Chapitre 51

2.6K 127 6
                                    

« Il ne faut jamais se fier aux apparences. Comme mon nouveau patron avait l'air cool, je lui ai demandé si on pouvait se tutoyer. Il m'a répondu : Pas de problème, tu es viré ! » de Marc Escayrol.

- Mon Ange. Je suis là, n'ait pas peur s'il te plait, me dit David sans bouger nos deux corps.

- Je sais, mais je n'arrive pas à me contrôler, dis-je timidement.

Il me prend alors par la main pour que l'on rejoigne notre chambre. Il me couche doucement sur le lit en commençant à m'embrasser tendrement. Je passe mes mains sur tous ces vêtements, mais je le laisse décider de ce que l'on va faire, je le laisse aller à son rythme.

Il commence à retirer mon jeans et mon débardeur, je me retrouve rapidement en sous-vêtements. Il se place à cheval sur mes jambes pour se mettre en caleçon. Je commence à caresser son torse sous son regard coquin.

Il se penche alors dans mon cou pour me mordre la peau. Je lâche alors un petit cri, cela le fait rire de fierté pour son pouvoir sur moi. Je le griffe alors dans le dos, il lâche un râle de plaisir et commence à descendre vers mon clitoris en passant par ma poitrine et mon ventre. Il laisse des baisers un peu partout.

Mon dos se cambre alors sous ses caresses, tandis que je ne touche que ses cheveux. Il commence alors à me malaxer le clitoris en l'aspirant ou en jouant avec des doigts. Mes mouvements deviennent incontrôlables.

Je le caresse un peu partout aussi en passant par son sexe, ses abdos, ses cuisses et ses oreilles comme il aime. Je vois qu'il bande beaucoup. J'aime voir son sexe ainsi gonflé. Je sens qu'il me désire, cela me donne confiance en moi et me prouve qu'il m'aime encore.

- Pénètre-moi, je hurle alors dans un dernier souffle.

Il se place alors au-dessus de moi en m'embrassant Il me demande de fermer les yeux pour plus le ressentir. J'exécute ce qu'il me demande, toujours en gardant mes mains dans son dos pour me rassurer.

Tout à coup, je le sens rentrer en moi. J'ouvre les yeux et commence à me débattre comme si David était Emilien. Des larmes coulent le long de mon visage, je me débats dans tous les sens, je bouge sans pouvoir me contrôler.

David se retire très rapidement et prend une couverture pour m'entourer dans ce drap blanc. Il me caresse lentement le dos en les bras en s'asseyant en face de moi en tailleur après avoir repasser son caleçon. Il essaye de me rassurer, mais il est aussi paniqué que moi par ma réaction.

Je tremble toujours. J'essaye de savoir pourquoi j'ai réagis comme cela. Je me sens coupable, puis David doit avec mal aux « couilles » comme il a l'habitude de dire. Je baisse la tête et me cache avec les mains.

David s'approche de moi et me prend dans les bras après quelques minutes de réflexion. Il me rassure encore et encore. J'essaye alors de caler ma respiration avec la sienne, ce qui aide à calmer mes tremblements.

Au bout de longues minutes, je me lève avec la couverture autour de mes épaules. Je passe dans la salle de bain où David me suit sans me toucher. Je me regarde dans le miroir en essayant d'essuyer mes larmes. Mais en me voyant, j'ai honte. Mes jambes cèdent sous mon poids.

David me rattrape rapidement en m'asseyant sur le bord du lavabo. Il me prend dans ses bras et me dit que je ne dois pas avoir honte, que je suis marquée à jamais par Emilien et qu'il faut juste que l'on apprenne à savoir les limites que l'on ne doit pas franchir.

- Tu m'en veux ? Me demande-t-il calmement.

- Jamais et toi ? Je le questionne entre deux sanglots.

Liaison dangereuse 2. Un amour de prof...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant