CHAPITRE 42: Arrestation

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20 AOUT 1944

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20 AOUT 1944.
point de vue AURELIA

Je suis de retour vers le Maréchal PETAIN mais cette fois ci nous avons un problème. Comment dire ça... Nous avons été arrêter. Les allemands nous ont tendus un piège et nous ont fait arrêter. Nous nous rendions à Paris. Ma mission s'achevais aujourd'hui. En ce moment nous sommes dans un véhicule qui nous conduit en Allemagne.


PETAIN : Excusez moi monsieur le soldat allemand mais pourquoi ''le Fureur'' veut-il nous parler ?
MOI : Je ne penses pas vraiment qu'il veuille nous parler comme vous dites.
PETAIN : C'est absurde ! Nous avions un pacte lui et moi... Je lui livrais des juifs et lui en retour il nous laisserait en paix. De plus si cela était faux pourquoi aurait-il libérer Paris ?
MOI : Pour se foutre de notre gueule ! Pardonnez moi de ma franchise monsieur le Président mais là on est dans la merde. Le problème c'est que je pourrais nous sortir de là mais je voudrais voir ce qu'il va ce passer. Je suis beaucoup trop curieuse pour partir maintenant. Et en ce qu'il concerne le Roi Boch, c'est simple, son plan ? Reculer pour mieux sauter. Il vous a leurrer. Et oui, vous n'êtes qu'un pigeon ou plus tôt un pion sur son jeu d'échec. Alors si vous me le permettez monsieur le Président, bouclez là. Et bien sur avec tout mon respect.

A ça fait du bien. Depuis une semaine il me bassine avec ses problèmes, sa stupidité et surtout sa naiveté.

COTER DE PARIS.
Point de vue Ben.

Nous sommes basé à l'hôtel de ville de Paris, c'est là que les Résistants ont montés leur nouvelle baise d'opération. Sam est avec moi mais le fait de ne pas voir venir Aurélia m'inquiète, nous l'attendons devant l'Hôtel de Ville... Elle devais arrivé avec Petain mais nous n'avons pas de nouvelle. Je suis mort d'inquiétude. Soudain un passant arrive en courant sur la place, il cri... Non ce n'est pas possible. Je cours vers le môme, je le prends par les épaules et le secoue pour qu'il me dise ce qu'il sait.

ENFANT : Je ne sais rien de plus monsieur !!
MOI : Tu sais forcement quelques chose de plus ! Comment as-tu eu l'info ?
ENFANT : Tout le monde en parle du côté ouest de Paris.
SAM : Dis nous exactement ce que tu as entendu ?!
ENFANT : De ce que l'on dit, Le Général PETAIN et le chef de sa garde personnel ont été capturé par les allemands, sous l'ordre du Fureur... Le reste de la garde à été massacré. Ils sont en direction de l'Allemagne au moment où je vous parle... C'est tout ce que je sais...

Sam me regarde, il pose sa main sur mon épaule pour me rassurer.

SAM : Aurélia est forte... Si elle a été capturé elle ne doit plus l'être à l'heure actuel.
MOI : Je crois que si justement... Ce n'est pas le fait qu'elle soit entre les mains des Allemands qui me fait peur... du moins pas totalement... C'est ce dont elle est capable. Les Bosh lui ont volé notre mère, sa vie, et son précédent mari... Si tu avais les capacité de ma sœur Sam ? Que ferais-tu si tu étais si près de ta vengeance ?
SAM : Tu croit qu'elle va tout faire foiré le plan de la Résistance ? Juste pour une vengeance ?
MOI : Il faut prévenir les autres.

Je me rends au QG avec hâte.

POINT DE VUS KEVIN
21 AOUT 1944

Je m'occupe des enfants, enfin j'essaie. Matthieu refuse d'enfiler son pantalon car il veut que ce soit tata Ambre qui le fasse. Quant'aux jumeaux il gigote tellement qu'il m'est difficile de leur mettre leur body. Pitié faite que Aurélia rentre vite. Tient j'entends la porte d'entré s'ouvrir puis se refermer. Ca doit être Ambre. Bingo j'avais raison.

