Elvira Pérez

Chapitre 42 : El Peligro

Hello mes piovra 🐙

J'espère que ce nouveau chapitre vous plaira, car c'est le moment de certaines vérités... 😏

⚠️⚠️⚠️⚠️Petit message: sur insta j'ai posté une storie concernant le cast d'Elvira, allez y jeter un coup d'œil pour vous aider davantage pour comment l'imaginer. ( Insta : Serguei_19). ⚠️⚠️⚠️ il y a un petit a faire ⚠️⚠️⚠️

En espérant que sa vous plaise. 💓

Bonne lecture📖

KIss- Sergueï🐙

'' Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.''

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- Lui est.... Celui que l'on surnom aussi, El Peligro.

À priori, j'avais toute l'attention, de ce jeune garçon. 

- El peligro était mon grand-frère.

J'ai senti sa respiration se couper, en entendant ma phrase. 

Je venais de lui lancer une bombe. 

- Son vrai nom était, Alessandro Inacio Pérez. C'était le plus vieux de la fratrie Pérez. Mon grand-frère, mais aussi celui d'Alejandro.

- T'es vraiment en train de me dire, que l'homme le plus connu chez les narcos, était ton grand-frère ?

Je hocha la tête, son effort. 

- Dans la vie, on a toujours cet intérêt de vouloir rendre fier nos parents. Quitte à faire, ce que l'on n'aime pas, si c'est pour qu'ils soient fier de nous, alors on le fera. Tout ce qui peut nous apporter leur attention, on le fera, sans jamais réfléchir. Sauf que moi, ce n'était pas pour mes parents. Dès ma naissance, j'avais la conscience que dans ma vie, je devais rendre Alessandro, fier de ce que je suis. Je voulais qu'il me félicite, qu'il dise qu'il est fier de moi. Mais je n'aurais jamais la chance d'entendre ces paroles.

Je pris une grande inspiration, en repensant à lui.

Il me manque tellement. 

- Comment il était ? Demande Lince, épater par cette histoire.

Une histoire vraie. 

- Alessandro était quelqu'un de très futé, et ça, depuis son jeune âge.

C'était un putain de génie, à moitié fous allié. 

- À l'âge de six ans, mon frère avait déjà des pensées différentes des autres enfants. Il ne parlait jamais, détestait le contact, il préférait rester seul et avait une grande fascination pour les armes à feu et les serpents. En vivant dans un cartel, ce n'était pas choquant pour un enfant de voir des armes. Il passait son temps à dessiner ou fabriquer, avec ce qu'il trouvait, pour en fabriquer des fausses, pour ensuite les collectionnées. Jamais il ne jouait avec, c'était comme des trophées pour lui.

Arme à feu... Hein... Alessandro. 

- Mes parents commençaient à s'inquiéter à son sujet. En six ans d'existence, il ne parlait absolument jamais. Il ne sortait jamais et refusait d'aller à l'école. Jamais il ne restait plus de vingt minutes dans une école, que papa ou maman devait venir le rependre. Un jour, ils ont insister pour le laisser, malgré ses hurlements de vouloir renter. Ce jour-là, maman aurait dû accepter de le reprendre, car deux heures plus tard, elle a été convoqué par le directeur de la maternelle, en apprenant que son fils avait tenté de planter un élève avec une paire de ciseaux, car comme il disait'' il s'était trop approché de lui''. Et Alessandro, détestait que l'on s'approche de lui. Alors le directeur, mais aussi maman se sont inquiétés de l'état du jeune Pérez.