CHAPITRE 41: Paris

22 3 0
                                    

  Nous sommes le 9 Août 1944

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.

  Nous sommes le 9 Août 1944. La mission d'infiltration à débutée. Je suis en mode incognito dans la garde rapprocher du président français, le Maréchal Pétain. Je suis avec Ben et Sam. Nous avons de fausse identité. Heureusement car personne ne dois savoir qui nous sommes, car si le gouvernement s'aperçoit de qui nous sommes en réalité, nous ne pourrons rien faire. Aujourd'hui nous devons prêter le serment d'allégeance. C'est à dire que Ben Sam et moi devons promettre de ne jamais trahit notre chef d'Etat quoi qu'il arrive. Sauf que dans le texte que nous devons prononcé, il ne précise pas le président actuel donc nous jurons protéger la France et ses habitants quoiqu'il arrive mais pas de protéger le président ou quiconque du gouvernent. Ce qui nous facilite grandement la tâche dans notre mission. Enfin bref. Nous arrivons devant la porte. Ils sont tous en noir, recouvert d'une cape aussi sombre que la nuit. Ça fait froid dans le dos. Je prends la main de mes amis pour se rassurer mutuellement. Quand nous sommes appeler, un par un. « Viviane HAUTELIER », Je rentre la première, je regarde mon frère comme pour le rassurer, ou bien me rassurer... Je ne sais pas, une chose et sur c'est que je ne sais pas dans quoi je me lance. Je traverse un long couloir sombre. Je garde la tête haute. Je retarde un peu partout, à ma droite je vois des pieds glisser sur le sol, comme si on trainait un mort. Puis un deuxième, un de ces hommes encapuchonner tirait un cadavre. Un moment de solitude me glace le sang. J'arrive devant une porte. Je peux entendre tous ce qu'il se dit de l'autre côté. Une cérémonie se déroule...

HOMME 1 (VO) : GERARD BONNAIRE faite le serment devant nous ce soir de prêter allégeance à notre ordre ?
HOMME 2 (VO) : Oui... Non... Je ne sais plus... Je croyais que ce serait différents...
HOMME 1 (VO) : Si vous n'êtes pas avec nous vous êtes contre nous.
HOMME 2 (VO-PANIQUER) : Non... Non s'il vous plaît... Non... J'ai une femme et deux enfants ! NNNNOOONNN !

Un bruissement de lame puis un silence de mort se firent entendre. A ce moment je recula de trois pas car je sentais quelqu'un arriver. Toujours cette homme capuchonner qui tirait ce pauvre homme décapité. L'homme en noir me lance un regard terrifiant. Un regard qui semblais me dire « Fait attention à ce que tu dis car le prochain à quitter cette pièce la tête entre les jambes sera peut-être toi ! » Je ravale ma salive et releva la tête. Mon pseudo est appeler. J'entre. Je m'installe sur une chaise. Un homme dans une cape rouge vif apparaît, autour de lui 12 hommes dans une cape bordeaux. Une petite minute ! Non... Ce n'est pas vrai... Ce sont tous les dirigent important qui gouverne sur le globe... Nous avions raisons depuis le début.

HOMME 1 : Viviane HAUTELIER faite le serment devant nous ce soir de prêter allégeance à notre ordre ?
MOI : Je jure devant cette assemblée de mettre ma vie et mon âme dans la protèction de ce pays. Je fais le serment de tous mettre en mon pouvoir pour faire de ce pays un havre de paix et de justice.
HOMME 1 : En ce jour et pour toujours ton âme est lier à ce cercle.

On me fait signe de me lever. Je m'avance vers le chef de mon Etat et m'agenouille. Il me tend la main avec un anneau à son index. Je me fige quelques seconde qui paraissait des heures puis embrasse la bague. L'on me relève puis le donne une coupe, la prend, regarde un l'intérieur et ferme les yeux, comme pour me pardonner d'avance pour ce que je vais faire. Je bois la coupe pour la fait tomber tellement le contenue me répugne. Le sang qui se trouvait à l'intérieur se repend sur le sol. Les regards se dirigent sur moi. Que suis-je en train de faire... Je reprends mon souffle puis quitte l'assistance. Apparemment tout ce serait bien passer. Je repasse dans le tunnel, je croise Ben. Nos regarde se croisent de nouveau. Une fois dehors je me précipite aux toilette pour vomir ce que je venais d'avaler, puis court dans la chapelle la plus proche.