MOI : Tiens Ambre tu tombe bien, Mat je veux pas mettre son pantalon sauf si c'est toi qui lui met.

Elle ne me répond pas... Je ne la regarde pas je suis trop occupé par Betty et Aaron.

MOI : Ambre ?

Je tourne rapidement la tête et remarque qu'elle s'est assise sur le lit de Mat. Elle n'a pas l'air bien... Je me reconcentre sur mes deux asticots.

MOI : Ambre tout va bien ?

Toujours pas de réponse.

MATTHIEU : Tata ? Pourquoi tu est triste ?

Je pose les jumeaux dans leur berceau et me concentre sur Ambre. Effectivement une larme lui coule le long de la joue. Je m'assoie à côté d'elle.

MOI : Ambre ? Que ce passe-t-il ?
AMBRE : Matty tu peux aller voir si j'ai bien refermer la porte d'entré s'il te plait ?

Matthieu court pour vérifier. Ambre se tourne vers moi, pose sa main sur ma jambe.

AMBRE : As-tu lu la lettre d'Aurélia ?
MOI : Non je n'en ai pas la force... Mais pourquoi tu me demande ça ? Que se passe-t-il ?
AMBRE : J'ai reçu une lettre de Ben ce matin... Aurélia est entré la semaine dernière dans la garde personnel du Président.
MOI : Pourquoi tu me parle de ça ? Je ne veux rien savoir Ambre je te l'ai déjà dis ! Ce qu'il m'importe c'est juste qu'elle rentre à la maison.

A ce moment Ambre fond en larme. Mais que lui arrive-t-il ? Elle me sort une lettre. La deplis puis me la tend. 0 l'interieur de cette lettre une page de journal. Avec écrit en gros titre « Le Générale Pétain arrêter par les Allemands »

MOI : Quel est le rapport avec Aurélia ?
AMBRE : Lis la suite...
MOI : « Il s'emblerait que le ''Fureur'' est ordonner l'arrestation du Président Français, toute la garde du Générale Pétain a été tué excepté le chef de sa garde personnel qui est au côté du Président dans ce périple jusqu'en Allemagne. »...

A ce moment je compris où voulait en venir Ambre. Puis je lis la fin de la lettre de Ben.

MOI : « Je ne sais pas si Aurélia est en vie, mais malgré tous j'ai la conviction qu'elle à survécu... Non a vrai dire ma tendre aimée, ce qui m'inquiète c'est comment vont se déroulé la suite des événements car Aurélia est forte. Et elle se rend tout droit dans le terrier de l'ennemis, volontairement... Je crois qu'elle veut se venger de tout ce que cette guerre lui a enlevé... En attendant plus de renseignement je t'embrasse, et passe mes salutation à Kevin et ses enfants. Sam et le reste de l'équipe se joint à moi. Au fait Vincent ne sais pas montré aujourd'hui. Sa mission se terminait aujourd'hui aussi.
Je t'aime ma douce femme et pris pour que l'on se retrouve très vite.
Ton tendre Ben. »
AMBRE : Je suis désolé Kev...
MOI : Elle va bien... Et Vince aussi. Tous va s'arranger. La guerre va bientôt s'achever et Aurélia et le reste de nos amis vont rentrer. J'en suis sur.

Je ne sais pas si je disais ça pour me rassurer moi ou si je le pensais réélement mais je le disais avec une tel conviction qu'Ambre en semblait convaincu également.

22 AOUT 1944.
Point de vue BEN.

Nous nous rendons à l'hôtel de ville mon père et moi quand nous remarquons que les soldats Allemands se précipitent hors de la ville. Mais que ce passe-t-il ? Avec mon père nous nous regardons puis comprenons pourquoi le ''Fureure'' libérerais la ville... Pour la détruire ! Comment détruire la France ? En touchant sa capitale ! 

#Amélie

Mon CombatWhere stories live. Discover now