❝𝕷'𝖆𝖓𝖙𝖎-𝖍é𝖗𝖔ï𝖓𝖊 𝖖𝖚𝖎 𝖛𝖎𝖙 𝖊𝖓𝖋𝖎𝖓 𝖘𝖔𝖓 𝖍𝖎𝖘𝖙𝖔𝖎𝖗𝖊.❞
Ashley, plus connue comme Barbie est l'anti-héroïne type - égoïste, superficielle et mauvaise - et elle n'aurait pas dû avoir sa propre histoire. La fuite est son option fa...
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Je jette les dés d'une main experte. J'observe la réaction des gens autour de moi, moi qui avait misé tout mes jetons soit l'équivalent de cinq-cent mille dollars. Mais il n'y a pas de gens autour de moi, parce que je n'en veux pas. J'ai demandé à ce que cette table de jeu soit entièrement à moi. Et la seule foutue personne que je veux s'est putain de barré dans un autre pays, au Mexique !
Un serveur passe et ne s'arrête même pas pour me demander si je veux du champagne.
— Garçon ! Appelle-je et il se retourne le plateau tenu adroitement dans la main.
Alors qu'il me le tends, je prends un verre et fais tomber le reste au sol d'un simple poussée de ma main provocant un silence autour. Il me regarde choqué et assez énervé.
— Ne regarde pas comme si tu attendais des excuses. Je ne m'excuserai pas et tu sais pourquoi ? Murmure-je. Parce que j'en ai absolument rien à foutre.
Je prends mon verre et déambule calmement vers les toilettes. Une trentenaire est en train de se remettre du rouge à lèvres rouge pure, qui m'attire comme un aimant. C'est un bel objet et je le veux de suite.
— Prête-moi ton rouge à lèvres, siffle-je en tendant la main.
Elle me regarde outrée.
— Non, j'en ai pas envie et vous n'avez même pas demandée poliment...
— Pourquoi être poli quand je peux avoir ce que je désire à l'instant où je le souhaite ?
Elle secoue la tête en marmonnant un truc sur les jeunes riches qui se prennent pour des dieux. Mais que puis-je faire ? Je suis une vraie déesse ?
Elle se dirige vers la sortie et je l'attrape par la nuque et la traîne violemment vers les toilettes. Je lui mets un coups de pieds à l'arrière des genoux et elle tombe exactement devant la cuvette. Je n'attends pas pour lui enfoncer la tête dedans.
— Je t'ai juste demander gentiment de me prêter un objet qui m'a plu. Je suis si mignonne, comme as-tu pu me refuser quoi que ce soit ?
Son visage n'est pas entièrement dans l'eau mais sa bouche et ses narines sont bien noyés dans de la pisse.
— Tu m'oblige à faire ça, pourquoi ? Tu aurais pu me le donner simplement. C'est à cause de toi si tu vas mourir, seulement ta faute !
Je continue de blablater alors qu'elle se noie doucement et se débat fortement. Ma prise est dure et elle ne s'en échappe pas. J'entends cependant des discussions et je la relâche pour ne pas être prise sur le fait.
