Mon Combat

CHAPITRE 35: Chris et moi

  (Point de vue Aurélia)

Les jumeaux sont la depuis deux semaines, ils ont deja tellement changés. Kevin dort a coter de moi. Il est presque trois heures du matin mais je n'arrive pas a attendre le sommeil, alors je me promène dans la maison. Je vais dans la chambre de Matty et le regarde dormir, puis dans la chambre des jumeaux, qui était celle d'Adeline. Ils sont tellement minion au je me dis que j'ai une vie rêvée, et je vois une photo de ma soeur et les souvenirs remontent. Je retourne dans ma chambre et une envie d'écrire me viens. Alors je m'installe a la cuisine et commence a écrire. Les mots me viennent comme de l'eau qui ruisselle.

Le soleil se leve, les premiers rayon traversent les carreaux de la cuisine. Mais ma plume ne suite pas la feuille. Quand Kev entre.

KEVIN: Tu fais quoi?
MOI: J'écris.
KEVIN: Tu écris quoi?

Il voit le paquet de feuilles a coter de moi. Il prends la première.

MOI: Des gribouillis. Hier soir j'étais prise d'insomnie alors je me suis promené dans la maison. En regardant les enfants j'ai compris que je ne voulais pas partir de ce monde sans y laisser ma trace. J'ai penser a mes enfant et de l'héritage que je voulais leur léguer. Alors j'ai écris.
KEVIN: Toute la nuit? Et les jumeaux se sont réveiller?

A ce moment je me suis rendu compte que je n'ai pas entendu les jumeaux de la nuits! Ce qui est plutôt étrange étant donner qu'il n'ont que deux semaines. Je me précipite dans la chambre et je les vois dormir. Je suis rassurer et charmer. Ils sont si petit et déjà si sage. Ils dorment paisiblement sur le ventre en tétant leur pouce. Je regarde Kev et il me prend dans ses bras.

Une semaine plus tard.

Je suis au QG des Résistants. Je reprends les enchainements, mais cette fois c'est moi qui entraine. C'est assez drôle comme sensation je trouve. Même Kevin se lance, et je trouve ça plutôt comique. Vous le veriez se rouler dans la boue. Le pauvre il n'est vraiment pas fait pour ça. Je siffle pour stopper leur efforts. Ils me rejoignent, enfin presque, Kevin est encore coincé sous les barbelé. Je m'avance pour l'aidé à se dépatouiller de sa mellace mais Ben me devance. Je m'approche d'eux, je tend la main à Kev pour l'aider à se relever. Une fois debout, mon fiancé me fait un sourire géné, je le regarde et lui ébourif les cheveux. On rejoint les autres. Je met face à mes hommes. Certains sont réticent au fait que ce soit une femme qui mène la cadence. Mais je garde la tête haute.
J'ai enfin la sensation d'avoir trouvé ma place. Je suis heureuse d'être la mère de trois sublimes enfants, mais cette vie, le combat, la liberté, l'espoir m'a terriblement manqué. Alors aujourd'hui je me bat pour resté tel que je suis.

A la fin de l'entrainement, je me rend à la base, Mon prère si trouve avec les jumeaux et Matty. C'est fou ce qu'il ont grandit. Matthieu ressemble de plus en plus à Christian. Il devient de plus en intelligent. A chaque fois que je pose mon regard sur mon fils je me plonge dans le passé, lorsque Chris et moi etions petit.

Souvenir 1.

J'ai 7 ans.

MOI : Christian rend moi ma pelluche ! Maman ! Chris et Ben ne veulent pas me rendre ma pelluche !
MAMAN (VO) : Les garçons soyez gentil ! Rendez lui mon nounours.
BEN : Arrête d'estre toujours dans les pattes de maman. Sois plus forte ! Deviens une femme !
CHRIS : Oui nous on est des soldats ! On ne pleurniche pas quand on nous prend notre doudou.
BEN : Normal on n'a pas de doudou. A la guerre on a pas besoin de doudou.
MOI : C'est pas vrai vous n'êtes pas des soldats ! Vous avez dix ans !