Mon Combat

CHAPITRE 25: L'Anniversaire de Mathieu

Matthieu et moi quittons la maison. Adeline nous rattrape. Ambre et Ben nous rejoingnent.

ADELINE : Aurélia attend je t'en pris.
MOI : Nous devons partir...
AMBRE : Aurélia arrête ! Tu ne peux pas partir comme ça !
MOI : Ne te mêle pas de ça Ambre !
ADELINE : Ambre a raison. Attend au moins l'anniversaire de Matthieu ?!
MOI : Je dois partir ! Il le faut... je suis désoler.
BEN : Pourquoi ? Pourquoi maintenant ?
AMBRE : Aurélia je t'en pris.
ADELINE : Attend l'anniversaire de Matthieu.
MOI : Je ne peux pas attendre un mois !
AMBRE : Affronte la réalité Aurélia ! Arrête de fuir ! Au combat tu es la première sur le champ de bataille mais lorsqu'il s'agit d'affaire personnel tu es prête à fuir ? Non ce n'est pas toi ! Affronte tes peurs !
MOI : Je ne peu pas ! Je n'y arrive pas OK ? Je suis désolé !
BEN : Tu as toujours été la plus forte de nous trois. La petite dernière mais quand la guerre à commencer tu étais là pour nous ! Tu t'es battue alors ne nous abandonne pas maintenant. Sans explication.

Ils avaient raison mais je ne pouvais me résilier à dire la vérité. Je l'avais promis à mon père. Je pose les valises et commence à pleurer. Ben me prend dans ses bras. Adeline ramasse les bagages pour les renter à l'intérieur.
Soudain, les soldats Allemands prennent place sur la grande place. Qu'est-ce qu'il se passe ? Ils collent des affiches, les gens se précipitent pour voir. Ambre va voir.

MATTHIEU : Maman qu'est-ce qu'il se passe ?
MOI : Je ne sais pas mon lapin.

Ambre revient. Elle semble anéantit.

MOI : Ambre ?? Que t'arrive-t-il ? Que ce passe-t-il ?
AMBRE : Je... Ils... ils sont tous mort ! Wolfgang, Jean... les autres Résistants...
ADELINE : Je ne comprends pas...

Je me décale de Ben pour prendre Adeline dans les bras. Ben nous rejoint. Un flot de larmes nous envahit. C'est pas possible... non...

MOI : Comment ?
AMBRE : Embuscade. Ils les ont tous tuer.

Quand Marie sort du bistro.

MARIE : Vite !! Ils en parle à la radio !!!! Un journaliste en parle !!

Nous accourront tous à l'intérieur du Bistro. Je me frai un chemin jusqu'à la radio.

JOURNALISTE: Aujourd'hui, ce 21 juin 1943 nous avons perdu beaucoup de Résistants tel que Pierre DUMAS, Paul GATEAUD, Pierre CUVELIER, Pierre REGENT et Wolfgang FRIWENBART. Mais sûrement un des plus célèbre Jean MOULIN. Ils ont été attaquer alors qu'ils était en réunion. Les allemands sont entrée et ont ouvert le feu. A ce jour aucun survivant n'a été évoquer. Mais aucune trace de Jean MOULIN et de Laurent LEPRINCE. D'après certains ils auraient été capturer pendant l'attaque. Nous avons guère d'information pour l'heure nous saluent toutes les familles des victimes. Les corps vont être envoyer aux proches pour être enterrer.

Mon cœur s'arrête. Aucune nouvelle de mon père... Wolfgang est mort... Le cerveau de notre réseau... Jean MOULIN... Ben me prend dans ses bras, Adeline est assise immobile. Elle plisse un sourcille et arc le second. Ben la ramène à la maison.

Ça va faire un mois que je suis ici, aujourd'hui c'est l'anniversaire de Matthieu. Je sors que très peu de ma chambre, mon ventre grossit mais je le cache comme je peux. Nous venons de recevoir le corps de Wolfgang. Nous devons l'enterrer dans une heure. Nous voulions pas l'enterrer le jour de l'anniversaire de Matt mais la mère de l'allemand nous a obliger à le mettre en terre le lendemain de son arrivé. Elle ne reste que deux jour à Poitiers donc ça ne pouvait être qu'aujourd'hui.

Le cercueil arrive. Les larmes me viennent. Matthieu est resté avec Adeline à la maison. Ben me tient la main, Ambre pose sa tête sur mon épaule. Il y a aussi David Sam.... Le reste du réseau. La mère du résistant s'avance, elle n'a pas l'air commode du tout, limite un peu aigrie. Elle ne verse aucune larme, garde la tête haute. Comment fait-elle ? Une fois les gens partis je m'avance. Ben et Ambre retourne m'attendre dans la voiture. Je m'avance et m'accroupis une rose à la main.

MOI : Mon vieil ami. Je ne sais pas comment était ta mère quand tu étais petit mais elle na pas arrêter de nous donner des ordres.

Je sourie nerveusement. Je baisse le regard sur la fleur pour lève la tête au ciel et soupire.

MOI : Tu m'as redonner espoir quand j'en avais besoin. Tu m'as aidé à contrôler mes pouvoirs, tu m'as contribuer à me montrer la voie. Merci mon ami. Je ne t'oublierais jamais.

Je jette la rose sur le cercueil et retourne à la voiture. En rentrant, nous découvrons une maison décoré et qui sens bon le gâteau au chocolat. Matthieu me saute dans les bras.

MATTHIEU : Tu as vu maman !?
MOI : Oui mon canard. C'est sublime. C'est toi qui la décoré la maison ?
MATTHIEU : Oui avec tata Didie. Et on a fait le gâteau aussi.
MOI : Je vois ça petit cradouillou.

Adeline arrive en courant avec une serviette.

ADELINE : Matthieu vient ici ! Tu vas tout salir !! Tu as les mains pleines des chocolat !
BEN : Et dis moi Matty Tatie t'as laisser lécher le plat ?
MATTHIEU : Oui !!!
ADELINE : Oui sauf que ce servir d'une cuillère c'est trop difficile ! N'est-ce pas Matthieu ?!
MATTHIEU : hihi.
MOI : Bah oui dis voir avec les mains c'est plus drôle !

Matthieu rigole avec Ben. Ce qui fait rager Adeline. Une vrai petite famille. Quand une douleur au ventre me prend. Ambre qui vient d'arriver me prend en charge. Elle m'aide à monter les escalier pour aller dans ma chambre.

AMBRE : Aurélia ! Il va falloir lui dire !!
MOI : Non pas encore.
AMBRE : Tu arrive à ton quatrième mois ! Tu ne pourras pas le cacher indéfiniment.
MOI : C'est pour ça que je compte bien partir ce soir...
AMBRE : Tu n'as pas renoncé ?!
MOI : Non ! Je l'ai promis à mon père.

POINT DE VUE EXTERIEUR.

Dans un village voisin de Paris un mois auparavant, un homme boiteux et blesser entre dans une vieille auberge.

... : Bonjour monsieur je voudrais une chambre s'il vous plaît...
RECEPTIONNISTE : Oui à quel nom ??
...: Laurent... Laurent LEPRINCE.

#Amélie