CHAPITRE 1: Le Soldat Allemand.

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BEN : Gagner !!

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BEN : Gagner !!

Comme d'habitude ! En même temps il est plus grand ! Et voilà ! Maintenant il ne va pas arrêter de se moquer de nous et de se venter. Il m'exaspère... Papy arrive. Maman dit que Papy est un peu usé par la guerre, c'est pour ça qu'il boite et à un visage un peu déformer. Moi ça ne m'a pas déranger par ce que j'ai grandis en le voyant comme ça, mais mamie m'a montré des images de lui avant et il ressemble beaucoup à maman. Papy approche avec sa béquille.

PAPY : Alors ma petite Aurélia ? Je crois qu'aujourd'hui est un jour spécial.

Je hoche la tête avec un grand sourire. Il sourit du mieux qu'il peu. Mais il n'a pas assez de force pour resté plus longtemps debout alors maman l'aide à s'asseoir. Je vais vers lui.

PAPY : Je ne suis plus tout jeune. (il sourit) Alors aujourd'hui c'est ton anniversaire c'est ça ?
MOI : Oui !
PAPY : Et quel age as-tu ?
BEN : Trois ans !
MOI : Ahah ! Très drôle !
ADELINE : Ben fou lui la paix !
PAPY : Alors ?
MOI : Huit ans !
PAPY : Mais tu vas bientôt rattraper ton grand-frère...

... : Aurélia cour !

Je me réveilla de mon rêve et m'aperçois que des bombes détruisent tout ! Ma ville de mon enfance ruiné. Je voyais Adeline qui courait à toute jambe, puis Ben me pris comme un sac à patate. Mais une des explosion nous projeta à terre. Ben m'aide à me relevé. Ma tête tourne comme dans un moulin. Où sont les parents ? Je regarde partout mais ne les vois pas. Comment cela a pu arrivé ? Je ne me souviens de rien, comment Ben est arrivé ici ? Il devait partir pour la guerre...

BEN : Aurélia ?? Ça va tu n'as rien ?
MOI : (confuse) Non ça va... Mais ...

Il me serras contre lui et m'embrasse le front. Je ... J'étais tranquillement en train d'acheter des légumes et j'ai vu la même cane que mon grand-père avait, ce qui m'a rappeler le jour de mes huit ans que nous avions passer chez lui. Puis ça. Voilà mes parents ! Je me précipite dans leur bras.

MOI : Maman Papa !
MAMAN : Ça va ? Vous allez bien ?
BEN : Oui c'est bon ! Adeline est partit soigner les blesser.
MOI : Maman ? Tu saigne.
MAMAN : Oh ! Ce n'est rien ! Ne t'inquiète pas. Allez aider ces pauvres gens je reste avec votre père.

Ben me tire par le bras. Nous aidons le plus de gens possible, nous les sortons des décombres, les soignons du mieux possible. Cette une véritable vision d'horreur. Partout les gens hurles de douleur. Pour avoir perdu un proche, ou parce qu'ils ont mal ! J'ai quinze ans et la guerre était quelque chose que je n'avais pas calculer dans mes projet d'avenir. Depuis un an nous vivons dans l'angoisse permanent.

Éclipse de trois jours.

Nous fuyons le Nord de la France. Nous avons prit le train pour Poitiers. Selon mes parents, là-bas il y aurait une concentration de réfugier. Nous nous sommes installer dans une vieille auberge. Les propriétaires ont acceptés de nous héberger.

Ça fait un mois que nous sommes ici... La ville vient d'être annexé par les allemands. Elle est divisé en plusieurs quartier, l'auberge où nous nous trouvons est à la frontière entre deux quartiers occuper par les Boches. Nous dormons tous dans la même chambre, maman, Adeline et moi ensemble. Ben est repartit pour les trancher comme papa. Nous ne sommes plus que trois. Chaque jours passe dans la peur qu'on nous annonce cette terrible nouvelle. Je ne sais pas si je les reverrais un jour... Maman n'arrive même plus à dormir, elle fait des cauchemars tout les soir ! Adeline et surpassé. Elle a commencer les cours, mais son école est envahit d'allemands ! Mois je reste à la maison. Je bouquine, j'essaie de m'instruire du mieux possible.

La je suis dans mon lit, maman aide Martine la dame qui tient l'auberge. Adeline est en cours et toujours aucunes nouvelle de Ben ou papa. Quand soudain j'entends des hurlements et des appel au secours. Je descends à tout allure pour vois ce qu'il se passe mais je vois des allemands qui cassent tous. Je me cache derrière un mur dérobé. Ma mère et Martine sont en train de se faire battre, mais j'ai trop peur pour bouger. J'assiste à toute la scène... Ces deux femmes se font violer, lapider, battre... Mais pourquoi je ne bouge pas ? Je pleur toute les larme de mon corps. Enfin quand je trouve le courage de sortir de ma cachette, je ramasse un des fusils par terre et le pointe sur le fils de pute en train de forcer ma mère à l'embrasser.

MOI : Lâche la salopard !
LUI : Oder was? Spielen Sie nicht den Idioten! Sie wissen, wie es zu benutzen? (Sinon quoi ? Joue pas la con ! Tu sais t'en servir ?)

Je ne sais même pas ce que ça veux dire ! Je ne comprends pas un traître mot de ce qu'il dit. Mais une chose est sur je ne baisserais pas ce flingue. Il s'approche, je tremble. Il a vraiment une tête de mort vivant. Comment cela est-il possible d'être aussi laid. Plus il avance, plus je transpire, j'échange un regard avec ma mère qui pleurait. J'avais besoin de ça pour arrivé à tirer. Je ferme les yeux et appuie sur la gâchette. Il hurla. Je ne sais pas où j'avais tirer mais le sang qui coulait le long de sa jambe et où il plaçait ses mains m'indiquaient son entre jambe. Comme quoi le hasard fait bien les choses ! Je cours vers ma mère, je cherche Martine, je vois une marre de sang près d'un corps sans vie. Je met ma main devant ma bouche et commence à pleurer. Maman me rappel à elle.

MAMAN : Aurélia va-t-en !
MOI : Pas sans toi !
MAMAN : S'il te plaît !

Je ... pourquoi croit-elle que je vais l'abandonner ? Je resterais avec elle. Je met son bras su mon épaule, et passe le mien autour de sa taille. Je l'aide à se relever et essayons de sortir d'ici. Mais le soldat que j'avais blesser s'interpose entre nous et la sortit. Il pointe sont arme sur nous.

LUI : Dann sind Sie jüdische schmutzig Scheiße, du wirst bezahlen! (Alors toi sale juive de merde tu vas payer !)
MOI : Putain mais t'as toujours pas calé qu'on comprenait rien à ton charabia !?
MAMAN : Chut ! Ne le provoque pas.


Et là ! ... Ce sale boche tira, mais maman me poussa. En me relevant je remarqua un trou béant dans la poitrine de ma mère. J'essaie de réanimé ma mère mais rien à faire. Furieuse je me jette sur l'allemand mais il m'assomme. Puis le Noir !


#Amélie

Mon CombatOù les histoires vivent. Découvrez maintenant