Mon Combat

CHAPITRE 37

  Kevin ne m'adresse plus la parole. Nous sommes devenue de simple étrange l'un pour l'autre. Nous prenons notre petit déjeuner dans le silence.

MOI : Kev parle moi je t'en pris.

Kev pose son bol et soupire.

MOI : Kev !
KEV : Quoi ? Que veux-tu que je te dise ?
MOI : Que tu me comprends que tu seras là pour moi. Que j'ai fais le bon choix... Que lorsque que je reviendrez nous pourrons former une véritable famille comme nous l'avions imaginer... Je voudrais que tu m'aide à supporter la situation...
KEV : Sauf que la situation tu l'as choisie toute seule ! Tu ne m'a rien demander. Tu as choisie pour nous deux, sans même m'en aviser alors ne t'étonne pas si je ne m'intéresse pas à ton problème. Tu t'es mise seule dans cette situation.

En entendant Kev les larmes me viennent... Il n'a pas tord. Je ne me suis pas occupé de son opinions lorsque j'ai pris ma décision de m'enrôler dans cette mission. Mais nous sommes un couple, et les couple s'entraide dans toutes les situations. Ensemble. Kev se lève, lave son bol et le range dans le placard. Puis quitte la pièce.

MOI : Épouse moi !

Kev s'arrête étonner. Il se retourne. Il me regarde. Une larme coule le long de sa joue . Dépassant et de loin toutes mes larmes.

KEV : Je veux t'épouser certes, mais pas comme ça. Pas pour ça. Pas parce que tu vas partir et peut-être ne jamais revenir. Si je dois t'épouser je le ferais à ton retour et pas avant.
MOI : Pourquoi ? Pourquoi pas avant ? Si tu m'aime qu'est-ce que ça change pour toi qu'on se marie avant ou après ?
KEV : Je ne veux pas que tu m'épouse par ce que tu as peur de ne pas revenir mais parce que tu sais que tu reviendras pour m'aider à élever nos enfants. Aurélia, Dieu seul sait combien je t'aime. Mais la seule idée de te perdre me tétanise. J'ai déjà perdu Adeline à cause de cette guerre, je ne veut pas te perdre toi.

Je me lève et m'avance. Je le prends dans mes bras. J'ai son visage entre mes mains. Nous colons nos fronts.

MOI : Jamais tu ne me perdras. Et tu sais pourquoi ?

Il me répond non de la tête.

MOI : Parce que je suis moi ! Parce que j'ai des pouvoirs extraordinaires qui m'aiderons à me battre et à rentrer saine et sauve auprès de toi et des enfants.
KEV : je t'aime...
MOI : Je t'aime !

Voilà, tous se règle en un sublime baiser.

(Point de vue Ambre)

Je ne sais pas pourquoi mais je me sens si mal ce matin. J'ai des nausée, mal aux jambes, tous ce qui se trouve dans les placards et le frigos me donne envie de vomir... Oh non ! Oh mon dieu ! Ce n'est pas possible ? Je prends mes affaires en me dirige à l'hôpitale. Je suis peut-être infirmière mais j'aimerais un avis autre.

J'arrive devant Marge.

MARGUERITTE : Ambre ? Tu ne travail Pas aujourd'hui.
MOI : Non mais je ne me sens pas bien. Tu crois que tu pourrais regarder ce qui ne va pas ?
MARGUERITTE : Oui pas de soucis. Vines par là.