Chapitre 51 : Deux menteurs

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Hello mes piovra 🐙

Vous allez bien ?

pour ce nouveau chapitre, on va rester sur quelque chose d'assez calme, avec juste quelques petite révélations ...et tension... 😏

Je tiens à préciser qu'il ne reste plus que cinq chapitre avant la fin du tome 1. No panic, le tome 2 sera également sur cette page, je ne compte pas le mettre à part...

D'ailleurs pour ce qui me suivent sur insta : vous savez déjà que c'est fini depuis un bon moment...

J'espère que ça vous plaira.

Je vous laisse avec la suite

Bonne lecture📖

Kiss- Serguei 🐙















"Feindre de croire un mensonge est un mensonge exquis."
















________

Deux mois plus tard.



Point de vue de : Elvira.



- JOYEUX ANNIVERSAIRE !!!!

- Vous avez pas oublié ???

- Pour qui tu nous prends, bien sûr qu'on a pas oublié ! Feliz cumpleaños hermanito.

Lince nous saute dans les bras, les larmes aux yeux. 

Cette fois, il pleure vraiment. 

- Alors petit frère, ça fait quoi d'avoir dix-sept ans ?

- Ça change pas vraiment grand-chose.

Il se décolle de Tarym et moi, tandis que Guadiel entre à son tour, et lui fête son anniversaire. 

- Vous êtes vraiment les meilleurs frères et sœur, que je puisse avoir.

- Allez, arrête de chialer pauvre mioche, ajoute Guadiel.

- Ohh chu trop heureux.

Je souris et les garçons font de même, heureux de voir ce jeune garçon nous aimer, comme de véritable frères et sœur. 

Aujourd'hui on est le seize mai, et Lince a aujourd'hui dix-sept ans. 

C'est une bonne excuse pour nous sortir de la favela. Cela fait deux mois quand n'est bloqué, sans droit de sortie. L'anniversaire de Lince est vraiment la meilleure excuse, pour nous donner une échappatoire.

- Bon Lince, il est actuellement deux heures du matin. Samaël revient dans l'après-midi, ce qui fait qu'on a la nuit, et la mâtiné pour profiter, après time-off hermanito. 

- Vous m'avez prévu quelque chose ?

Il nous regarde, se mouchons le nez, les yeux encore gonflés par l'émotion. 

- Tu te souviens de ce que je t'avais dit avant Tokyo ?

Il réfléchit quelques instants, repoussant ses lunettes de hacker sur le nez. D'un coup, ses yeux s'écarquillent, et je crois qu'il va vraiment se remettre à pleurer. 

Elvira PérezOù les histoires vivent. Découvrez maintenant