CHAPITRE 10: Lietenant

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Je suis chez Adeline l'on prépare ses affaires, elle vient finalement avec nous dans le forêt. Mat est avec son père, un groupe m'attend à l'orée du bois. L'on range, quand on frappe à la porte, je vais me cacher avec les armes. Adeline va ouvrir.

POINT DE VUE EXTRENE.

Adeline ouvre la porte des soldat allemand entre. A vue de nez ils sont une bonne centaine. L'un prend violemment Adeline par le bras qui hurle. Du côté de la forêt, Christian ne se doute de rien. Il rigole avec son fils dans ses bras. Aurélia est caché dans le plafond avec toute les armes qu'Adeline avait pu récolter. Les allemands fouille la maison. Les Résistants caché à l'orée du bois ne savent pas quoi faire. Sam voit Adeline entre les mains de l'ennemie mais n'aperçoit pas Aurélia. Il veut intervenir mais David le retient. Il ne doivent pas signaler leur position. Ils sont beaucoup trop inférieur en nombre. Il ne faudrait pas agir bêtement. Ils sont trois, David tient Sam et Julien regard la scène aux jumelles.

JULIEN : Ils décampent ! Ils embarquent Adeline.
DAVID : Aurélia ? Tu la vois ?
JULIEN : Non. Attend attend y a du mouvement.

POINT DE VUE AURELIA.

Punaise c'est pas vrai... Je pris pour qu'on ne me vois pas. Quand une araignée me grimpe sur le dos... Je pousse un petit gémissement. Pourvu qu'ils n'ai rien entendu... Je suis arachnophobe, j'ai une peur bleu de ces bestioles ! Un jour j'ai tellement hurler que les voisin croyaient que l'on égorgeait quelqu'un. Je me mort la langue a en saigner pour ne pas hurler. Je la sens gripper je ferme les yeux je me met à pleurer. Mes doigts se crispent, mon cœur me lâche, ma tête devient bleu. Quand soudain une main attrapa ma jambe et me tira vers le bas. Je n'ouvre pas les yeux, l'on me frappe, je devine que c'est un allemand à la langue dont il se sert pour appeler ses camarades. La peur passe j'ouvre les yeux. Je vois l'homme sortir les armes. Ils me demande de leur dire où je les ai eu et pour qui je travail. Tous ça en allemand évidement. Mais je ne réponds pas. Je reste droite. Ils m'agenouillent, me frappe nous sommes à l'intérieur. Je ne sais pas combien ils sont mais si les garçons ont jugé bon de ne pas bouger c'est qu'ils devaient être en sous nombres. Les coups me font saigner du nez mais peu importe, je ne cède pas. J'ai plus peur pour Adeline. J'ai peur pour elle. Moi je peu subir sans mal mais elle... elle n'est pas entraîner. Ils me sortent. Je reconnais l'ordure qui a tuer ma mère.

POINT DE VUE EXTERIEUR.

JULIEN : Ils ont aussi Aurélia et les armes.

Ils placent Adeline au centre de façon à ce que l'on puisse bien la voir. Surtout Julien Sam et David allonger à une centaines de mettre de là. Le général prend Aurélia par le bras et la pousse au sol face à Adeline, il l'a relève et la place à la droite de sa sœur. Il demande à l'un de ses hommes de placer un pistolet sur la tempe d'Aurélia. Il veut la faire parler, mais la Résistante porte bien son nom. Elle reste muette. Julien regarde toujours la scène et la décrit à ces amis. Ils ne peuvent rien faire, ils n'ont pas le temps de chercher du renfort et ne peuvent pas agir pour venir en aide aux filles. Elles sont seule.
De retour vers les allemands. L'un des soldats apporte un haut parleur fait en papier rigide au générale.

GENERALE : (accent allemand) Ecoutez moi bien ! Si vous ne vous montrer pas sur l'heure je tue une des femmes ! C'est claire !

L'homme donne le haut parleur à une des jeunes filles. Elle doit demander aux autres de se montrer. Adeline avance avec le porte voie. Elle est en larme. Son cœur s'affole. Elle approche sa bouche de l'objet.

ADELINE : Les garçons... je...
GENERALE : Parle !
ADELINE : Je... rendez-vous... je vous en pris... ils ont dis qu'ils ne vous ferais rien.

