CHAPITRE 31: Ben

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  Nous avons enfermer Ben dans la chambre, il est rentrer depuis plus des trois semaine mais j'ai formellement interdit à Matty d'entrer dans sa chambre, et Ben ne le supporterais pas

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  Nous avons enfermer Ben dans la chambre, il est rentrer depuis plus des trois semaine mais j'ai formellement interdit à Matty d'entrer dans sa chambre, et Ben ne le supporterais pas. Ambre est à la cuisine préparant le repas de son époux.

MOI : Tu veux que je t'aide ?
AMBRE : Il a changer... Je veux dire physiquement mais aussi mentalement... Il n'est plus le même...
MOI : Il cicatrise très vite. Il faut lui donner du temps. Ça va seulement faire trois jour qu'on lui a retirer les bandages...

Quand un hurlement d'horreur survint. Matthieu !! Je monte à l'étage, je vois Matthieu qui court en hurlant dans sa chambre. La porte de la chambre de Ben est ouverte... Ce que je redoutais est finalement arriver. Je suis mon fils. Il s'est enfermer dans sa chambre. Je toque à la porte mais il refuse de m'ouvrir. Mon pauvre bébé il devait être terrorisé... Mais au bout de trois quart d'heures assise par terre à tenter de convaincre mon fils de me laisser entrer ma patience fut récompenser. Une fois la porte ouverte, je prends Mat dans les bras.

Une fois endormis je ferme la porte de chambre. Mais en passant devant la chambre de mon frère celui ci m'appelle. J'entre. Mon réflexe et de baisser le regard.

BEN : Aurélia... comment va-t-il ?

Au son de sa voix je sentais qu'il pleurait mais il faut dire que sa voix aussi avait beaucoup changer. Mais ma curiosité fait que je pose mon regard dans le sien. Ma curiosité me tuera un jour. La moitié de son visage est rouge, sa chaire se décolle. Pourtant aucune goutte de sang. Sa lèvre inférieure est énorme a cause de l'enflement. Il a des point violet un peu partout, ce sont les marques des aiguille avec lesquelles on lui injecte la morphine. Ses yeux sont rouge, l'on a refais son nez car il avait été presque arracher pendant l'explosion... Mon pauvre Ben la guerre à fait de toi un monstre...

MOI : Il va bien...
BEN : Je suis désoler... Je ne voulais pas qu'il me vois ainsi. Je suis répugnant... Tu sais des fois je me demande comme Ambre fais pour m'aimer après m'avoir vu ainsi...
MOI : Oh Ben ! C'est un petit garçon il ne voulait pas te blesser il n'a pas l'habitude de voir de tel chose. Ne lui en veut pas.
BEN : Comment pourrais-je lui en vouloir, je me dégoutte moi même...
MOI : Ne dis pas ça je t'en pris.
BEN : Dis moi que je n'ai pas changer...

Je reste stoïque... Mais je vois dans son regard que Ben a perdu toute confiance en l'avenir ou en lui. Cette foutue guerre nous a tout prit ! Je me lève et pose ma main sur la sienne. En sortant je ferme la porte. Mais j'entends encore Ben parler... Mais à qui ? Il criait j'entre, il devient fou, il hurle, il hurle à la mort il m'attrape la gorge il sert tellement que je ne peux plus respirer. Je ne veux pas le blesser avec mes pouvoirs mais je veux sauver ma vie. Alors j'attrape une des seringues de tranquillisant et lui plante violemment dans le cou. Ambre arrive. Ben me lâche et se rendort. Je respire à nouveau. Ça a réveiller Matthieu qui refuse de sortir de sa chambre, qui est juste en face de celle de Ben. Où cette histoire va-t-elle nous mener ?? Nous nous réjouissons de retrouver Ben mais au final il n'est jamais vraiment revenue...

Mon père est replonger plus que jamais dans l'alcool. Je vais le voir assis à la même place qu'à son habitude sirotant sa bière. Je m'installe en face de lui.

MOI : Papa... ?
LAURENT : Fou moi la paix !
MOI : Je crois déjà avoir vécue cette scène pas toi ?
LAURENT : J'en ai rien à foutre...
MOI : Papa ton fils à besoin de toi ! J'ai besoin de toi. Matthieu ne sort plus de la chambre il a peur de tomber sur son oncle...
LAURENT : Et il y a de quoii ! La guerre a fait de lui une épave ! Regarde à quoi il ressemble ! On dirait Frankenstein !
MOI : C'est ton fils !
LAURENT : Mon fils ? Ce n'est le fils de personne...