Deux jours plus tard Tous reprends son cour. Je suis dans le bureau du Président. Il doit donner une conférence publique et télévisé cette après-midi. Nous devons tout organiser. Mais avant je me cache dans le cagibis pour écrire un télégramme crypté au Général DeGaulle.

Nous sommes début d'après-midi. La foule commence à arriver. L'estrade est prête. Les caméras de télévision sont installer, le moment est venue que le Président apparaisse. Ben Sam et moi montons également pour le surveiller. Nous sommes derrière lui.

PETAIN : Mes chers compatriotes, aujourd'hui je demande à Adolfe HITLER de quitter notre Capitale. Aujourd'hui je lui ordonne de quitter notre France ! Et faire de Paris une ville OUVERTE !

Tous le monde applaudit et félicite le Président.

COTER DE PARIS.

Les militaires allemands commence à déserter la ville. Je retrouve mon père. Pétain croit que je suis ici pour m'assurer que les Boch quitte bien la capitale. Ben et Sam sont toujours à Vichy. En gros j'ouvre la marche sur le retour de Pétain dans la capitale française.
Il est environ 14h, je suis devant l'arc de triomphe. J'y attend mon cher petit papa.

... : Aurélia ?

Je me retourne et vois mon père. Je lui saute dans les bras. Nous allons dans un des café de la place de la République. J'ai un jolie robe marron et les cheveux avec une demi-queue de cheval. Mon père lui est toujours en habit militaire. On se fraie un chemin dans la foule de militaire qui se regroupe pour quitter Paris. Voir ce mouvement ici me rappeler que nous sommes sur le point de gagner cette guerre. Pour la première fois depuis longtemps j'entrevois désormais le bout du tunnel.

LAURENT : Alors ma puce comment ce passe le travail ?
MOI : Bien bien. Les enfants sont sages... Je réussit à faire ma place mais il faut dire que certains élève sont coriaces mais mes collègue sont robustes.
LAURENT : Bien mon cœur.

Oui il ne faut pas vous étonner j'ai utilisé une métaphore pour qualifier mon travail. J'ai fait passer le gouvernement pour les enfants et Ben et Sam pour mes collègue instituteurs.

Coter Allemagne.
Point de vue Vincent.

Nous venons de voir la conférence du Président français à la télévision. David et moi avons été appeler à surveiller le Furreur. Surtout parce que David et moi étions les seul à parler couramment l'allemand. En même temps je suis d'origine allemande, du moins mon père était allemand. Bref, je suis dans le bureau de la pire bête jamais exciter... Vous avez compris de qui il s'agit.

HITLER (en allemand) : Retirer les troupe allemande de la Capitale française. Je leur prévois quelque chose de bien plus grandiose.

Qu'est-ce qu'il veut dire par là ?

MOI (en allemand) : Excusez moi mais qu'entendez-vous par ''bien plus grandiose'' ?
HITLER (en allemand) : Attendez que nos soldats quitte la capitale... et une fois les français penserons que nous capitulons nous bombarderons le cœur de la France.
MOI (en allemand) : Et le marcher avec le Président PETAIN ?
HITLER (en allemand) : Peu importe ce que j'ai conclu avec lui, je ne laisserais pas filer ma victoire. Mais pour le moment ne changeons rien.

Je ne savais pas quoi répondre à ça. Je laisse un regard à David qui me fit comprendre de le rejoindre dehors. J'attends quelques minutes puis le rejoint.

DAVID : Nous devons prévenir les autres.
MOI : Je m'en occupe. Je vais leur envoyer un télégramme. Ensuite il faut que j'en envoie un aussi au Général.


A ce moment notre discutions coupe court car nous sommes rappeler vers le grand mani-tout.

#Amélie

Mon CombatOù les histoires vivent. Découvrez maintenant