Chapitre 23 : Chasse aux meurtres.

2.2K 56 43
                                    

Hello mes piovra🐙

Voilà la suite, j'espère qu'elle vous plaira. 💓

J'espère que vous êtes prêt pour de la psychologie 🤭😏

❌❌Je tiens à préciser que certains lieux et actions m'ont été inspirés de faits réel. ❌❌

N'hésitez pas à venir me suivre sur insta. ( serguei_19).

Bonne lecture📖

Kiss-Sergueï 🐙



















  ''Tout le jeu de la guerre se joue sur la faiblesse du guerrier''















_________


- Je veux tout ce qui concerne Javier, tu m'entends. Tant que tu peux en avoir, tant que tu continueras. 

D'un simple hochement de tête, je me dirige vers la cellule, sous le regard meurtrier de mon jefe.

Daniel Meyer, sera celui que j'interrogerais. 

- AU SECOURE ! AIDEZ-MOI ! !!

- Tu peux crier autant que tu voudras Meyer, personne ne viendra à ton secours, t'es coincé ici. 

- Je comprends pas, pourquoi je suis ici ? J'ai juré fidélité au cartel de Medellín.

Quel menteur.

- Tu vois le problème Daniel, c'est qu'on est au courant de tes manigances. On sait que tu as rejoint le cartel del veveno et que tu leur as refilé des informations. Tu connais pas la phrase, un jour tout se sait. Fallait y penser plus tôt, maintenant, tu vas parler ou sinon je commence à m'énerver.

- Sérieusement Rivera, c'est une gamine de douze piges, que tu m'as amené pour me faire parler. Tu es pourtant plus crédible que ça d'habitude, ajout-il, un sourire vicieux aux lèvres.

Quel changement de comportant.

Sans jamais, prononcer le moindre mot, mon jefe me fait signe de tête, puis disparaît dans une cellule en face, au bout de plusieurs secondes, nous entendons des hurlements de douleur. 

Cela veut dire que j'ai intérêt à faire de même. 

Sans plus attendre, j'attrape mes couteaux de jet et me place à quelques mètres du flic attacher à une chaise. 

- On va jouer à un jeu Meyer. Chaque réponse ne me convenant pas, tu auras droit à une de mes lames préféré de l'armée, t'est prêt ?

Il a difficilement avalé sa salive, désormais son sors est sellé entre mes mains. 

Je ne vois plus de sourire. 

- Première question, depuis combien de temps travailles tu pour le cartel mexicain ?

- Je ne travaille pas pour eux, je travaille pour le cartel de Medellín !

Je secoue la tête, les lèvres souriantes.

- Mauvaise réponse.

D'une bonne précision, je lance mon couteau dans les côtes de cet enfoiré. Un hurlement de douleur sort de sa bouche, mais j'ai à peine commencé.

Elvira PérezOù les histoires vivent. Découvrez maintenant