Non mais je n'en reviens pas là !?! Il est tomber bien bas ! Rogné son fils unique.

MOI : Il y a quelque temps tu m'as dis que je l'avais rogné deux fois ! Mais que fais-tu aujourd'hui ?
PAPA : J'ai perdu mon fils à la guerre.
MOI : OK ! Dans ce cas dans cette guerre tu y a aussi perdu tes deux filles !

Je sors du bar en claquant la porte. Ce que j'avais oublier c'est ma force, j'ai casser la porte... elle était en verre et en la claquant bah ça la briser...

Mince mon rendez-vous médical !! Je cours à l'hôpital je trouve Marguerite avec David... Ils nous avaient bien cacher leur jeux ces deux là !

MARGUERITE : Ils sont forts et robustes !
MOI : Ils ?
MARGUERITE : Oui ! Ce sont des jumeaux.
MOI : Des... des jumeaux ?
MARGUERITE : Félicitation.

Des jumeaux je vais avoir des jumeaux ! Et leur père n'est pas ici... Où est Kev en ce moment ? Où est-il ? Une petite minute !

MOI : Marge ?
MARGUERITE : Oui ?
MOI : Tu crois qu'ils ont mes capacités ? Je veux dire ils seront normaux ou...
MARGUERITE : Je n'en sait rien ce que l'on t'a injecter est dans ton sang et ton sang coule aussi dans leur veines alors il y a de grande chance qui contracte tes capacités en effet.

Je repars. Je salut Marge et la remercie... Je ne veux pas que mes enfants deviennent un monstre tel que moi... Bon il est l'heure d'aller chercher Matthieu. En rentrant, j'entendais Ambre crier après Ben. Elle descend les escaliers en colère oh la doucement il s'est passer quoi ?

MOI : Ambre ? Ça va ? Que c'est-il passer ?
AMBRE : Je ne le supporte plus Aurélia ! C'est ton frère et mon époux mais je suis désoler ! C'est aussi une vrai andouille ! Et une brute !
MOI : Mat tu peux aller dans ta chambre s'il te plaît ?
SAM : Salut la compagnie ! Alors comment va mon beau frère ?
MOI : Tient Matty va avec tonton Sam je dois aller parler à mon frangin !

(Point de vue exterieur)

Sam prend Matthieu et tentant de comprendre. Ambre est en pleure, Sam sert sa sœur contre lui. Aurélia, elle entre en claquant la porte dans la chambre de Ben.

AURELIA : Tu n'es qu'un imbécile Ben !
BEN : J'ai mal... J'en peu plus Aurélia....
AURELIA : Tu as mal ? Tu crois que nous on souffre pas ? Tu crois que c'est facile pour ta femme ? La malmener lui faire du mal et lui aboyer dessus ?!?!? Tu crois que tu es le seul à avoir le droit de souffrir ici ?
BEN : J'ai tout perdu Aurélia ! Mon père ne veut plus me parler ni me voir par ce que je suis devenu un monstre ! Ma sœur est morte ! Je...
AURELIA : Pauvre Ben ! Ton père ? Ta sœur ? Je suis ta sœur aussi ! Ton père est mon père et Adeline était ma sœur également ! Tu n'es qu'un égoïste ! Tu es aigrit et puérile ! Mais regarde toi ! Ta condition ne te donne aucun droit de supériorité ! Je t'aime, tu es mon frère mais je t'assure que par moment tu es véritablement un porc ! Alors tu vas changer mon ami ! Oh oui ! A chaque geste déplacé ! A un mot plus haut que les autres je te préviens tu vas déguster ! Ambre est venue habité ici car pendant ton absence elle ne voulait pas être seule alors tu es ici chez moi et tu vas faire comme moi je l'entend. C'est claire ?


Ben ne dit pas un mot. En sortant de la pièce la jeune ferme ferme la porte et respire un bon coup. Ça fait du bien de se lâcher par moment. Maintenant elle va me coucher car elle est vraiment fatiguer.

#Amélie

Mon CombatWhere stories live. Discover now