CHAPITRE 3: Le Regard

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MOI : Ben !! Tu es vivant ! Tu m'as tellement manquer ! BEN : Toi aussi

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MOI : Ben !! Tu es vivant ! Tu m'as tellement manquer !
BEN : Toi aussi. Où est Didi ?
MOI : Elle doit être par ici. Christian est passer il y a trois mois.
BEN : Je le sais.

Comment il peu le savoir ? Et ma réponse fut immédiate. Je vois Chris qui descend les escaliers. Il me fait signe et me sourit, je rougit comme une grosse bécasse. Oh non il approche, mon cœur s'affole. Mais qu'est-ce qu'il m'arrive ???

CHRISTIAN : Aurélia ! Ça va à ce que je vois.

Il me sert dans ses bras.

BEN : Aurélia on dirait une tomate !
MOI : Ferme là tu veux ?

Je lui donne une tape sur l'épaule.

CHRISTIAN : Dis nous ce qu'on peux faire pour t'aider.
MOI : Il faut donner à manger au gens. Avec leur ticket on a le droit à du pain et c'est tout. Alors on passe le soir chez les gens avec de la viande.

CHRISTIAN : J'ai amener des amis pour nous aider.

Il fait un geste de la main. Deux autres garçons se rapproche.

CHRSTIAN : Je te présente Sam LAGE.

Il me sert la main et me dépose un délicat baiser de velours sur la joue qui se met a virer au rouge. Je sourie l'air gênée. Christian l'éloigne doucement de moi avec sa main poser sur le torse de se tombeur. Puis un autre soldat s'avance en me tendant la main.

... : Enchanter moi c'est David. David BARNES.
MOI : (je lui sourie et lui sert la main) Salut David, moi c'est ...
DAVID : Aurélia. Je le sais Christian ne fait que de nous parler de toi.

Une fois encore, je me met à rougir. Je décline mon regard vers celui de Chris qui change immédiatement de sujet. Tiens je vois Adeline. Elle court sur Ben.

ADELINE : Ben !! Tu es là ! Tu as tellement manquer.
MOI : Tu as des nouvelles de papa ?
BEN : Non... Plus depuis un mois. Je sais que son unité a été envoyer en Allemagne.
ADELINE : Pourquoi ?
BEN : Je ne peux rien dire de plus.

Ça m'inquiète plus qu'autre chose. Mon père est en zone ennemis et je n'en savais rien. Comment dois-je prendre ça ?

... : Sam ???
SAM : Ambre ?

Une fille saute dans les bras de Samuel. Il ne veux plus la lâcher.

Quand Soudain, une alarme retentit. Les murs se mettent à trembler, les gens hurlent de peur. Je reconnais ce bruit... Je l'ai vécu il n'y a pas si longtemps à Tour. A chaque alarme on se demande si l'on va vivre ou mourir. L'on se cache mais les murs tiendront-ils ? Je me reprends et aide les gens à se protéger. Nous mettons tous les blesser, les femmes les enfants et les autres au fond du souterrain. A un endroit bien stratégique pour éviter de se faire écraser par les poutres qui cède sous les bombes. Ben ? Où tu es ? Chris ?? Christian !? Vous êtes où ? David ? Sam ? Ambre ? Adeline ? Arh ! Les lampe s'éteignent, nous sommes dans le noir total. Nous ne voyons plus rien. Je ne sais pas où sont les autres. Les enfants pleurs, le peu de lumière est vite cacher par les décombres.

Une fois le bombardement terminer, je tente d'évacuer les gens. Mais le poids des pierres sont trop lourde. Le peu d'hommes valident tentent de nous sortir de là. Une lumière nous éblouit je découvre une petite poignet de pauvres gens avec moi. Je ne sais pas où sont passer les autres. En cherchant un moyen de nous sortir de là je vis une petite fille inconsciente, je m'agenouille vers elle pour voir ce à. Je prends son pou. Je lui fait un massage cardiaque, mais aucun signal de vie. Du bouche à bouche, massage cardiaque, et je recommence... Mais je n'arrive pas à la récupérer. Les larme me viennent. Je ne peu pas la perdre. Elle doit avoir cinq ans tout au plus. Je n'arrête pas mes massages, puis miracle, elle crache et revient à elle. A ce moment je vis Christian dans une lumière étincellement. Nous sommes saint et sauf. Il s'approche de moi. Je lui montre la petite fille. Il l'a porte jusqu'à l'extérieur. Je fais sortir toutes les personnes qui étaient avec moi. Je suis totalement recouverte de poussière, je regarde autour de moi et ne vois que peur et angoisse. Des morts, des blessés et encore des morts. Adeline me prend dans ses bras. Ben ? Où est Ben ?

MOI : (hurle) BENJAMIN?!!!? Ben ??

Je ne le vois pas ! Où il est ? Pitié je ... Non pas lui... ne me l'enlevé pas ! Si vous me l'avez prit rendez le moi. Je vous en pris.

... : Aurélia ? (tousse) Je suis là... (tousse)
MOI : Ben !

Je me précipite vers la provenance de cet appel. Je vis Ben sous une poutre. Je tente de la soulevé mais elle est beaucoup trop lourde pour moi. David vient m'aider.

DAVID : Écarte toi.

Il tente de soulevé la poutre piégeant mon frère mais une seconde lui tomba dessus. Christian arrive en courant. David est inconscient. Je tente de le ranimer. Il reprend peu à peu connaissance. Je jette un coup d'œil du côté de Christian, ce qu'il est beau. Il soulève la masse à lui tout seul. Elle doit faire deux fois son poids. Une fois Ben dégager j'accours vers lui et le prend dans mes bras. Adeline prends ma place et l'aide à se relevé. Je me lève et regarde Chris. Je m'avance pour lui dire merci. Je dois bien faire une bonne tête de moins que lui. Lorsque j'arrive à son niveau, je le sers contre moi. Je peu même entendre son cœur s'affoler.

MOI : (chuchote) Merci.


Il m'embrasse le front. Des frissons me traverse tout le corps. Je le regarde. Ce regard pouvais durer un siècle que je ne le verrais pas passer. A ce moment précis, je cru voir un avenir. Un espoir, quelque chose à vivre et a chérir. Je ne sais pas pourquoi mais à cet instant précis je ne vis pas Christian comme l'ami de Ben de quatre ans mon aîné, mais quelqu'un à mon égal. Quelqu'un pouvant me rendre heureuse et me faire oublier cette foutue guerre. Plus rien n'a d'importance, ce regarde devient de plus en plus intense, nos visage se rapproche peu à peu. Il passe sa main dans mes cheveux. Je lui caresse la joue pour lui enlevé la poussière. Mais au moment où nos lèvres sont à une dizaine de millimètre l'une de l'autre, Ben m'appelle. Je me retourne. Il nous fait signe de sortir de là. Christian me pris la main et me sortie du sous sol.

#Amélie

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