Chapitre 26 : San Juan De Dios

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Hello mes piovra 🐙

Voilà la suite, j'avoue que ce n'est pas vraiment un chapitre sur lequel, je suis le plus fière, mais j'espère qu'il vous plaira.

PETITE NOTE: Ce chapitre contient beaucoup de grands texte, mais ne vous inquiétez, ce ne sera pas toujours ainsi, c'est seulement que pour ce texte j'avais besoin d'écrire ainsi.

⚠️⚠️Je précise également, que certains actes et scènes, peuvent heurtés la sensibilité de certains. ( Je voulais également vous demandé, si vous voulez que je vous précise dans les derniers chapitres en lexique à la fin, quels sont les actes et lieux dont je me suis inspiré ?) ⚠️⚠️⚠️

⚠️⚠️Dans ce chapitre, certains lieux et actes, ont également été inspirés de faits réel. ( Via certaine recherches). ⚠️⚠️

Je vous laisse avec la suite.

Insta: serguei_19.💓

Bonne lecture📖

Kiss- Sergueï 🐙












"La solitude est une prison."











________

Au même instant

                            À la frontière vénézuélienne.





Point de vue de : Samaël / César.


- Combien ?

- Environ une dizaine. Ils sortaient tout juste, du chemin menant aux plantations. Personne a rien vu venir.

- Depuis combien de temps, ils participaient à la récolte ?

- Un bon mois. Ils s'étaient porter volontaire afin de gagner un peu d'argent pour payer leurs études.

J'ai hoché la tête. Voilà maintenant qu'on s'en prenait à mes raspachines ( gratteur de coca).  Une erreur à ne pas produire. 

- Des indices sur les tireurs ?

Mon homme gérant cette zone de mes terres à la frontière du Vénézuéla, a négativement tourné la tête, l'air désolé. 

- Lo siento patron. C'est arriver tellement vite. Lorsque nous sommes arrivés, c'était trop tard, la seule chose, que j'ai pu apercevoir, c'est que les assassins partaient à l'aide de deux camions blancs délaver. Julian a pu retirer une balle des armes.

Il me tend une petite balle or, avec l'initial d'une vipère. 

Ma respiration, c'est accélérée. Si je détiens presque toutes les armes colombiennes, en revanche, j'en connais un autre, étant capable de s'attaquer comme un lâche avec ce genre d'arme.

Le cartel del veveno. 

J'ai serré cette balle tellement fort dans mon poing que mes phalanges sont devenues blanche.  

Comment ont-ils trouvé mon champ de coca ?

Es que j'ai une taupe dans mon cartel ?

Elvira PérezOù les histoires vivent. Découvrez maintenant