Chapitre 29 : Bonne nouvelle.

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Hello mes piovra 🐙

Bon, il est temps d'intégrer un nouveau personnage...Hein. 😏

J'espère que cela va vous plaire. 💓

Je vous laisse avec la suite.

Insta: Serguei_19.

Bonne Lecture.📖

KIss- Sergueï 🐙












''La récompense du mérite est le mérite même.''








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Point de vue de : Elvira


- Si tu m'aurais écouté, on en serait pas arrivé là ma beauté.

- POURQUOI VOUS AVEZ FAIS ÇA !!!!

- Parce qu'ils ne me sont d'aucune utilité, la seule chose que je désire, c'est toi.

Les genoux au sol, assis près d'eux, les larmes ne cessent de couler sur mes joues. Ils sont tous devant moi, allonger baignant dans leur propre sang.

Mes frères, Santiago, et même mon petit frère Lince.

Il les a tous tué.

- Je vais te tuer, pour avoir fait ça ! Tu vas payer ! Jamais ! Je dis bien jamais de ta misérable vie, je t'appartiendrais ! Jamais !

Javier Alvarez, se met à rire de plus belle. Je suis écœuré rien quand ne voyant son visage. Sa présence me tue, il a osé tuer mes frères. Mes amis, mon cousin tout ce qui comptaient pour moi, il est à exterminer.

- Si tu ne me viens pas, je tuerai également celui-là ....

Du bout des doigts, il me montre un homme ligoté sur une chaise, quand celui-ci relève la tête, c'est le bleu et vert de mon Adrían que je croise.

- NON !!!!! Pas lui !! Pas lui non plus !! Pourquoiii heinn ! Ta déjà pris toute ma famille !! Espèce d'enfoiré ! Hijo de puta ! Je vais te faire payer tous tes actes envers mes proches !!!

Il continue de rigoler, et s'approche à pas de loup d'Adrían, celui-ci ne me regarde pas une seule fois. Je me décroche de mes deux frères, que je tenais fermement et m'approche d'eux.

Et la seconde suivante, il a tiré une balle dans la tête d'Adrían. Mon ami, mon héro, mon amant, mon amour. Il était désormais lui aussi mort, tous m'ont quitté et c'était de nouveau sa faute.

- NONNN ! ADRIAN !!! NON PAS TOI !! NONNN.

Je suis retombée à genoux, et je hurlais la mort, je hurlais qu'ils me reviennent, je voulais les revoir vivant, ils étaient ma seule famille, pourquoi m'avoir pris ceux que j'aimais le plus.

Le sang, de tous mes frères coulé sur mes mains. La tête plongée dans celles-ci, je me couvrais de leur sang et continu de hurler de rage.

Il m'avait désormais tout pris. Je n'avais plus rien.

Alors continuais-je à vivre hein.

Elvira PérezOù les histoires vivent. Découvrez maintenant