La demoiselle prononçait ce que les allemands voulais mais n'en pensait aucun mot. Une fois son discourt achever juste un coup de feu. Tout ce passe très vite. Aurélia hurle sa douleur et s'agenouille sur sa sœur qui se vide de son sang.
Les garçons sont sous le choc. Sam pleurait dans les bras de David. Ils voulaient hurler et se battre mais ce serait risquer leur vie et celle d'Aurélia.
Le générale demande à un de ces sbire de relevé la jeune fille qui pleurait sa sœur, il fit la même chose, il lui donna un haut parleur et la plaça juste devant le corps d'Adeline. Elle respire un bon coup, regarde le ciel puis descend le regard sur la forêt en face d'elle.

AURELIA : Je suis Résistante ! Vous êtes Résistant. Mais aujourd'hui est un jour qui restera graver dans les mémoires. Oui, aujourd'hui c'est enfin le jour où je dis NON ! Je dis Battez-vous pour votre liberté. BATTEZ-VOUS !!!!

Aurélia sait qu'elle allait mourir en disant ces mots mais l'image de son fils, de sa famille, de ses amis lui traversaient l'esprit. Alors elle ferma les yeux. Puis un second coup de feu se fit entendre. Mais celui ci visa le sol. Le générale avait blesser le pistolet dirigé vers la tête de la jeune fille. Il demande à ces hommes de l'assommé avant de la mettre dans le camion.
Une fois les trois camion partit David Sam et Julien couru vers Adeline, ils voulaient s'assurer qu'elle ne vivait plus. Julien arrive le premier il place son oreille sur la bouche d'Adeline.

JULIEN : De l'air ! Elle respire encore ! Dav vite Sam aide moi ! On va la porter jusqu'au camps !
SAM : Ok. On y va.

Les trois hommes prennent la demoiselle mourante et la conduit jusqu'aux autres. Environ dix minute plus tard, Christian qui jouait avec Ambre et Matthieu entend la voix de Sam implorant de l'aide, il laisse son fils avec Ambre et rejoint les plaintes. Ils découvre Adeline en sang. Il la pose sur une des tables et appel Kev et Ambre. Matthieu est en pleur. Ambre le passe à un des autres garçon. Chris veut savoir ce qu'il s'est passer. Les trois sont paniqué, encore sous le choc.

JULIEN : Les allemands ! Ils sont arrivé, ils leur ont tiré dessus.
CHRISTIAN : (énervé) Où est Aurélia ?! Où elle est ?
DAVID : Ils l'ont embarquer...
CHRISTIAN : Pourquoi vous n'avez rien fait !?!
DAVID : Ils étaient beaucoup trop nombreux !
CHRISTIAN : Combien ?
JULIEN : Ils allaient tous nous tuer ! Et elle le savait !
DAVID : Une centaine !

Christian passe sa main dans les cheveux et fait les cents pas.

CHRISTIAN : Elles ont parler ?
JULIEN : Non... c'est pour ça qu'ils ont tiré sur Adeline. Ils voulaient tuer aussi Aurélia mais leur générale a préféré la capturer.
CHRISTIAN : Ils vont l'a torturer à mort jusqu'à ce qu'elle parle.
SAM : Elle ne parlera pas Chris.
CHRISTIAN : Justement !

Il s'avança vers Kev et Ambre qui tentait de soigner l'hémorragie d'Adeline.

CHRISTIAN : Elle va s'en sortir ?
AMBRE : J'en sais rien. La balle à toucher l'un des poumons mais ne l'a pas perforer.
CHRISTIAN : En gros !
KEVIN : Elle a 50% de vivre et 50% de mourir. Et on a pas tout le matos ici ! Il faut retourner en ville ! Et très vite si on veut une chance de la soigner.
CHRISTIAN : OK alors ce qu'on va faire c'est que toi Ambre Lucien et Dimitry vous allez aller en ville me soigner Adeline ok ? Lucien tu prends Matthieu avec toi. Trouver Marguerite pour vous aider ! Protégé mon fils ! Et le reste vous venez avec moi on va chercher ma femme !


Le groupe se sépare. Nous ne savons pas si Aurélia est toujours en vie ou pas. Si Adeline va survivre, et si tout le monde reviendra vivant.

#Amélie

Mon CombatWhere stories live. Discover now