqu'elle passe sa mèche derière l'oreille. Je repense à tous ces petits détails et à cette lettre. Cette lettre que je n'ai pas lu et qui repose dans ma comode depuis 14 jours. J'allume la lampe de chevet, m'assoie et ouvre ce petit tiroire à l'aide d'une vieille clef. Je césit l'enveloppe et referme ce même tiroire. J'ouvre l'enveloppe et sort la feuille où les mots de ma femme y sont écrit et commence ma lecture. Sachant que cette lettre à plus de 14 jours...

« Mon tendre ours brun,
Je m'escuse d'avoir mis si longtemps à t'écrire, mais avec le bateau et les missions de routines je n'ai pas vrariment eu le temps de t'écrire. Mais aujourd'hui je le fait. Nous vennons d'arrivé en Angleterre. Et Sam à déjà trouvé le moyen de se faire tiré les bretelle deux minutes après notre arrivé. Toi et les enfants vous me manqué atrocement. Heureusement je compte sur mon frère et nos camarades pour jouer les bébés et ça me rappelle notre famille. Mais si j'aime ce que je fais, je vous aime d'avantage, cependant je devais faire cette ultime batail. Nous partons demain pour la France, je ne peux pas t'en dire plus mais disons que le Générale De Gaule nous a confié une mission perieuse. Ce ne sont pas des mots d'adieux, non... Je sais que l'on se reverra.
En attendant, je t'embrasse, et fais d'énorme calin et bisous à nos trois enfants ainsi qu'à ma belle Ambre.
Je t'aime,
Ta belle au bois dormant. »

Mon CombatWhere stories live. Discover now