Elvira Pérez

Chapitre 8 : promesse

                 
Coucou mes piovra 🐙

Nouveau chapitre...💓

⚠️⚠️⚠️Je tiens à préciser que certain lieux, ont étés inspirés de la réalité. ⚠️⚠️⚠️

J'espère que ça vous plaira.

                         Bonne lecture 📖

                         
Kiss- Sergueï

'' La beauté n'est que la promesse du bonheur''

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                                            Au même moment à :

                                                                             
Pereira.

Point de vue de : Alejandro

Pourquoi, c'est toujours au mauvais moment que la merde nous tombe dessus. En ce moment même, je devrais cuisiner cette pute de comptable, mais non ! Je peux pas parce qu'un putain de traître décide de nous voler. J'en ai râle le cul de ces imprévus.  

Joder !

Et lui...hein

El peligro

Même mort, on parle encore de lui. 

Ce n'est pas pour rien qu'on le surnommait peligro, dangereux ouais ! C'est bien ce qu'il était. Personne ! Je dis bien personne ne savait ce dont il était capable. 

Un putain de cerveau ! C'était toujours lui qui préparait  les plans d'attaque, il calculait tout à l'avance. Les explosions.... c'était son domaine. Un putain d'ingénieur capable de créer une bombe qui puisse explosait une ville entière. Oh oui, personne ne l'approchait et toute façon nul humain ne pouvait.

Et pourquoi ça ?

Parce que, en plus d'être un putain de cerveau, el peligro agissait dans l'ombre, personne ne savait qui il était et à quoi il ressemblait. Seul son jefe, quelques gars de confiance et sa famille le voyais. 

Ironique non ?

Si puissant et pourtant si timide. 

Le rôle de jefe lui aurait allait à la perfection.

La définition parfaite d'un psychopathe.

Il a réussi à démentir les médecins de ses symptômes.

Mais j'en avais presque oublier que même s'il est mort, ses fidèles ne le sont pas.

J'accompagne César à Pereira même si j'aurais préféré que ça soit Adrían, mais bon. 

Guzmàn un de nos hommes qui est chargé de surveiller les livraisons de cocaïne pour les États-Unis, a demandé expressément la venu du chef. Alors nous voilà.