Chapitre 39 : Te lo prometo

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"Pourquoi avoir peur du bonheur ?"











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Point de vue de : Valentino.



- Sam ! On est à court de balles !!!

- JE SAIS !

Putain de village de Miraflores.

- Il faut faire quelque chose ! Putain !

- On doit faire diversion !

- Mais on voit rien Putain !!

Mon cœur bat à cent à l'heure.

C'est long, très long même.

- Ils sont nombreux !!

- J'arrive pas à voir où ils sont !

Joder.

Putains de mexicains.

C'était pas assez la merde dans ce putain de cartel.

Le village de Miraflores.

Un village en plein cœur de notre Amazonie. C'est ici que l'un de nos champs de cocaïne est en élevage. Ici on prépare la cocaïne, il y a même un putain de laboratoire. Ce village est très peu connu. Alors comment les mexicains ont su où il se situait, et comment ils ont eu accès au champ ? 

Moins une, et tout prenait feu.

Il y a forcément une taupe dans l'histoire.

Mais qui ?

La nuit commence à tomber, les derniers rayons du soleil nous éclair à travers les feuilles des arbres.

Cela doit faire la journée que je suis planquée derrière cet arbre, comme le reste des gars.

Ma kalachnikov et mes deux glocks 19 sont à sec.

Je suis maintenant vulnérable, avec mes trois couteaux de jets.

Je ne sais pas combien ils sont, et je ne sais pas non plus, s'il y a des morts de mon côté. Près de moi, j'arrive à voir Adrían qui est tout aussi bloqué.

- Valentino, il faut....

Mais Samaël s'arrête en plein dans sa phrase, quand de nouveaux coups de feu ont raisonné, mais cette fois, dans notre sens.

Putain, ne me dites pas, qu'il y en a là aussi....

Mon regard croise celui d' Adrían, pendant que de nouveaux coups de feu résonnent. J'essaie de prévisualiser les coupables, mais impossible, et ça même en regardant vers les directions des coups de feu.

Une chose est sûre, ils sont plusieurs.

Des cris de douleur résonnent dans cette jungle, en même temps que les balles de notre direction cessent. Pourtant, aucun de notre côté semble blessé. Mais en revanche de leur côté....

Je prends l'instant de quelques secondes, à tourné la tête vers mes ennemis, et je n'arrive pas à y croire.

Je dirais une bonne vingtaine.

Elvira PérezOù les histoires vivent. Découvrez maintenant