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Chapitre contenant une scène mâture très fortement dérangeante et sexuellement explicite.
Si vous choisissez de continuer la lecture malgré tout, vous en prenez la responsabilité.
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°°° Il me traînait, agrippant fermement de ses longs doigts l'un de mes bras, ses ongles s'enfonçant dans ma chair, il me faisait mal.
L'ascenseur peinait à descendre les étages, et je le voyais tapoter du doigt nerveusement sur sa jambe,lèvres grimaçantes, dents serrées, sourcil froncé, autant de colère pour si peu de choses?
Les portes s'ouvrirent enfin qu'il me jetait à l'intérieur, toujours furieux.
L'ombre rassurante de Koko n'était plus, je me retrouvais seule face à un carnassier avide de pouvoir sur sa proie….
Nous avions 17 étages à grimper, ce qui était déjà bien assez long, mais cela ne l'était semble-t-il pas assez à ses yeux pour se satisfaire pleinement, il stoppait celui-ci entre deux étages.
°°°
À l'extérieur la nuit était déjà largement tomber, bien peu de personnes traînait alors dans la pénombre des couloirs du bâtiment, ce qui rendait l'ambiance générale extrêmement pesante …
Seul le son de sa voix me parvenait très perceptiblement à l'oreille…
S:Agenouille toi!!!
Comprenant ce qu'il attendait de moi, je m'y appliquais sans un mot, déglutissant dans un effort le peu de salive perlant encore sur mes lèvres.
Contemplant au sol les recoins de l'ascenseur, dont la lumière se faisait parfois vacillante, le regard dans le vide, pour ne pas le voir dévoiler son intimité.
S:Suce là!
Il ne me laissait pas le temps d'agir, saisissant ma tête pour la coller à sa partie inférieure. Étreignant de larges mèches de cheveux pour m'aider à accepter toute sa verge brûlante d'envie dans ma bouche.
Ma gorge fragile et démunie ainsi déployée, se voyait envahir de délicates gouttes de sueur.
Resserrant la pression sur ma nuque, sous son étreinte vigoureuse, sa bite raclant généreusement le haut de mon palais dans de large mouvement, je m'evertuais difficilement à reprendre mon souffle et la cabine froide jusque alors s'emplissait maintenant d'une chaleur délictueuse.
Je parvenais à entendre quelques sons,des grognements de plaisirs, où plutôt, des insultes, les deux s'entremêlant. J'acceptais dans un geste de soumission ma punition…
Raaaah plus vite, me disait-il…
Ca n'était pas là bien suffisant? Évidemment que pour lui, ça ne l'était pas, il était un homme dont la brutalité n'était plus à refaire, et il accélérait la cadence sans aucune peine, son penis s'enfonçant généreusement plus loin à chaque poussée dans ma gorge.
Je fermais mes yeux plaintifs pour ne plus voir, mais il me releva brusquement la tête...
Tu n'as pas le droit !!!
Alors même ça, il me l'interdisait ?
Ses perles teintées d'un bleu profond m'observaient d'une façon détestable, je recommençais ma tâche misérable, lui rendre son plaisir, le satisfaire …
°°°
Plusieurs minutes ainsi, mes genoux sur le sol dur de l'ascenseur subissaient une forte douleur, mais je ne devais pas flancher, je n'avais pas le droit….
À force d'enthousiasme, il avait fini par m'acculer contre la façade,bloquant complètement mes mouvements…
S:Putain, je viens…
Non, non, non, pas ça, s'il te plaît, tout mais pas ça… S'il y a bien une chose qu'il m'était difficilement supportable, elle était de cette nature là… Il le savait, assurément, il jouissait de le savoir même… Dans un geste désespéré, je tentais un ultime dégagement…En vain….
Se gonflant dans un extrême sursaut, il se déversait pleinement, remplissant l'endroit, n'épargnant aucun espace vide… Il était d'une cruauté sans nom…
°°°
L'ascenseur se remettait en marche et presque d'un geste que l'on pourrait croire tendre, il passait son doigt délicatement sur ces lèvres qui venait de l'accueillir…
Arrivant sur le palier, il m'abandonnait ainsi au sol, arguant son large sourire, le voilà pleinement satisfait, alors il pouvait partir.
°°°
Me relevant avec peine, je parvenais enfin jusqu'à ma chambre. Face contre la cuvette des toilettes, je vomissais ses restes.
Son goût affreusement amer imprégnait l'intérieur de mes joues, me demandant si un jour je pourrais m'en défaire…
De l'alcool, il me fallait de l'alcool, et quelque chose de puissant!
Il y avait toute une panoplie de bouteilles garnissant le bar de ma chambre, cela tombait à pic donc, même si ces bouteilles devaient servir à d'autres occasions plus...Festives... Dirons-nous…
L'alcool et la drogue, un mélange détonnant, idéal pour annihiler tout abus, aussi épouvantable fut-il…
Je m'abandonnait alors dans cette luxure réconfortante comme à chaque fois.
